ASI Lite
  • Articles
  • Émissions
  • Chroniques
  • Connexion

Pour accéder à la totalité du contenu vous devez vous connecter avec vos identifiants à Arrêt sur Images.
Pour des raisons de sécurité cet accès est restreint pour le moment. Demandez la procédure à l'auteur, François.

  • Civa 16 décembre 2025 à 17:36

    Je soupçonne les insectes d'avoir mangé l'argent par millions, je ne vois que ça.

  • C&S 16 décembre 2025 à 14:20

    Un article qui revient aussi sur cet échec retentissant. Plus détaillé sur les problèmes techniques, économiques et financiers. Sur la même ligne que l'article d'ASI, et même en pire...

  • Shamael 15 décembre 2025 à 09:47

    Les lois de la thermodynamique sont pourtant trés clair : )

    Le soleil, la pluie et le vent sont gratuit...S'en passer est stupide.


    Je l'avais dit il y a 10 ans : )

  • gracques 15 décembre 2025 à 09:36

    Ebitda..... pfuuu pourquoi pas le bon vieux excédent brut d exploitation.... on comprend déjà un peu mieux et puis Ebe c'est plus court....

    Bon je sais .... boomer.... et alors?

    Quant au fonds.....la perted argent public la dedans est scandaleusealors qu il y a tant d investissement collectif à faire.... eau,  énergie  transports, santé, éducation......

    Mais j adore la dernière phrase.... en effet l argent privé que l on injecté dans ces boîtes  c est un peu le casino.... le surplus qu ils peuvent perdre pour tenter un jackpot.... surplus de valeur arraché aux salariés..... Saint Romaric Godin apôtre du prophète Marx n aurait pas dit mieux....

  • Asinaute sans pseudo 3534a 15 décembre 2025 à 09:30

    Toute notre économie est construite sur du sable .Tout est fictif , bullshit job et compagnie . La plupart des tafs ne servent à rien . Je crois qu’un emploi financé par le CICE coute 100 000 euro , ben là ça fait l’emploi à combien ? Notre économie , fait un cercle , et à un endroit de ce cercle , il y a un petit malin qui prend le pognon .Exemple , production laitiere , fournisseur d’aliments , fromageries , distributeurs , clients , primes européennes .Et ben vous ne devinerez jamais qui prend le pognon des primes ? Les fournisseurs d’aliments , la fromagerie , et le distributeur .Le seul à qui les agriculteurs s’en prennent , c’est la distribution . C’est les seuls qui sont visibles pour le grand public .Et les perdants les clients et les agriculteurs , les clients parce qu’is paient trois fois , chez leclerc , et dans leurs impots ,et dans la qualité ,  les agriculteurs , avec leurs impots , et par leur travail  , et leurs santé . C’est super bien foutu , à mon avis c’est sur ce système que bolloré a  trouvé comment faire disparaitre largent dans les paradis fiscaux  . Des putains d’aspirateurs à pognon ces mecs , rien d’autre ! Il faut se débarrasser de ces mecs ,dans la même charrette que tous ces politicards .Direction , place de grève on lève le bras du nord ouest au sud est , et on taille et on taille , et on taille ….Comme le gilet jaune , brice de nice ! Vous avez vu le film ? C’est notre histoire !

  • JEAN FERRUC 15 décembre 2025 à 06:42

    Article bien fouillé et sans concession, à la différence de ces journaleux économiques en carton.

    Personnellement, j'ai été amené à travailler dans une start up amienoise qui avait effectué des travaux préliminaire sur la valorisation des vers de farines en temps qu'ingredients pour l'alimentation humaine. Ingrédients, un bien grand mot pour des larves matraquées à vif par de la vapeur, histoire de les sacrifier et les décontaminer. Le pb , c'est que les protéines sont flinguées, pas fonctionnelles, du "sable azoté" si vous me permettez l'expression. En plus de sacrés pbs d'odeur, c'était plutôt répugnant cette espèce de boue à base de chair de ver broyé... dans la littérature scientifique, ça fait presque 50 ans qu'il y a des études sur l'extraction, mais pas tant que ça par rapport aux protéines de soja ou de cereales par exemple. Le hic, ça reste bien une consommation humaine pour le moins sujette à caution, bien que l'on se nourrisse depuis belle lurette de crustacés, arthropodes cousins des insectes. Les insectes, ça rebute, c'est perçu comme des nuisibles. Et comment sur ces bases peubengageantes les dirigeants de Ynsect ont pu défendre leur business model, sans quoi pas de financements? Ya sûrement eu une collusion à un moment. Où ils ont eu en face d'eux une bande d'ignares sur tous ces verrous propres à la conso d'insectes.

    Note: bosser dans ce type de start up de conseil en biotechs, comme j'ai pu malheureusement l'expérimenter (4 mois et puis s'en va), c'était plutôt difficile, tellement vous entendez dire que: "l'image c'est le plus important,  satisfaction du client obligé. Car si on se rate, demain on peut être morts (economiquement) . Foutaises, quand on sait que ces start ups sont gavées d'argent public. Climat tellement délétère, que quand j'ai recroisé un ancien salarié de cette boîte, il m'a dit que sur les 22 salariés que je connaissais en 2017.. . Il n'en restait que 3-4 aujourd'hui!

  • Asinaute sans pseudo a4874 14 décembre 2025 à 21:15

    Le dernier paragraphe est… tiré par les cheveux 

  • FORTUNALAND 14 décembre 2025 à 20:50

    Les startuppeurs etaient des copains à Macron ?

  • Georges-Henri 14 décembre 2025 à 19:23

    Commençant la lecture je tombe sur :

     "Et alors que Brandt peut crever la gueule ouverte, que l'on empêche les salariés de reprendre leur entreprise, pendant des années une start-up s'est gavée d'argent public et privé. Pour des prunes'"

    Et c'est exactement ce que, comme nous tous sans doute, je pensais.


    En fait, la Scop est l'ennemi du capitalisme,  et le pouvoir en est l'ami.

    Même" l'Opinion" est affligé par la position qu'on peut qualifier de  doctrinaire du gouvernement.  C'est dire.


    Pour Ynsect, rien que l'idée de broyer des scarabées me répugne et qu'un malade fermant les yeux le soir, se soit vu chef d'une entreprise à broyer des scarabées me laisse perplexe.

  • kouma 14 décembre 2025 à 19:09

    Ah si on appliquait le même traitement à ces dirigeants, journalistes et gouvernement , tous incompétents 



  • Ortino 14 décembre 2025 à 17:54

    "Comme on l'a dit, Ynsect n'était plus une start-up depuis longtemps. "


    Tout dépend de votre définition de startup.

    Ma définition personnelle est qu'une entreprise est une startup entre sa création et le moment où elle devient rentable et cesse de vivre de ses capitalisations.
    Et donc Ynsect était toujours une startup., malgré la taille et la durée.

  • robin 14 décembre 2025 à 16:40

    il semblerait que de nombreux produits agroalimentaires soient boosté aux protéines aux US si j'en crois David sur 28 minutes jeudi ( vers 39:55 )

    dans ce modèle de société qui se contente de produire de la matière première il serait peut-être bon qu'ils maitrisent la chaine de distribution, s'insérer dans une holding importante peut-être, sauf qu'il aurait suffi de ne pas confier son étude de marché à l'institut OPIF

    le parallèle avec Brantd , remue le couteau dans la plaie, le refus d'une coopérative bénéficie aux chinois, avec leurs 1000 milliards d’excédents, ils ont les moyens de corrompre nos décideurs, en plus des journalistes financiers ( RT me manque dans ce domaine!) 

  • KE-SAIS-je 14 décembre 2025 à 15:08

    On assiste à la  métamorphose des cloportes et des subventions grâce aux thuriféraires  de la start-up nation qui sont naturellement coprophages.


    -N'oublions pas que la plupart des  insectes piquent comme la plupart des gérants de start-.up , mais, eux, dans la caisse....

  • Daligreen 14 décembre 2025 à 14:37

    Merci beaucoup pour votre article qui couvre très bien tous les aspects de ce sujet ! 

    Enfin on parle de la face cachée des entreprises subventionnées, biberonnées aux fonds d'investissement, mal gérées de surcroît et pourtant portées aux nues par les médias...

    Une entreprise de production alimentaire n'est pas une société de services, elle a des charges fixes et un coût de main d’œuvre autrement plus importants. Pas besoin d'être expert pour voir venir l'échec de ce modèle de développement. Ca ressemble à de l'escroquerie organisée... au détriment des salariés pour finir.

  • pompon 14 décembre 2025 à 14:18

    Nombre de journalistes devenus publicitaires-influenceurs sont en passe de devenir escrocs. Que fait la justice ? Oû est passé l'argent ?

    Questions rhétoriques, évidemment. 


Dossiers - Thèmes - Auteurs

Ce site open-source affiche les contenus d'Arrêt sur images d'une manière optimisé sur mobile. Non affilié à Arrêt sur images. Créé par @francois2metz. Voici la documentation de l'API.