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Limonchell:o)
Sur Antenne 2,dans le journal de samedi,un reportage sur les soldat-e-s qui font des vidéos,photos qui sont insupportables et d'une impunité dans les armées israéliennes
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Factory
Cela s'appelle de la persécution, l'acharnement chez les dominants à ne voir leurs victimes que sous la lumière de la domination. La cruauté sans limite qui pousse a humilier encore les victimes même quand elles sont a terre, même endeuillées, même affamées, blessées.
Oui c'est bien un génocide et ces tweets le confirment, dans leur cruauté assumée, insatisfaits de voir des survivants essayer de continuer de vivre, ricanant de leur propre barbarie.
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Genevieve
Merci Daniel. Parfois, j'ai peur que mêmes mes meilleurs amis deviennent des racistes sordides à cause de la charge insensée des merdias télévisés contre tout ce qui ressemble à un arabe. Tu parles de ton expérience de 68. Moi, j'avais 13 ans et j'ai découvert cette année là ce qu'était un piquet de grève, mon papa qui était tout sauf un révolutionnaire me l'a expliqué et j'ai été fière de lui comme jamais; Il existe un film qui raconte le parcours de deux jeunes provinciaux qui découvrent 68 en "montant" sur Paris par les chemins de traverse... C'est ça, l'idée de liberté, non?
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shuppy
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DéLecteurdeVraiThé
dans le ghetto de Varshe (Varsovie en Yiddish) savez-vous ce qu'ils osaient faire en pleine guerre alors que d'un jour à l'autre, ils disparaîtraient : ils se réunissaient pour jouer de la musique avec les pauvres instruments qu'ils avaient. Comme la nourriture manquait et qu'il fallait des forces pour jouer d'un instrument, tous apportaient une part de leur maigre portion pour nourrir les musiciens
Et savez-vous, de qui ils jouaient les œuvres : des grands musiciens Allemands,
la guerre, le ghetto, les atrocités dont ils avaient connaissance ou qu'ils avaient endurées n'avaient pas réussi à leur faire oublier ce qui avait compté et comptait dans leur existence
Si j'étais Palestinien, je n'aurais peut-être pas été à la plage car la plage n'est pas ce qui compte dans ma vie, mais qui sait si dans les moments d’accalmies tandis que les Israéliens détruisent tout autour de moi, je n'aurais pas lu de la poésie avec mes amis, et qui sait le livre d'Amos Oz "Entre Amis"
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Ata Raxie
La vie de Rachel Khan ; du plagiat à la plage...
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shuppy
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rêveur.357
Ça me rappelle un roman où le personnage central était accusé d'être allé se baigner le lendemain de la mort de sa mère. Mais impossible de me souvenir du titre de ce roman, ni de son auteur. Le personnage principal avait un nom de cru, Beaune ou Chorey, quelque chose comme ça...
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Taloublue
Merci pour cette page d'intelligence, encore une fois, je dirais presque "apaisante" si ce n'était le contexte, mais rassurante sur l'humain!
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petit - saconnex
" Un génocide en cours à Gaza "alors que l'armée israélienne s'est largement retiré de Gaza , c'est compliqué à expliquer .
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Crétin des Alpes (en liberté conditionnelle)
Simon, 6583 publications
Et rien mais rien de rien qui mérite autre chose que le mépris.
Mais Simon, 6583 publications...
J'attends le bannissement avec confiance.
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Poisson rouge
Rima hassan convoquée par la PJ pour apoligie du terrorisme. Daniel faites gaffe de ne pas avoir une convocation.... Notre pays va vraiment mal
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Poisson rouge
Magnifique texte d'Ella Keliam dont voici un extrait :"Faut-il avoir une noirceur d'âme pour laisser des enfants se faire massacrer dans la plus grande indifférence et venir moquer de toutes ses forces ses forces d'élan de vie des rares survivants...."
NOIRCEUR D'ÂME c'est effectivement le qualificatif adéquate.
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Crétin des Alpes (en liberté conditionnelle)
« En mai 68, j'ai dix ans. Un mois durant, "les affrontements" comme le rapporte Europe 1 chaque matin, ravagent le quartier latin. Barricades, pavés arrachés, charges policières, reportages enflammés, occupation, fermeture et réouverture de la Sorbonne. Je vis à cinq stations de métro de l'Odéon. Mes nuits sont paisibles. »
Merci pour la franchise.
En mai 68, javais vingt ans pour plus longtemps. Et vu de ma province inconsciente, les « évènements » ont été une période de vacances consacrée à l’arpentage des Dômes de Polset, de la Grande Motte, du Dôme de neige des Ecrins, et de quelques autres lieux de moindre importance que la vacation de la faculté où j’étais censé étudier m’ont permis. C’était l’époque bénie où sans avoir un sou, on pouvait faire du ski de montagne.
Pour tout dire, après, j’ai fini par comprendre. Mais après, pas pendant.
Tout ça pour écrire que le temps ne fait rien à l’affaire. Le temps, ni le lieu, ni les circonstances.
Donc, quelques cloportes (j’ai écrit cloportes?) médiatiques se permettent d’affirmer que les enfants, les femmes, les hommes, les combattants palestiniens c’est pas vrai, parce qu’il y en a qui sont à la plage.
Comme si l’on vous montrait des images des plages de Normandie au matin du 6 juin 44 et que l’on vous raconte qu’ils étaient juste en train de prendre du bon temps.
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Brenda Relax
J'ai écumé quelques pays africains et pu voir des plages merveilleuses (lorsqu'elles n'étaient pas privatisées par des hôtels de luxe ou des camps pour expats) sur lesquels des gens qui n'avaient strictement rien s'ébrouaient.
Vu la série ultra centriste La Fièvre, dans laquelle l'héroïne fait référence à un texte de Zweig sur des pêcheurs de la Seine qui fixaient leurs bouchons au moment même où Capet se faisait décapétiser.
Enfin voilà, je ne sais pas encore de quoi Rachel Khan est le nom, même si j'ai le sentiment que c'est de quelque chose de bien pourri. Négationisme peut-être. Ça viendra.
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jammrek
Pour information l'une des raisons pour laquelle les gazaoui vont à la plage est que les Israéliens ayant détruit les systèmes de distribution de l'eau (en se vantant de l'avoir fait, rappel pour les négationnistes) c'est le seul endroit où ils peuvent se laver.
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une pomme de terre
Les camps en 44 étaient une sinécure : on y donnait des concerts de musique classique. Perso, hier soir, j'en entendu rire ma voisine alors que sa mère dont elle était très proche est décédée brutalement la veille, donc elle ne doit rien vivre de traumatisant.
Ah ... l'Autre, cette personne qui a le mauvais goût de ne pas nous ressembler, de vivre et de ne pas faire qu'on attend d'elle... Tout le problème psychologique des gens d’extrême-droite ! Un décentrage raté en somme.
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Poisson rouge
Après les « Gazaouis au marché » de Poujadas, les « Gazaouis à la mer » de R. Kahn et Balkani .
Après l’interdiction de 5 conférences de LFI sur le conflit israélo palestiniens, la condamnation (un an avec sursis) d’un militant cégétiste pour un tract demandant le cesser le feu.
L’odieux à table ouverte chez Poujadas et d’autres sans que personne n’y trouve à redire. L’abject à droit de citer au sein même des élus de la République par la voix de Mr Habid Meyer sans que personne n’y trouve à redire.
Par contre, cela se presse au portillon pour montrer du doigt ceux qui refusent de faire allégeance à la parole officiel mis en musique par le poulailler médiatique.
Pourquoi donc s’étonner qu’un concours Lépine soit ouvert pour cracher sur les Palestiniens et sur ceux qui les soutiennent.
Pourquoi s’étonner alors que tout cela est préparé de longue main.
Premier temps on criminalise, on paralyse les voix dissidentes par l’anathème suprême « antisémite ». Il est vrai qu’aujourd’hui le club a de nombreux membres et pas des moindres. Mais au départ toute la classe médiatique de médiapart à Cnew sont venus, bons petits soldats, en appui de la criminalisation, avec la bonne conscience pour certain que cela répondait « au sens commun ».
Quand les esprits ont bien été préparés, le second temps, celui de l’avilissement des Palestiniens et du bâillon mis sur la parole de ceux qui les soutiennent pouvaient advenir sans craindre une trop forte réaction.
Beaucoup et pas des moindres ont posé leur petit cailloux, leur petite pierre ou leur gros rocher c’est selon au maccarthysme ambiant, à la période du s’annonce.
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genevievebrt-163614 genevievebrt
C'est une bonne idee de rapeler le biais des images de guerre, mais dans le cas de Gaza il semble que seules les images des journalistes occidentaux sont prises en compte, et si je considere la reaction du jouraliste du monde dans l'avion pour jeter de la nourriture sur Gaza (quantité insuffisante et largage dangereux pour les gens en-dessous), ceux-ci sont surpris et choqués quand ils constatent directement l'etendue du desastre. Les images de CNN distribuées et commentées avec une retenue evidente sont aussi difficile a ignorer. Gaza est un territoire minuscule .... les seuls journalistes presents sont les habitants, certains ont naturellement encore un toit sur la tete, mais pour combien de temps, et certains ont aussi assez a manger, mais combien et pour combien de temps? Il parait que les reseaux sociaux sont inondés de video des soldats qui s'amusent ... C'est finalement ca qui nous montre a quel point certains ont perdu tout repere moraux