Vous aussi, devenez parrains !

Et hop ! Encore une possibilité de partager le site. Vous avez été nombreux à nous demander de pouvoir faire découvrir le site à des amis temporairement, afin de leur donner envie de s'abonner. Le mois dernier, nous vous donnions la possibilité d'envoyer un article à un ami non-abonné (si vous êtes passé à côté, c'est ici). Vous pouvez maintenant parrainer la personne de votre choix pendant un mois. Nous sommes certains que vous avez, autour de vous, des amis qui seraient très intéressés par @si. Mais ils ne font pas la démarche. La flemme, la réticence à l'inconnu, l'aquoibonisme, tous ces ennemis invisibles... Alors, comme Don Corleone, faites le bien autour de vous. Devenez le parrain d'un ami.

Tous les abonnements individuels au site (un an, 6 mois, fauché, offert), vous donnent droit à un mois d'abonnement gratuit pour la personne de votre choix. Tout nouvel abonné au site aura également la possibilité de parrainer.

Pour parrainer un ami, cliquez sur le bouton mauve dans la colonne de droite sur la page d'accueil du site (il faut être connecté sous son identifiant d'abonné !) le bouton mauve

Suivez ensuite les indications. Et voilà. Votre ami sera abonné. Et on espère (très vivement) qu'il se réabonnera.

L'offre est limitée à un parrainage par abonné. Mais si vous vous êtes abonné pour deux ou trois ans (ce qui est le cas de certains d'entre vous), vous pouvez parrainer davantage d'amis. Pour savoir à combien de parrainages vous avez droit, rien de plus simple, rendez-vous dans votre compte, toujours accessible en haut à droite de votre écran dans le rectangle gris foncé... Tant qu'il vous restera encore au moins un parrainage d'un mois, vous verrez le bouton mauve sur la page d'accueil du site dans la colonne de droite...

Petit à petit, toujours à petits pas, votre site s'améliore. Depuis le début de l'année, nous avons créé de nouveaux rendez-vous (la rubrique "un an après", le "jité d'il y a dix ans", le magazine "même le dimanche", la revue de presse internationale de Gilles Klein). Nous perçons maintenant des fenêtres sur l'extérieur. Et vous n'avez encore rien vu !