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UneSorcièrecommelesAutres♫
Un angle de vue bien plus élargi, à l'écart de la doxa dominante, dans cette interview de Nathalie Arthaud à ouvrir dans un nouvel onglet, ou à regarder là :
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jeanbat (le vrai jeanbat)
la nouvelle la plus flippante du moment pour moi: la guerre se prépare et il n'y à aucune contestation.
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jeanbat (le vrai jeanbat)
Sur la chaîne de télévision croate 4. Vladimir Poutine
Il s'est adressé aux Européens : « La Russie n'a jamais été et ne sera jamais votre ennemie !
Nous ne voulons pas de matières premières et de richesses européennes, nous avons nos propres matières premières et richesses, nous n'avons absolument pas besoin de vos matières premières. La Russie est le pays le plus riche du monde en matière première.
Nous ne voulons ni de votre terre ni de votre territoire. Regardez la largeur de la Russie sur la carte. La Russie fait deux fois la taille de toute l'Europe en un seul endroit. Pourquoi aurions-nous besoin de vos terres, qu'en faisons-nous ?
Pourquoi pensez-vous que la Russie est un ennemie de l'Europe ? Quels dégâts la Russie vous a fait ?
On vous a vendu du gaz et des matières premières à des prix inférieurs aux prix auxquels vos "amis" vous vendent actuellement ? OUI
La Russie a-t-elle sacrifié 20 millions de personnes pendant la deuxième guerre mondiale pour se débarrasser des nazis ? OUI
La Russie a-t-elle été le premier pays à aider l'Europe pendant la pandémie de Covid ? OUI
Avons-nous aidé l'Europe quand il y avait des incendies et des catastrophes naturelles ? OUI
Qu'est-ce que la Russie t'a fait pour que tu la détestes tant ?
La Russie n'est pas votre ennemi ; vos vrais ennemis sont vos dirigeants, ceux qui vous dirigent ! ”
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Denis Couderc
Je zappe sur ta chronique Libé : tu vas être obligé de Le Laisser Parler, le mainstream à l'accent basque ?
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Tristan Le Gall
La semaine où les États-Unis ont commencé à tuer des Ukrainiens par Phillips O'Brien
Les États-Unis sont désormais un ennemi actif de la démocratie, non seulement en Ukraine, mais dans toute l’Europe. Le fait qu’ils aident la Russie, avec une certaine jubilation dans le cas du président, à tuer ce qui était récemment l’un des peuples les plus pro-américains du monde, un peuple désireux d’être un allié des États-Unis, en dit long sur la période sombre que nous traversons actuellement. Le sort de la liberté dans toute l’Europe est en jeu.
Il va donc sans dire que la réaction européenne est essentielle. Il n’y a pas de prise de conscience générale que l’Europe est confrontée à un grand défi, mais même là, je ne suis pas sûr que les gens comprennent vraiment la réalité de ce que fait Trump. Il y a encore ceux qui cherchent des signes indiquant qu’il pourrait être correct, qu’on peut lui faire confiance, que l’OTAN a toujours sa raison d’être. Plus tôt l’Europe fera pleinement face à la réalité de ce à quoi elle est confrontée, mieux ce sera.
[...]
Le gouvernement des États-Unis a pris des mesures spectaculaires ces derniers jours pour aider la Russie et affaiblir l’Ukraine, ce qui aura pour conséquence de faire plus de morts parmi les Ukrainiens, de réduire les pertes russes et de saper la démocratie ukrainienne.
Ces mesures sont globales, stratifiées et conçues pour punir l’Ukraine de ne pas faire ce que Trump veut. Cela vaut la peine de les énumérer, vous pourrez ainsi voir à quel point ces changements sont importants.
- 1) Les États-Unis ont arrêté la livraison de toutes les fournitures militaires à l’Ukraine. L’administration Trump avait en fait ralenti l’approvisionnement des fournitures restantes de l’ère Biden pendant un certain temps. Cependant, même les matériels autorisés par Biden et déjà payés ne sont plus livrés.
- 2) Les États-Unis ont cessé d’autoriser l’Ukraine à attaquer les forces russes avec certains systèmes américains de grande valeur tels que les HIMARS.
- 3) Les États-Unis, dans un geste particulièrement tordu, ont rendu la défense de l’Ukraine contre les attaques de missiles russes beaucoup plus difficile. Ce que les États-Unis ont fait, c’est de ne plus avertir l’Ukraine de ces attaques, ce qui les rendra beaucoup plus meurtrières et efficaces.
- 4) Les États-Unis bloquent en fait les fournitures non militaires telles que le matériel médical, qui est essentiel pour maintenir en vie les Ukrainiens blessés. Cela a commencé avec la réduction de l’aide de l’USAID, mais atteint à présent un niveau extrême avec l’absence de fournitures médicales pour soigner les soldats ukrainiens. Les États-Unis interdisent également aux Ukrainiens d’avoir accès aux données des satellites commerciaux Maxar, qui leur étaient largement accessibles (et à de nombreuses agences civiles) tout au long du conflit.
- 5) Les États-Unis signalent à Poutine qu’ils souhaitent que ses priorités stratégiques soient respectées à court terme.
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En règle générale, les mesures concrètes prises par Trump ont uniquement pour but de nuire à l’Ukraine et d’aider la Russie. Il admet donc ici aider la Russie à tuer des Ukrainiens.
C’est la position officielle du gouvernement américain et, par conséquent, du peuple américain. Il est étonnant de voir à quel point cela est peu critiqué.
L’Europe doit comprendre que si les États-Unis sont prêts à aider la Russie à tuer des Ukrainiens aujourd’hui, ils pourraient facilement être prêts à aider la Russie à tuer d’autres Européens demain.
NB: le professeur Phillips O'Brien tient un substack où il donne, au moins une fois par semaine, une analyse pertinente de la guerre en Ukraine. C'est un des meilleurs analystes de ce conflit.
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jeanbat (le vrai jeanbat)
explication de la crise ukrainiene du point de vu realiste lien: mearshemer speech
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jeanbat (le vrai jeanbat)
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shuppy
"En Russie, la "ligne dure" qui est finalement peut-être celle du Kremlin devant son boulevard, ne voit pas les choses en terme de cessez-le-feu suivi de négociations. "La Russie n’a pas besoin d’une trêve, mais de la reddition des néo-nazis en Ukraine" dit un politicien russe soutien du Kremlin.
Un arrêt des combats qui permettrait des négociations entre gens civilisés, c'est un truc de démocraties. Le Kremlin n'a pas besoin de ça pour baisser l'intensité du conflit ou y mettre fin. La Russie a des objectifs qu'elle ne perd pas de vue. Ils peuvent se réaliser militairement, ou non. "la reddition des néo-nazis" n'a aucun sens, mais pour eux cela veut dire qu'ils veulent la tête de Zelensky. Dans leurs cerveaux malades, il est "les néo-nazis". Le fantasme de ces gens, c'est une présidentielle ukrainienne qui serait téléguidée par Moscou pour y mettre un des leurs. Leur rêve est de créer un Bélarus bis, sous contrôle, réprimé, sans opposition ni élections libres, presque géré comme une région russe. C'est un fantasme car les ukrainiens maintenant victimes de centaines de crimes de guerre ont déjà signifié plusieurs fois qu'ils ne voulaient pas de ce plan.
Une élection manipulée par Moscou est par contre de l'ordre de l'imaginable, c'est ce que vise le Kremlin. Tt cela confirme que si le Kremlin est preneur d'un cessez-le-feu, il fera tout pour ne pas "fermer" le conflit tant qu'il n'aura pas atteint ses objectifs. Parce que si le cessez-le-feu est un moyen utile dans la stratégie militaire du moment, ce n'est pas particulièrement vu par le Kremlin comme une façon d'atteindre la "paix" dont ils se foutent finalement pas mal. Pourquoi s'embêter à blanchir l'occupation du Donbass et du sud de l'Ukraine si on peut avoir toute l'Ukraine?
La Russie partage désormais avec les États-Unis l'idée de puissances maitresses de leur étranger proche. Il est probable que les deux pays s'entendront pour balayer la question des territoires occupés et plutôt construire une occasion de livrer toute l'Ukraine dans les mains de la Russie. "
Paul Gogo @paugog.bsky.social
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Tristan Le Gall
En finir avec les mensonges et la barbarie : soutenir l’Ukraine ! - par Jean-François Collin, et publié sur le blog de Paul Alliès, président de la convention pour une 6e République (C6R)
La prolifération de la désinformation sur la guerre en Ukraine, dont le Kremlin et, désormais, le bureau ovale sont les premiers relais, trouve un écho favorable dans les prises de positions dites réalistes ou souverainistes en Europe occidentale. Si la condamnation de cette nébuleuse de fake news et d’analyses géopolitiques est primordiale, elle doit aussi s’accompagner de la réaffirmation d’un soutien total au peuple ukrainien. Donald Trump met en œuvre une politique erratique et brutale depuis le mois de janvier.
Il peut dire n’importe quoi sans que personne n’ose vraiment le contredire. Un jour il traite le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, de dictateur, le lendemain il dit aux journalistes ne pas se souvenir d’avoir dit une chose pareille, et le jour suivant, il organise un traquenard à la maison blanche pour administrer une leçon au président ukrainien, en l’accusant d’être responsable de l’invasion de son pays et de jouer avec la troisième guerre mondiale. Volodymyr Zelensky s’est conduit dans ces circonstances avec une dignité dont devraient s’inspirer les autres dirigeants de la planète, face à deux individus, Donald Trump et J.D. Vance, qui mentent sans vergogne et emploient sans cesse un mot dont ils ignorent le sens : le respect. Respect, dans la bouche de ces deux chefs de gang, signifie allégeance au chef et ne se rapporte en aucune manière au sentiment d’estime que l’on peut porter à quelqu’un en raison de sa qualité et de ses mérites. Pour être respecté, encore faudrait-il être respectable. Si j’étais Américain, je me serais senti humilié d’être représenté aux yeux du monde par deux personnages aussi pitoyables, grossiers et imbus de leur pouvoir, lors de cette mise en scène du lynchage du président ukrainien, tout comme je l’ai été en voyant, quelques jours plus tôt, Emmanuel Macron et Donald Trump se taper sur le ventre en riant aux éclats, dans le même salon de conférence de presse de la Maison Blanche. La brutalité, le grotesque et la grossièreté sont devenus des attributs indispensables du pouvoir. Hier, Javier Milei était élu président en Argentine en brandissant une tronçonneuse comme emblème de son action à venir. On espérait qu’il s’agissait d’un accident isolé. Espoir déçu.
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L’invasion de l’Ukraine par la Russie, une juste réponse à l’extension continue de l’OTAN? C’est la thèse défendue par une partie des « spécialistes de géopolitique », ceux qui se présentent comme des réalistes et mettent le soutien à l’Ukraine sur le compte d’un sentimentalisme de mauvais aloi, qui aveugle les simples d’esprit, manipulés par les fauteurs de guerre américains. A moins qu’il ne s’agisse de va-t-en-guerre animés par un méchant esprit antirusse. La question de l’élargissement de l’OTAN s’est d’abord posée pour l’Allemagne réunifiée. Il fut décidé dès 1990 d’accorder aux nouveaux Länder d’Allemagne de l’Est les garanties dont bénéficiait l’Allemagne de l’Ouest comme membre de l’OTAN. L’Alliance atlantique s’est engagée en même temps auprès des Russes à ne pas stationner ses forces dans les Länder orientaux de cette nouvelle Allemagne. Cette promesse a été tenue.
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Rappelons également que la charte de Paris « pour une nouvelle Europe », de novembre 1990, également signée par l’Union soviétique, donnait à tous ses signataires la liberté de choisir leurs propres arrangements en matière de sécurité. Les enregistrements déclassifiés des discussions entre les présidents Bill Clinton et Boris Eltsine en 1997 sont sans ambiguïté sur le refus américain de prendre un engagement relatif à l’extension de l’OTAN en Europe orientale, alors que Boris Eltsine insistait pour obtenir cet engagement, même sous forme d’un engagement secret du président américain (voir notamment l’entretien du 21 mars 1997 dont le verbatim a été déclassifié en 2017). L’existence de cette supposée promesse a été l’objet d’une littérature considérable et de multiples déclarations. Aucun document n’en atteste l’existence. Même un chercheur américain comme Joshua Shifrinson, favorable à la thèse de la promesse faite à la Russie de non-extension de l’OTAN, a dû convenir après des recherches approfondies qu’il n’existait pas d’engagement écrit de cette nature[1]. Si une telle promesse avait été faite, on voit mal pourquoi un communiqué conjoint russo-polonais de 1993, indiquant que l’entrée de la Pologne dans l’OTAN « ne serait pas contraire aux intérêts des autre États, y compris la Russie », aurait été publié.
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Un des zélateurs de la thèse poutinienne en France, Emmanuel Todd, bute sur cette difficulté dans son dernier livre, pour finalement trouver une explication aussi solide que tout le reste de cet ouvrage, qui laisse le lecteur partagé entre l’indignation devant les thèses qu’il développe et l’éclat de rire devant leur absurdité. Son explication de la résistance inattendue des Ukrainiens à la barbarie russe est la suivante : la « russophobie » dont souffriraient les Ukrainiens aurait entraîné une disparition de la représentation politique de la population russe d’Ukraine, laissant le champ libre aux ultras nationalistes de l’Ukraine occidentale. Il fallait y penser en effet. Les dictateurs, qu’il s’agisse de Vladimir Poutine ou de Donald Trump, et ceux qui les soutiennent, n’ont aucun souci de cohérence.
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Mais voilà que Donald Trump est revenu au pouvoir. Il manifeste bruyamment son soutien à Vladimir Poutine, insulte les Ukrainiens et leur président et veut négocier la fin du conflit entre l’Ukraine et la Russie sans même consulter l’Ukraine. Il veut imposer au passage un tribut exorbitant aux Ukrainiens sous la forme d’un traité assurant aux Etats-Unis le contrôle des ressources naturelles ukrainiennes. Il les priverait ainsi de toute possibilité de se reconstruire après avoir été privés d’une partie de leur territoire, en plus d’avoir été privés de leur liberté, et de la justice. Comment les géopoliticiens qui défendent la théorie de la guerre américaine par procuration depuis 3 ans, expliquent-ils que du jour au lendemain, les Ukrainiens, hier présentés comme le bras armé des États-Unis en Europe, soient devenus l’ennemi commun des Américains et des Russes ? Quels intérêts stratégiques américains ont changé à ce point en quelques semaines pour justifier un tel revirement ? Vladimir Poutine a envahi l’Ukraine en espérant pouvoir en faire une conquête rapide et facile. Il n’y est pourtant pas parvenu en raison de la résistance nationale désespérée des Ukrainiens, appuyée de loin et avec beaucoup de limites par les Européens et les Américains. Donald Trump se soucie comme d’une guigne de l’Europe et de la liberté des Ukrainiens. Il ne voit dans cette guerre que l’opportunité pour les États-Unis de faire main-basse sur des ressources minérales stratégiques, dont ils auront de plus en plus besoin. Il est tout à fait prêt à se les partager avec la Russie, qu’il considère comme un allié fiable, dont le responsable lui ressemble en tout point. Ils partagent d’ailleurs la même rhétorique sur la décadence de l’Occident corrompu par les valeurs woke, qu’ils se proposent de remplacer soit par la pureté slave orthodoxe, soit par l’amoralité brutale et sans règles des barons voleurs, ceux qui ont régné aux États-Unis à la fin du XIXe siècle et au début du XXe siècle. C’est ce que le vice-président J.D. Vance est venu dire aux responsables européens tout récemment, avant d’insulter le président ukrainien à la télévision. Pour Trump comme pour Poutine, les Ukrainiens ont tort parce qu’ils refusent de plier, parce qu’ils n’acceptent pas le retour aux formes les plus brutales de l’impérialisme.
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shuppy
"Nous allons forger la civilisation la plus libre, la plus avancée, la plus dynamique et la plus dominante qui ait jamais existé sur la surface de cette Terre "
D.Trump
.... et elle durera 1000 ans !
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DéLecteurdeVraiThé
L'honneur de l'Ukraine et celui de Zelinsky ont été bafoués par ces deux s....ards et le journaliste utilisé comme prompt
J'ai un souvenir d'une autre fois où il m'a été douloureux de vivre une telle situation, c'est lorsqu'un pape dont je ne me souviens plus du numéro visita le Nicaragua et réprimanda en direct de son doigt levé le prêtre ministre Cardenal, une ignominie sans nom de la part de ce pape
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Simon
les pro-russes et anti-OTAN du forum, les jeanbat, jammrek et autres pekebou, ont sans doute bien aimé cette entrevue qui risque d'abréger la guerre et qui va acter la victoire de Poutine et le démembrement à plus ou moins grande échelle de l'Ukraine.
je m'étonne toujours de ces 3 forumeurs qui passent leur temps à défendre l'agresseur face à l'agressé, en débitant tout un tas d'arguments fallacieux et d'excuses à la noix.
vous ressemblez à Meyer Habib justifiant l'injustifiable à Gaza.
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Smith
Quand ils sont venus chercher les Ukrainiens, je n’ai rien dit, je n’étais pas Ukrainien
Quand ils ont enfermé les Moldaves, je n’ai rien dit, je n’étais pas Moldave
Quand ils ont enfermé les Polonais, je n’ai rien dit, je n’étais pas Polonais
Puis ils sont venus me chercher, et il ne restait plus personne pour me défendre.
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UneSorcièrecommelesAutres♫
Je pose là un parallèle, un extrait du dialogue trump macron...je n'y connais rien en costume, mais celui de macron me semble assez classe...
et finalement comme dab ce n'est qu'une histoire de sous...trump n'a pas d'avoirs russes...
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christina
Le VU du jour :
https://www.youtube.com/watch?v=5BS1XM7Wpp4
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Asinaute sans pseudo f3cd1
Aujourd'hui, dans les médias, c'est la Saint-Glucksmann !!!
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DéLecteurdeVraiThé
voilà comment tout le guet-apens à commencer
Et il y a des gens pour admirer cela
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DéLecteurdeVraiThé
"Why don't you wear a suit?"
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Limonchell:o)
Une image,mieux qu'un discourt.
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Bartabac
A partir du moment où les américains n’entraient pas en guerre physiquement , c’était couru d’avance , et si ils étaient entrés dans la guerre on se prenait des bombes nucléaires sur la tete . Je n’ai jamais perdu une guerre , vous savez pourquoi ? Parce que je n’ai aucunes limites quand j’estime avoir raison , et je suis déterminé . C’est ça que vous n'arrivez pas a comprendre .Vous n’êtes que du blabla , vous n’êtes que des neolibéraux , vous n’êtes rien . Et surement pas des hommes , tout au plus des singes . Traduit directement du Russe .