Javier Milei : pour les médias libéraux français, c'est de la bombe, bébé

Maurice Midena - - Médias traditionnels - Quoi qu'il en coûte - 22 commentaires

Faut-il rappeler que l'ultra-libéralisme est toujours un fascisme ?

Le président argentin, élu il y a un peu plus d'un an, a pu voir son bilan allègrement défendu en France, par les tenants du libéralisme. Au point de minorer ses échecs. Et d'en oublier son projet politique dans son ensemble.

Il faut se rappeler que l'Amérique latine a déjà été le terreau des saloperies néolibérales. Ainsi s'est bâti le Chili à partir de 1973, année où le président socialiste Salvador Allende a été renversé - et s'est donné la mort. Augusto Pinochet a pris le pouvoir, a institué une dictature, le tout en faisant de son pays la boite de Petri des expérimentations des laborantins de l'école de Chicago, à coups de privatisations, de baisse des dépenses publiques, de dérégulation de l'économie, avec des succès pour le moins mitigés économiquement - et désastreux humainement. De telle sorte qu'il faut prendre au sérieux ce qu'il se passe de l'autre côté de l'Atlantique, en Argentine, où le président Javier Milei, élu en décembre 2023, disti...

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