Un élu socialiste accuse Les infiltrés d'avoir censuré une mise en cause de Juppé
Gilles Klein - - 32 commentairesAprès la diffusion du dernier numéro des Infiltrés sur France 2, Gilles Savary, vice-président socialiste du Conseil général de la Gironde, se plaint que son intervention en plateau, après le reportage, ait été "censurée". Il y mettait en cause le maire UMP de Bordeaux, Alain Juppé, pour sa complaisance envers un groupe de catholiques intégristes. De son côté, Alain Juppé a écrit au préfet de Gironde pour réclamer "une fois les faits avérés", des poursuites contre les auteurs de propos "racistes, antisémites, violents" qui sont tenus dans le reportage.
Le reportage tourné en caméra cachée, dans la région de Bordeaux, montrait le fonctionnement du groupe d'extrême-droite Dies Irae, et des images d'élèves de l'école catholique Saint Projet , qui en serait proche.
Alain Juppé réclame "ardemment" "des poursuites judiciaires une fois les faits avérés" "Le motif ? Les discours et les propos des Infiltrés par les militants de Dies Irae, lié aux catholiques intégristes. Racistes, antisémites, violents. Comme les scènes tournées à l'école hors contrat Saint-Projet, où des écoliers chantonnent des comptines sur les camps de concentration, tout en assurant être fachos pendant qu'un professeur loue les mérites de Pétain." Le Parisien jeudi 28 avril 2010 |
"Surprise, hier au so... |