Compunet 26 avril 2010 à 19:05
Hervé Morin et son Nouveau Centre, une des nombreuses victimes collatérales de la nouvelle guerre menée par notre chef de guerre suprême, et à laquelle il a donné le doux nom d'Ouverture ; ça faisait moins belliqueux mais le résultat est le même : les morts politiques se comptent à la pelle !!

quid du soldat Boeckel et de sa Gauche Moderne ?
et de toute la soldatesque : Kouchetoilà, Amara, et le gentil Hirsch !!

morts au combat du sarkozysme !
ce qui leur a au moins évité le poteau d'exécution électoral !!

à propos de Hirsch, et parce que j'aime beaucoup vos mises [s]aux poings[/s] au point, sieur Sherlock, j'ai entendu un bout d'émission sur France Inter sur le "gentil Martin Hirsch" pas particulièrement aimé de ses compagnons d'armes dans la guerre contre la pauvreté, les compagnons d'Emmaüs, qui le voit comme un énarque opportuniste qui n'aurait fait que profiter de la "lumière de l'Abbé Pierre" pour que quelqu'un genre Sarko le sorte de l'ombre à un moment ou à un autre ; compagnon qui n'a jamais mis la main dans les chiffons et les meubles à retaper ....
ce serait intéressant de se pencher sur l'obscur...... mais si gentil grhumpfff.......... Martin Hirsch non ??

Talasrum 21 avril 2010 à 19:28
En clair, il part à la pêche au fric électoral via une campagne financée par son titre de ministre... Pasqua de la grande époque ne lui aurait pas proposé autre chose !!!!
Thalasrum

little jo 21 avril 2010 à 18:22
Oh oui! J'ai vu les deux émissions (ruquier et c politique) et la lettre oubliée 2 fois, ça m'a choqué. Tête en l'air ce ministre ;)

Watson 21 avril 2010 à 18:21
Après les « petits loupés » de Jean-François Copé qui croustillaient sous la dent, la semaine dernière, comme de petits soufflés dont on fend délicatement la surface caramélisée, voici que je déguste à présent la recette des choux de sleepless. Hervé Morin est dans les choux. Nessus l’a été aussi en son temps. Ce centaure m’est apparu, surgissant du fond des âges. Nessus a succombé sous les flèches d’Hercule pour avoir voulu enlever Déjanire et il tomba également à l’eau. Mais le centaure auquel j’ai pensé, allez savoir pourquoi, n’avait aucune exacerbation musculaire que ce soit. Il était lourd, gras, percé comme une grosse outre d’où ne coule que le mensonge. Mais attention, en retournant sa veste, le centaure laisse des cadeaux empoisonnés. Ainsi en tout cas le peintre Böcklin voyait Nessus.

alain-b 21 avril 2010 à 16:36
Si vous aussi, vous parlez la langue de bois
non mais je prends des cours ;-)
Le HM il a une jolie page de fan sur fessebouque http://cy-gb.facebook.com/morin.herve où il y a tous les liens des jolis articles qui parle de lui et même qu'on peut voir l'émission de Ruquier et celle de Demorand. Et même des jolies photos.
Par contre y'a encore du boulot au niveau du nombre de fans (seulement 1500 alors que Bayrou en a presque 10000).

ceci n'est pas un pseudo 21 avril 2010 à 15:27
le mort vivant, un politicien virtuel, pratiquant la politique politicienne : je m'en fous comme du pape.

j'espère qu'un on reconnaitra l'utilité du vote blanc, ou si ce n'est pas possible l'obligation d'un quorum : si l'absentation est majoritaire, on invalide l'élection - pour cause d'incapacité des candidats à convaincre l'électorat - et on la recommence avec de nouveaux candidats.

sleepless 21 avril 2010 à 15:17
Sel
Sucre
Vinaigre blanc (de riz ou de citron)
Huile
Mirin
Un chou moyen

Faites un mélange équilibré pour obtenir une sauce sucrée légèrement salée et assez vinaigrée, pour un chou moyen râpé il faut un bol de sauce (la taille d’un bol de riz).
Râpez le chou, laissez tremper 20 minutes dans l’eau froide additionnée d’une cuillère à soupe de sel, rincez, égouttez.
Mettez le chou dans un grand saladier, arrosez de votre bol de sauce, mélangez à la main ; très rapidement pour que le chou se ramollisse tout en restant croquant, il devient ainsi plus digeste.
Egouttez le chou, pressez fortement le chou entre vos mains pour extraire la sauce que vous jetterez.
Remettez dans un saladier propre, arrosez d’une cuillère à soupe d’huile (pure de sésame, ou si vous craignez le goût, faites un mélange d’huile de colza et de sésame) et une cuillère à soupe de Mirin (et pas Morin...).
Saupoudrez avec un peu de sésame grillé, et au choix un peu de menthe, du persil ou de la ciboulette.

tr4nz1t 21 avril 2010 à 15:06
il a toutes ses chances, vu que les français aiment bien les traîtres.

charlie.lapared 21 avril 2010 à 12:00
En plus, à chaque fois que je vois un homme politique qui joue au baroudeur de l'armée avec un casque, je pense à Maggy Thatcher sur son char d'assaut, avec son casque, pendant la guerre des Malouines (en fait, n'était-ce pas un avion dans lequel elle montait ? J'ai comme une absence).
Et à chaque fois, je suis morte de rire : on n'y croit pas !

charlie.lapared 21 avril 2010 à 11:55
Voilà qui est fort complet sur cet homme qui a commencé sa carrière de ministre sur une trahison...
Il m'a en effet semblé l'entrevoir (beau temps et déplacement en province obligent) tout au long de ce week-end sur l'écran-télé des amis chez qui j'étais.
Chaque fois je me suis demandé de quoi il pouvait bien parler...
De rien alors puisqu'il "fait sa com'"...
Mes potes, disaient d'un des chats, pris de sa crise de fin de journée : il fait son "intéressant".
Alors Morin a-t-il fait son "intéressant" ce week-end ?. Et ses interviewers... auraient-ils oublié que, non seulement il est à la tête d'une armée de métier qui se fait dézinguer grave en Afghanistan, mais qu'en plus ce type s'est fait connaître grâce à sa trahison de Bayrou (bon, perso, Bayrou, bof... mais j'ai des principes : trahir un ami de ... 15 ans(?) ça c'est nul.
En passant, en Afghanistan, nous avons des journalistes (qui ont enfin des patronymes) retenus en otage... any news ?