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pompon
Sur France culture, dans "Question du soir", sur les comportements de l'abbé Pierre, le 16 sept, à 18 heures, La psy Sabine Prokhoris, que je découvrais, a fait victorieusement concurrence à Fourrest dans l'odieux, mettant continuellement en cause l'utilisation du mot "victimes". C'est vrai que c'est le problème principal posé par cette affaire!!! Mais puis-je utiliser le mot "affaire"?...
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UneSorcièrecommelesAutres♫
Une pépite de Anne Sylvestre:
(Anne Sylvestre dont je me suis permis de reprendre un titre pour mon pseudo actuel ici)
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UneSorcièrecommelesAutres♫
Je vous remets du Tachan
D'abord le côté un peu sarcastique sur les zhommes
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VivlaLib
"Beaucoup de couples se séparent car l'homme ne peut plus supporter de faire l'amour seulement une fois par semaine"
Voilà une affirmation sortie de nulle part comme on les apprécie : dignes d'un bar du commerce après beaucoup de pastis, elles donnent envie de vomir. J'imagine mal le questionnaire auquel auraient soit-disant répondu, pour arriver à cette conclusion, beaucoup de ces hommes qui ont divorcé pour cette raison, et uniquement celle-là hein !
A mon tour d'affirmer à l'emporte-pièce : "beaucoup de couples se séparent" parce que beaucoup de femmes demandent le divorce, et que les mauvais traitements sexuels (et autres) qu'elles subissaient et refusent maintenant, y sont pour beaucoup. J'entends par mauvais traitements sexuels toutes les sortes de baise-à-la-va-vite, de harcèlement moral ou/et physique en lien avec la sexualité, mais aussi toutes les autres formes de harcèlement, non partage des tâches ménagères, du soin aux enfants, ... qui, en plus de leur travail extérieur, les laissent HS et sans désir autre que dormir ! Non pas parce qu'elles auraient moins de libido, mais parce que, épuisées, elles ont la faiblesse de ne pas trouver hyper-désirable de s'envoyer en l'air avec un profiteur !
J'ajoute que beaucoup d'hommes se prennent pour de bons baiseurs (je parle qualité, pas quantité) alors qu'ils en sont restés au stade débutant. Je parle d'expérience. Il n'y a qu'à visionner beaucoup des scènes de sexe au cinéma (même pas porno) pour constater tristement que l'homme considéré comme séduisant y baise ... mal. Cette pratique dans laquelle la femme ne trouve pas son plaisir, et se sent de surcroit souvent obligée de faire semblant de le trouver, fait, qu'insatisfaite, elle va voir ailleurs.
Beaucoup de femmes divorcées vous le diront -
Wisssh
J'aurais aimé savoir si dans l'article du Figaro, une source sérieuse était citée, qui valide le titre ("Beaucoup de couples se séparent car l'homme ne peut plus supporter de faire l'amour seulement une fois par semaine").
Par ailleurs, si effectivement, des couples se séparent pour cette raison, cela n'induit pas qu'ils se séparent à l'initiative de l'homme.
Bref, cet article du Figaro semble traversé d'impensés qu'il aurait été intéressant de souligner.
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Jiemo
Arrivé à un un certain âge (voire un âge certain) , le tour de la question est fait , en avant en arrière ... un peu bis repetita ! N'en reste pas moins une tendresse partagée !
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reflexios
Préambule : je suis abonné à ASI, pas au Figaro, et je ne souhaite Philippe Brenot pour thérapeute à personne.
Mais les biais sont partout.
Culpabilisatrice, la phrase ?
Elle est factuelle. Monsieur souhaite plus de rapports, madame ne le souhaite pas.
Chacun est libre de ses choix.
Monsieur part. C’est son droit.
Ce n’est pas de la culture du viol, ce n’est pas une menace, c’est juste respectueux du souhait de chacun entre adultes non-consentants.
Madame est dans son droit, mais pourquoi Monsieur devrait se plier à ce diktat ?
Sexiste, la photo ?
C’est elle qui refuse, il respecte sa décision. Il est mécontent : c’est son droit. Il ne la force pas, il décide juste de quitter une relation inconfortable pour lui (et d’après la photo, ça ne l’empêche pas de dormir, elle, manifestement).
Penser que la situation est sexiste parce que madame devrait se soumettre sous la menace de la séparation, c’est un biais.
Si Madame reste, on se demande pourquoi.
Madame a le droit de dire non, elle a même le droit d’aller chercher un autre partenaire et de laisser monsieur se débrouiller avec son désir.
On m’a appris que de dans la vie, on a toujours le droit de dire non et de partir.
C’est valable pour tout le monde il me semble.
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pompon
Dur, Pauline, d'aborder un sujet qui oblige chacun à se remettre en cause en interrogeant ses certitudes souvent jamais questionnées! D'autant que ce sujet fait peur, notamment à ceux qui voient leurs pouvoirs, dans plein de domaines, menacés.
Je pense qu'il faudra très longtemps avant que le "polissage" des moeurs devienne autre chose qu'un simple verni social.
Les "réalités biologiques" n'ont pas fini de nous obséder...
Bon courage!
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Factory
"Le sexe, une réalité biologique"
C'est une obsession réactionnaire ça ?