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  • Ah bon ! 29 octobre 2024 à 10:15

    Quand un salopiaud ne voit pas d'agression sexuelle en portant la main à l'entre-jambe d'une femme c'est qu'il est susceptible de le faire  sans y voir de problème. C'est l'analyse que j'en fais. Et j'aurais pu proposer de lui couper les mains, le bracelet n'est que clémence de ma part ...

  • Gastounet 28 octobre 2024 à 00:56

    Nous vivons dans un pays où les accusés - innocents ou coupables et, en l'occurrence, pas définitivement jugé - ont droit à un avocat et où l'avocat a le droit de défendre son client, au tribunal et en dehors, quel que soit son époux. Il est effrayant de voir que de plus en plus de voix, y compris à gauche et ici la journaliste d'ASI - qui se permet même d'attaquer le défenseur légal de Bedos au physique ("sa voix pointue et son parfait brushing blond ont peuplé les écrans") - en viennent à trouver cela insupportable.

  • poisson 27 octobre 2024 à 11:37

    Tout ça laisse perplexe. 


    Autant dans le sport on est à deux doigts de croire à la transmission des caractères acquis, Boris Diaw  fils d'Élisabeth Riffiod, Yannick Noah fils de et père de, le petit fils de Poulidor, on a des exemples à foison. Pareil dans la musique, des généalogies en veux-tu, en voilà.

    Mais pour les peoples, ça ne valide plus. 


    Quand on pense que le père de ce Nicolas n'est autre que celui qui jouait le personnage (euh de son fils?) du dragueur par effraction dans un sketch avec Sophie Daumier.


    Quand on pense que le grand-père de Julia Minkowski est Alexandre Minkowski, celui dont la fiche wikipédia contient ce texte : 


    En 1978, après l'élection du pape Jean-Paul II, il fait publier par Le Monde un article incendiaire dénonçant l'antisémitisme de l'Église polonaise. La même année, il vient soutenir Gisèle Halimi devant la cour d'assises d'Aix-en-provence lors de l'affaire Tonglet-Castellano, faisant un parallèle entre le viol des femmes et le nazisme.

     (il est partisan de la création d'un État palestinien)




  • Ah bon ! 27 octobre 2024 à 10:53

    Je suis d'avis pour que les salopiauds qui aiment jouer sur les mots et les jeux de mains se voient entraver par un bracelet, à titre préventif. S'ils ne sont pas foutus de ressentir la violence d'un geste qui vous prend par surprise,  vous coupe le souffle, vous statufie, vous laisse profondément meurtrie d'une  douleur intime que vous ne pensiez pas devoir ressentir un jour, que vous ne saviez même pas que ça  pouvait exister, tellement c'est tout petit au fond de soi et  tellement et longuement infini- et que vous  la gardez, cette douleur.   le jean ,lui , n'est pas resté. Les salopiauds sont des violeurs potentiels qui s'ignorent .

  • Max Médio 26 octobre 2024 à 22:03

    Un podcast qui peut s’écouter aussi à propos de cet article :

    Madame Meuf : " Où en est-on des carrières brisées des agresseurs ? "

    L’avocate de Bedos ne serait-elle pas l’épouse d’un célèbre vidéaste amateur ?

  • Jean-Pierre RADO 26 octobre 2024 à 21:18

    Parce que chaque mot est scruté, décortiqué, et fait l'objet d'une surinterprétation quasi-systématique que penser de la description qui est faite de Julia Minkowski dans cette chronique :  "... sa voix pointue et son parfait brushing blond ont peuplé les écrans ..." ?

  • Thierry Reboud 26 octobre 2024 à 19:47

    Allez, question complémentaire : et si un homme avait posé sa main sur l'appareil uro-génital de Bedos, même avec un jean ? Comment aurait-il pris la chose, hein ?

  • jammrek 26 octobre 2024 à 16:36

  • Makeda 26 octobre 2024 à 13:47

    Merci d'avoir rappeler les faits, c'est effarant de voir à quels points ces plateaux participent  au discours de banalisation...

  • Emmanuel 26 octobre 2024 à 13:46

    La déontologie de l'avocate de Bedos n'existe que dans  un tribunal...

    L'article de Mediapart me semble nécessaire pour recontextualiser ses lamentations médiatiques car il se termine ainsi :

    Confrontée à ces erreurs ou raccourcis, Julia Minkowski dit regretter d’être allée sur BFMTV mais rappelle cette évidence. « Je suis l’avocate de la défense. Je ne suis pas juge et je ne suis pas journaliste, et je ne suis pas là pour faire un commentaire objectif et total d’une audience. Je n’ai pas d’obligation d’exhaustivité, défend-elle. Je pense ne pas y être de mauvaise foi, mais je reste avocate de la défense et les gens le savent. Je ne suis pas là pour instruire à charge et à décharge. »

  • Bartabac 26 octobre 2024 à 13:45

    Quand on voit ce qu'a eu comme peine le pote à griveau , strauss kahn pour un viol , c'est sur la peine est lourde ..Après si tu regarde ce que prend le quidam , la peine est légère .On peut en déduire que tu te trouve au milieu comme un trou duc . C'est ça qui te gène ? Tu as moins de pouvoir que tu croyais ? Et c'est vrai pour tout les crimes et délits . C'est exactement comme l'impot ! Ce doit etre un impot d'ailleurs ... Vivement la fin des temps que ces crapules descendent a porté de calottes .

  • Ata Raxie 26 octobre 2024 à 12:50

    Alizée Vincent  et  Pascal Prout : des vents contraires...

  • Ivoire 26 octobre 2024 à 12:34

    Julia Minkowski est dans son rôle d'avocate.
    Maintenant je ne peux m'empêcher de penser qu'elle est l'épouse de Benjamin Grivaux, le mec qui envoyait (envoie) des vidéos de masturbation à des jeunes femmes depuis son ministère et ses lieux de vacances tout en posant dans Paris Match avec sa femme enceinte.
    Ce petit milieu s'auto-protegeant et au risque de paraître odieuse, je pense que ces personnalités notamment féminines qui défendent Bedos, devraient se porter volontaires (ou mettre à disposition leurs filles) auprès de ses pervers. Ainsi le monsieur pourrait assouvir sa perversité sans crainte d'être poursuivi et les femmes qui ne les craignent seraient épargnées. Allez mesdames, devouez-vous!

    PS. : Bedos a été libre de ses mouvements pendant toute la durée de l'instruction et pendant le procès. Alors quel cirque pour un 6 mois de bracelet électronique. Un jeune homme de banlieue serait déjà enfermé dans l'attente de son procès et vu les différents renvois, il peut pourrir 2 ans minimum en milieu carcéral.


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