De la crise grecque à Shutter Island
Judith Bernard - - Sur le bout de la langue - 199 commentairesThérapie de choc et hallucinations
C’est très désagréable cette impression : qu’il y a deux réalités. Ou bien une seule, mais que les manières de la comprendre sont si diamétralement opposées qu’on ne peut les embrasser ensemble sans avoir l’impression de devenir fou. La première "réalité" de la crise grecque nous montre un pays qui a joué avec le feu, un peu truqueur un peu menteur, et qui doit, maintenant que sonne l’heure de vérité, payer l’addition. Ça s’impose comme une évidence mathématique : n’y a plus d’argent, faut arrêter d’en dépenser follement (ces treizième et quator...