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  • cécile clozel 16 janvier 2021 à 19:23

    j'ai tout compris : le manichéisme, c'est le mal.

  • freT 16 janvier 2021 à 18:25

    Oxymore étant du masculin, on en a deux pour le prix d'un, et pas d'une :-))

  • fr4g 16 janvier 2021 à 18:18

    Pour les personnes souhaitant creuser le sujet, je ne peux que conseiller la lecture de ce dossier de vulgarisation (basé sur des études clinique de psychologie sociale commencé il y a 70 ans et amélioré d'années en années) sur l'ethnocentrisme, le fascisme et l'autoritarisme : https://www.hacking-social.com/2017/01/30/f3-nous-forts-et-bons-eux-faibles-et-mauvais-lethnocentrisme/

    Ce sont les mêmes qui animent la chaîne Horizon-Gull.

  • otimo-140813 otimo 16 janvier 2021 à 14:50

    Donc c'est pas du populisme de s'opposer aux élites parce qu'elles ont une idéologie différente de la mienne, le populisme implique de croire que mon idéologie est objectivement du coté du bien et la leur objectivement du coté du mal, c'est ça ?

    Merci de clarifier ce terme que je ne comprenais pas !

  • toinon778-105528 toinon778 16 janvier 2021 à 14:33

    chronique qui reste au niveau de la morale (le manichéisme, le bien, le mal) et évacue donc la politique. Les rapports sociaux définissent des barrières sociales et culturelles, des classes sociales et peu importe de savoir qui est du côté du bien et du côté du mal.  Ce qui importe c'est qui est du côté de la propriété et du pouvoir. Ce n'est pas une lutte entre les bons et les "méchants" mais une lutte entre intérêts divergents. Le populisme est un concept creux même quand il s'applique à Trump et ses partisans. Le concept de populisme évacue l'analyse de la société en termes de classes sociales, en termes d'intérêts divergents.

  • Jean-François Armengaud 16 janvier 2021 à 12:22

    Les thèses de Karl Marx, sont évidement elles aussi désignées comme populistes, mais si c'était un contemporain,  il serait également taxé de complotisme : la lutte des classe et la religion opium du peuple on fait pas mieux dans le genre . Et à ce titre il serait urgent de le faire taire ou de l’associer à des hurluberlus.

  • Bipbip 16 janvier 2021 à 12:21

    Il arrive à Frédéric lordon d'être pertinent. mais il perd volontier les pédales avec le vocable "populiste" "populaire".  


    Un autre article est à consulter où tout part de travers : Un journalisme postpolitique dans le supplément du Monde Diplomatique Aoüt/Septembre 2020, 

    le titre est biaisé, en définitive Lordon, habile, habille maladroitement le sujet du populisme, en se cachant derrière d'autres journalistes et autres médias.


    Quand à  «Désormais on se lève et on se barre " là, très mauvaise pente. Insignifiant.

  • KE-SAIS-je 16 janvier 2021 à 11:32

    Cette excellente chronique me confirme que  si  "  un égoiste , c'est quelqu'un qui ne pense pas à moi  ", un populiste, c'est quelqu'un qui ne pense pas comme moi.

  • Yanne 16 janvier 2021 à 11:09

    Très belle chronique, et qui me permet d'avoir un nouveau regard sur le monde. Merci.


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