Serge Dassault et Bernard Arnault cités dans les "Paradise Papers"

La rédaction - - 37 commentaires

Comment Le Figaro (Dassault), Les Echos et Le Parisien (Arnault) ont couvert les révélations

Depuis le début de la semaine, la liste des personnalités et des entreprises citées dans les "Paradise Papers", nouvelle enquête internationale sur l'optimisation fiscale, s'allonge. Deux grands patrons de presse sont cités : Serge Dassault, propriétaire du Figaro (à travers son groupe aéronautique) et Bernard Arnault, propriétaire du groupe LVMH, qui possède Le Parisien et Les Échos. Les médias en question ont-ils couvert ces révélations ? Oui, mais avec discrétion.



Après les "OffShore Leaks", les "LuxLeaks", les "SwissLeaks", les "Panama Papers", voici les "Paradise Papers", nouvelle série de révélations sur l'optimisation fiscale pratiquée par des multinationales ou des personnalités publiques. Ces révélations s'appuient sur une fuite de documents transmis en 2016 à un quotidien allemand, issus en grande partie du cabinet d'avocats spécialisé dans l'optimisation fiscale Appleby. Ces 13,4 millions de documents ont été épluchés pendant un an par le Consortium international des journalistes (ICIJ), dont Le Monde fait partie.

Le Monde, 5 novembre 2017

Premier patron de presse à avoir vu son no...

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