-
Davesnes
"Hilarante, cette séquence ! Un ancien Premier ministre qu'on appelle encore par son ancien poste (alors que depuis 2022, Johnson n'a plus de mandat politique".
C'est tout à fait normal qu'on l'appelle ainsi. Le protocole veut que l'on dise Monsieur le Premier ministre lorsqu'on s'adresse à un Premier ministre ou à un ancien Premier ministre. -
DéLecteurdeVraiThé
En Anglais son livre est "Unleashed", c'est à dire détaché, débridé (comme un cheval), déchaîné, libéré... et pas la notion de fierté qu'on trouve dans l'indomptable
Son origine sociale, son mépris pour les autres, tout cela lui fut par défaut, il n'a eu aucun combat à mener, juste un roquet qui aboie et qu'on ne fait pas taire d'un coup de pied au derrière par un respect mal placé pour ce monde qui l'a mis là où il est né
Et face à lui, mettez en plus la crème de la crème du journalisme rampant Français, la réussite d'une opération de promotion
-
DéLecteurdeVraiThé
Je lirais plus tard cet article mais de voir sur @SI la gueule de ce scarecrow of UK, cet épouvantail précurseur du scarecrow des USA, le débile à la tignasse orange, ça me mets dans une colère telle !!!
et en plus je suis tombé sur une émission de radio (France Inter) où il était reçu ce pauvre type, cet engeance de honteDire de lui qu'il est excentrique, c'est encore le raccrocher à un orbite d'humanité alors que cette pourriture... bon j'arrête les qualificatifs... je vais avaler ma salive, boire mon thé et revenir à l'article de Pauline Bock qui doit avoir trouvé des choses intéressantes à dire sur cette pourriture, cette engeance de honte, cet épouvantail........... et c'est reparti
-
Max Médio
Hollande n’était pas disponible ?
-
Limonchell:o)
Comment ce fait il que l'on interroge un menteur compulsif notoire.
-
Carnéade le Fataliste
Je propose un échange, on accepte de le garder sur nos plateaux mais on leur envoie Manuel Valls.
-
Pekebou
L’Occident a (ou a eu) quand même une belle brochette de tarés à sa tête :
Johnson
Trump
Biden
Macron (qui traite les haïtiens de cons)
Meloni
Hollande
Starmer
Blair
Netanyahou (géologiquement fait partie de l’occident)
L’affreux Johnson a du sang Ukrainien et Russe sur les mains. Voilà comment il a fait capoter les négociations entre Russes et Ukrainiens juste après le début de la guerre :
« La Russie et l’Ukraine semblaient relativement proches d’un accord qui « aurait mis fin à la guerre et fourni à l’Ukraine des garanties de sécurité multilatérales, ouvrant la voie à sa neutralité permanente et, à terme, à son adhésion à l’UE », selon une étude détaillée .
Naftali Bennett a déclaré dans une interview l’année dernière que « les deux parties étaient très intéressées par un cessez-le-feu… et les deux parties étaient prêtes à faire des concessions considérables… Mais la Grande-Bretagne et les États-Unis, en particulier, voulaient que ce processus de paix prenne fin et se concentraient sur une poursuite de la guerre. »
Le ministre turc des Affaires étrangères Mevlüt Çavuşoğlu, qui a organisé la réunion à Istanbul, a fait écho à ce commentaire. Il a déclaré à CNN que « certains, au sein des États membres de l’OTAN, souhaitent que la guerre continue ». « Ils veulent que la Russie s’affaiblisse », a-t-il ajouté.
« Les pays occidentaux ont vu les Russes saigner et ont vu cela comme une opportunité de renforcer l'Otan », a observé Eyal Hulata, ancien conseiller à la sécurité nationale d'Israël, également impliqué dans les tentatives de médiation…..
Alors que les négociations se rapprochaient d’un éventuel accord, le Premier ministre britannique Boris Johnson est arrivé sans prévenir à Kiev le 9 avril 2022.
Selon un article de l’Ukrainska Pravda , Johnson a apporté deux messages : « Le premier est que Poutine est un criminel de guerre, il faut faire pression sur lui et non négocier avec lui », et « le deuxième est que même si l’Ukraine est prête à signer certains accords ou garanties, elle [l’Occident dans son ensemble] ne l’est pas ».
Avant sa visite, Johnson a « donné pour instruction » à Zelensky « de ne faire aucune concession à Poutine », a écrit le chroniqueur Simon Jenkins dans le Guardian .
David Arakhamia a déclaré que Johnson était venu à Kiev pour informer les responsables ukrainiens que l'Occident ne signerait aucun accord avec Moscou, mais qu'il leur demandait plutôt : « Combattons simplement. »
Alicia Kearns, alors députée conservatrice et devenue plus tard la même année présidente de la commission des affaires étrangères du Parlement, a également fait part de la position britannique : « Nous préférons armer les Ukrainiens jusqu’aux dents plutôt que de permettre à Poutine de réussir. »
On ne sait pas si le plaidoyer de Johnson a été la raison principale de l'échec des négociations , mais elles ont bel et bien échoué »
Sources : https://www.declassifieduk.org/lets-just-fight-how-britain-prefers-war-over-peace-in-ukraine/
-
Jean-Louis
Vous oubliez l'émission de 20 minutes sur France Culture du 19 novembre... mais c'est vrai qu'il n'y a pas d'image.