Schtroumpfs à lunettes !

Alain Korkos - - De Rembrandt à Tarzan - 50 commentaires

Dès que se profile la rentrée scolaire ils sont là, les mômes à lunettes, envahissant le moindre espace publicitaire. Cernés par des piles de cahiers ou de livres ils nous sourient de leurs quarante-deux dents et nous regardent au travers d'énormes binocles, mini-intellos d'opérette myopes comme des taupes.



Leurs bobines réjouies sont partout…


…encore et toujours les mêmes mouflets…


…récupérés sur les sites des agences d'images…


…insupportables Schtroumpfs à lunettes. Têtes à claques.


Car le mioche à carreaux, réputé intello énervant, est aussi un souffre-douleur. Dans Take the Money and Run (Prends l'oseille et tire-toi) de Woody Allen (1969), Virgil Starkwell se fait régulièrement briser ses lunettes à coups de talon et c'est bien fait pour lui :


Virgil-Woody, reconnaissable entre mille. Il est, dans Paris vs New York de Vahram Muratyan, réduit à une simple paire de binocles...

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