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antenne
A quand Alain Badiou invité à s'exprimer sur @si ?
http://antennerelais.canalblog.com/archives/2009/05/18/13772478.html -
asinaute convaincue
Je suis convaincue que tout outil de connaissance peut se transformer en instrument de manipulation/ domination... mais ce n'est pas obligatoire quand cet outil reste au service d'une pensée ouverte, quand il n'est pas "un argument d'autorité" inféodé à une subjectivité plus ou moins consciente, le tout se transformant en expertise dont la finalité est est de répondre "oui" ou "non", "blanc" ou "noir"...
J'ai eu peur de ce type de résultat tout au long de ma lecture, et votre dernière phrase, Judith, a balayé toutes mes craintes...
Pour moi votre chronique illustre magistralement un aphorisme attribué(?) à G. Braque, à savoir "Il ne s'agit pas de convaincre, contentons-nous de faire réfléchir"... programme que j'essaye délibérément de mettre en pratique dans ma vie, tant pour ses aspects concrets qu'abstraits... Et ce n'est pas chose aisée quand les attitudes de ceux "d'en face" relèvent du besoin de convaincre...ou que soi-même "oublie" momentanément son "beau" projet !!!!
Mais quand le résultat souhaité (faire réfléchir) est au rendez-vous, quel que soit le bord où l'on se trouve, alors notre corps peut "soupirer d'aise", nos neurones, "frétiller et s'allumer du plaisir de la stimulation", nos besoins de relationnel et de liberté, "se déclarer comblés" .
Merci Judith pour votre autorité si respectueuse du contenu de nos propres pensées. Votre attitude est assez rare pour que j'insiste sur cet aspect et le loue très sincèrement. J'espère que ces derniers mots ne seront pas vécus comme une plate flatterie (sourire!). -
LUZ
Je m'en doutais, merci de l'avoir démontré !
Je ne dis pas tous pareil.
Je me dis : 3 000 salariés et plus sont licenciés chaque jour.
Et tous n'ont qu'une chose à nous dire : votez pour nous en juin, montrez votre mécontentement et faites une énième journée d'action...
Je ne voterais pour personne.
J'irais apporter du café aux grévistes dont l'entreprise est délocalisée et mettre 5€ dans leur caisse de grève.
J'irais boire un verre avec un jeune qui a fait centrale, licencié comme des milliers de "financiers" et qui est serveur en face du BHV, histoire de pouvoir payer son prêt.
Il n'y aura pas d'insurrection encore un truc pour les gogos. Il y a seulement des gens qui aspirant à travailler se cognent à la désorganisation imposée par les partis et la plupart des syndicats pour imposer le chacun pour soi, l'état pour lui dirigé par SM SARKOZY ou BAYROU, ou JOSPIN/SEGOLENE/MARTINE/FACTEUR/L'OUVRIÈRE EN LUTTE/MELANGEONSPCF...
Il n'y a rien à attendre des institutionnels.
Gardons la culture pour ceux qui vont venir. -
alexis kleiner
au moment de balayer devant sa porte, voilà l'un des aspects les plus intéressants de ce papier
troublant en effet comme une critique littéraire se transforme vite en propagande politique
judith sait de quoi elle parle, mais je lui sais gré de savoir le reconnaître
à défaut, mais ça viendra je l'espère de l'analyser -
kawouede
Au passage, récemment je me suis demandé si à l'époque de l'Affaire Dreyfus j'aurais trouvé si important que ça de choisir son camp, ou plutôt de se battre et de manifester pour défendre l'honneur du capitaine - pour la République, c'est autre chose.
Je crois savoir qu'il n'y avait qu'une minorité d'intellectuels dreyfusards, beaucoup d'anti (eux me débectent évidemment, autant que la plupart des @sinautes j'imagine), mais aussi une masse d'indifférents. Et que l'opinion publique, elle, s'en serait moquée pas mal n'eussent été (j'ai bon?) les journaux.
Quand on voit la masse de condamnations injustes et d'actes racistes et antisémites ordinaires commis par l'Etat et ses représentants (armée et police, dans les colonies comme en métropole) au cours de notre beau XIXe siècle, mais aussi au XXe siècle, ne pouvait-on pas relativiser l'affaire Dreyfus ? C'était, je pense, la conviction de bien des "leaders" ouvriers et responsables syndicaux à cette époque - eux qui s'attirent à titre posthume les foudres de Joffrin. -
kawouede
Ni Modem, ni staliniens, c'est possible ?
L'édito de Joffrin-Duclert, même s'il fait des raccourcis et rappelle un peu les Gracques, apporte au moins une idée importante : la gauche n'a pas à être forcément marxiste pour être de gauche.
Encore un effort et Libé pourrait découvrir l'écologie politique !
Bon mais Dumont ça date pourtant de 1974... sans parler de Gorz et d'autres... -
delphes
Ce papier m'interroge.
Doit-on reprocher à une chronique d'être subjective
Même si je n'aime pas la pente que prend Libé, je trouve le discours de Joffrin intéressant (comprenez : il ne me convainc absolument pas ; mais sa stratégie et son papier me semblent intéressants). Les journalistes doivent être objectifs ; mais je ne vous cacherai que j'aime bien les espaces de paroles où les journalistes prennent parti.
Et dès que l'on prend parti, on cherche à convaincre.
Rien ne me choque là-dedans. C'est le point de vue de Joffrin ; il tente d'associer Bayrou à certaines figures de la gauche.
C'est un droit, c'est un choix ; c'est aussi notre droit de ne pas être d'accord. Il faut rester méfiants, faire ce travail d'analyse que vous nous proposez.
Mais pour ma part, je ne souhaite pas que les journalistes cessent d'écrire des papiers de ce genre ; c'est aussi ça, le débat d'idées. Je crois.
Ca ne me dérange donc absolument pas.
Le plus intéressant, ce serait que quelqu'un d'autre propose une autre lecture de Bayrou ; et là, je serais très contente ! -
Juléjim
J'ai relu 3 fois la chronique tellement je suis embarrassé pour y réagir de façon un tant soit peu pertinente. J'ai deux sources d'embarras, et qui se nourrissent mutuellement, pour ne rien arranger.
1- n'étant pas abonné je ne suis qu'un lecteur épisodique de Libé papier, je ne fréquente plus le site (je préfère Rue89), bref je connais mal le journal dans sa globalité.
2- si Joffrin donne des signes patents de "centripathie", peut-on pour autant orienter l'ensemble du journal avec tout l'équipage journalistique dans cette direction ? autrement dit, l'ensemble des journalistes de Libé se retrouvent-ils tous derrière le panache désormais "bayrouiste" de leur directeur de publication ? Ça me parait peu probable, de là où je suis, en tout cas.
Pourquoi Daniel, qui doit bien connaître un peu le journal depuis le temps, ne vient-il pas nous éclairer sur ce point ? -
Compunet
bouhhh pour le coup je suis de tout coeur avec vous Judith, vous vous êtes attelée à la tâche (bien cruel de la part de votre patron) de lire tout un article sur Bayrou avec coeur, je dis bravo..... et je compatis !!
toutes ces lignes, toutes ces lettres, tous ces points (avec majuscules qui suivent, ouf !) et ces points-virgules....... et sans même une image à colorier pour vous détendre... ben chuis ravie de pas être chroniqueuse chez @si !!!-:)
proposition a postériori : pour vous détendre vous auriez pu gribouiller sur le ciré jaune... pfff affreux le ciré jaune !
sérieusement c'est un très bon article qui pose bien le problème de la place de nos journaux aujourd'hui, de leur indépendance dans ce qui s'appelle une ligne éditoriale, de l'influence des patrons de nos médias sur leurs journalistes et de leurs interventions pour justifications personnelles (arggg j'ai encore mal à mon Hees de ce matin !!)
sans doute n'y a-t-il pas de réponse absolue : les lecteurs ne sont pas dupes et savent pertinemment que le journal qu'ils achètent est d'un bord ou d'un autre.... mais la question qui se pose aujourd'hui, c'est à quel moment le rédacteur en chef tombe à pieds joints dans la propagande ??
quand on se souvient des 6 pages d'un Barbier sur les sarkozy pour l'Express du temps du ciel bleu sur l'Elysée, bof pas terrible !!
maintenant Joffrin pour Libé... dans votre chronique on sent une forte inclination (c'est peut-être un euphémisme -:)) pour Bayrou...
faire d'un choix politique un choix éditorial, c'est sans doute un risque d'enfermement idéologique pour le journal, et c'est la crainte, à terme, pour les lecteurs de n'avoir plus que des médias organes officiels de partis politiques !!
une solution est celle de Jean François Kahn, quitter le journal pour se lancer dans le parti : franc, direct, pas d'ambiguité ;
autre solution, si on veut à tout prix rester journaliste et que l'on a pour dessein personnel d'influencer le lecteur, dire pour qui on vote, que ce dernier choisisse en conscience de lire ou non l'article ;rien de pire que l'idée de cette propagande détournée... déjà qu'on n'a plus une très bonne image de nos journaleux [s]parisiens[/s] français !!
autre possibilité, ne pas vouloir influer, laisser la possiblité à ses lecteurs-auditeurs de choisir par eux-mêmes et considérer son métier comme un moyen de transmettre, de partager, sans l'arrière-pensée de vouloir influencer, ni imposer ; être capables de proposer divers horizons même éloignés de son ciel personnel, loin de l'éditorial propagande !
j'espère que cela est possible pour une chronique ou une critique littéraire !
pour le reste, à suivre dans nos médias...... -
Gamma gt
Admirable explication sur " l'utilisation de l'histoire "
je n'y avait pas pensé, ni réflechi.
En qques années de BBB et @si, j'en ai plus appris qu'en 30 ans,
si ça continue, je vais mourrir intelligent ET cultivé.
Sans aucune ironie de ma part !
la bringue à tout va, m'avait coupé de toute culture !
je ne lisais plus, ne faisait rien d'autre que de me défoncer !
je ne votais pas, malgré ma sympathie pour la gauche;
voilà, voilà,
c'est tout con ..... la franchise
gamma -
yannick G
Message 1/5max du 15/05/09.
Autre thème que permet d'aborder votre chronique, Judith, celui de l'utilisation de l'Histoire.
Pour Joffrin, l’Histoire est une source d’expériences dont il se sert pour promulguer des interdits (par ex. ne pas s'attacher à l'idéologie) et ériger des modèles (tel ou tel personnage, tel ou tel comportement). Non seulement, l’Histoire a montré, mais elle a prouvé. C’est ainsi qu’il faut faire.
Mais ce n'est pas là le seul usage que nous pouvons faire de ce vaste réservoir des expériences humaines.
L'Histoire peut aussi nous permettre de sonner l’alerte sur certaines dérives possibles, car, pour peu que les conditions se rapprochent de ce qu'elles furent à l'époque, ce qui s'est produit une fois peut se reproduire... Il nous faut donc être vigilant, attentif à ce que l’Histoire peut nous dire.
Dans les deux cas, il s’agit de tirer des leçons de l’Histoire. Pour autant, celles-ci sont radicalement différentes dans leur nature.
Dans le premier cas, l’Histoire, d’une somme de faits, se transforme subrepticement en une somme de droits et devoirs. L’Histoire y est un fatum, en l’utilisant, il ne s’agit pas de souligner qu’elle peut éventuellement se reproduire, mais qu’elle le doit, c’est structurel, indépassable.
Alors que dans le second cas, l’Histoire a illustré certains des cheminements possibles, mais il ne s’agit pas d’affirmer péremptoirement que tous les possibles l’ont été. Par conséquent, elle ne dit pas que ce qui a été devait être et surtout devra être à nouveau, seulement que cela n’est pas interdit.
De prime abord, la nuance peut paraître des plus ténus, pourtant elle est cruciale. Le premier usage de l’Histoire est catégorique, il fond l’Histoire en ce qu’elle ne peut pas être, un argument d’autorité, alors que le second, nous incite à l’utiliser pour garder à l’esprit les possibles qui nous sont offerts.
Entre prescription d’un côté et responsabilisation de l’autre, nous avons là deux approches antagonistes de l’Histoire, l’une fermée (l’éternel retour du même), l’autre ouverte (sur le possible) qui ne font pas bon ménage et pourtant cohabitent.
Sachons les distinguer pour ne pas tomber dans le piège que nous tend ceux qui exploitent la première approche.
yG -
bcolo
Très bon article, Judith, merci beaucoup. Vos articles et vos émissions sont à mon avis ce qu'il y a de mieux sur ce site (avec certains articles d'Alain Korkos). Précision de l'analyse, qualité du style, tout y est (il ne manque que l'image...).
Quand à Joffrin, il est à Libé ce que Val était à Charlie.
Et sinon, qu'en pense Daniel, lui qui émarge à ce journal centriste ? -
Pythias
[large][/large]Cette chronique s'interroge sur l'inclination de Joffrin pour Bayrou, mais surtout de sa sinuosité arrogante lorsqu'il déclare sa flamme.
Bien... C'est vrai que nous sommes dans la critique des médias et que partant de ce principe il nous faut absolument analyser la rhétorique du moindre édito dès qu'un rédacteur semble pencher vers un courant ou un autre.
Malgré mon réel attachement au travail de Judith Bernard (qui est une des chroniqueurs pour lesquels je me réabonnerais) je ne suis pas convaincue par l'intérêt de cette chronique.
Joffrin laisse entendre qu'il faut pencher vers Bayrou et ne pas se laisser piéger par les réflexes- doctrinaux -et- rigides- de -la -gauche- dogmatique. Et il écrit tout ça avec la morgue insupportable de l'homme installé, sûr de son intelligence et fort de sa direction de Libé. Bah... est-ce si grave ? Est-ce vraiment si terrible ? Les lecteurs de Libé sont-ils vraiment si infantiles qu'ils ne puissent contrer les arguments d'un rédacteur en chef, même si doué en sournoise rhétorique ? Et par ailleurs, si ils se laissent convaincre, ne peut-on croire une seule seconde que c'est parce qu'ils ont réfléchi, lu, analysé et non parce qu'ils sont manipulés ?
La critique permanente des médias est parfois épuisante. Je ne la trouve pas vaine (sinon, je ne me serais pas abonnée à Asi) mais elle manque parfois de pertinence. J'ai souvent l'impression qu'à la place du scepticisme, de la raison, de la réflexion, elle oppose la suspicion et les procès d'intention.
Est-il bien honnête de la part de Joffrin d'écrire son article comme il le fait ( admirable démonstration de Judith par ailleurs, par ailleurs ) ? J'avoue que cette une question qui me laisse froide. Peut-être parce que j'ai confiance en Joffrin (même si je ne partage toutes ses idées, en l'occurrence un rapprochement avec le centre), et que naïvement, je me dis qu'un homme rédacteur en chef d'un grand journal de gauche "roulera " peut-être pour un politique de gauche ou du centre mais que c'est vraiment du temps perdu que de tergiverser sur sa prose ou sa rhétorique. Ce qui m'intéresse c'est ce qu'il dit et non comment il le dit. Et ce qu'il dit c'est" le centre et Bayrou, après tout, c'est pas si mal."
C''est de ça dont il faudrait discuter (enfin, je veux dire, quand on est socialiste). Enfin, je crois...
D'ailleurs, cela m'amène à une autre réflexion.
C'est incroyable le nombre de procès d'intention qu'on peut se faire à gauche.
lors d'un dîner, si une personne déclare "je suis de droite" tout le monde la croit sans problème, sans discution. voilà, c'est enregistré, elle est de gauche. Par contre, si elle se déclare de gauche, on vérifiera.
C'est pareil à Asi, sur le forum, et partout en fait.
Croyez-vous vraiment qu'être de gauche est si estimable et enviable que l'on se vante lorsque l'on se déclare à gauche ? et qu'il faut donc prouver à l'être tout gonflé d'orgueil qu'il n'est rien qu'une sale raclure de droite ?
Et que donc être de droite c'est être ou "naturel" ou "méprisable". comme le péché originel en fait; c'est franchement peu reluisant, voir condamnable mais c'est la nature humaine.
En tout cas, peut-être que l'état de la gauche n'est pas glorieux et que les politiques ne sont pas très désirables en ce moment. Mais franchement, vous nous avez vus ? c'est à qui sera le plus de gauche , celui qui sera le plus "gauche pure", le"plus gauche moderne", le "plus gauche vraie", le"plus gauche originelle...etc, etc...
il me semblait pourtant qu'être de gauche c'était tout simplement porter une certaine conception du monde et de la société, réfléchir sur le monde pour qu'il soit le plus juste et le plus libre possible. Ce n'est ni une injure, ni une gloire, ni une qualité, ni une compèt'.
Ouh ! Il est tard !
bonne nuit à tous !
Ps Vraiment, je suis désolée, mais j'ai vraiment sommeil ! je ne relis pas...(ça ne va pas être brillant...) -
Thanatos
Deux sympathisants socialistes sur trois souhaitent une alliance avec le modem
Voilà, c'est ça la gauche maintenant: une ribambelle de socio-démocrates et de bien-pensants.
Une gauche pathétique, une gauche sans convictions, une gauche de la coalition et des mesurettes. Une gauche du sociétal plutôt qu'une gauche du social.
Mélenchon et quelques autres avait fait tout un travail pour expliquer pourquoi le programme de Bayrou s'apparentait à la droite. Qu'a fait Ségolène Royal ensuite ? Elle a proposée à Bayrou une alliance. En ce sens, Ségolène Royal tout comme François Hollande sont révélateur de cette nouvelle "gauche", si tant est qu'elle mérite encore ce nom.
La seule qualité de la gauche actuelle, c'est de pas être la droite. La gauche n'a pas besoin d'être élue, la gauche n'a pas besoin de faire alliance avec le centre ou de sacrifier tout esprit démocratique sur un grand manitou. Non. La gauche a besoin d'être reconstruite.
ps: Ça vaut le coup de le lire le livre de Bayrou ? Des @sinautes ont tentés ? -
PatriceNoDRM
[quote=Judith]Sont-ce là des moyens honnêtes de faire connaître, voire partager, un engagement politique, ou au contraire de le dissimuler sous l'air supérieur de ce qui fait "autorité"
Entre une droite arrogante qui ne prend même plus de précautions pour donner le change, et une gauche pitoyable, à la ramasse, et qui, même si je me méfie des sondages, s'apprête à prendre une deculottée aux européennes, je sais pas vous, mais moi je craque...
Alors Laurent Joffrin, et plus généralement les journalistes de Libé, ne sont-ils pas tout simplement comme moi, paumés ?
Des fois, j'ai comme des envies de voter pour le facteur...
Je sais, c'est con.
PatriceNoDRM -
Robert·
A l'heure qu'il est, et de balayer devant ma propre porte
Pour le zeugma, je n'aurais pas mis la virgule! -
Anthropia
Joffrin avait déjà essayé avec Delanoé, mais raté, le mot "libéral" n'est pas passé.
Alors il a changé de cheval, c'est à présent Bayrou.
http://anthropia.blogg.org -
Gavroche
Dans l'Huma de demain, un article sur le sujet :
Bayrou est bel et bien un homme de droite...
http://www.humanite.fr/Bayrou-le-recours-pour-la-droite -
ramon 4
Ahhh , pouvoir se venger de Laurent Joffrin...
Il y a des petits plaisirs simples, dans la vie, auxquels on ne résiste pas, quand une bonne occasion se présente.