Bartabac 12 avril 2023 à 10:45

Impossible pour moi de comprendre cet engouement pour "les influenceurs " .Apparemment ils vendent des pommades , a oui on dit plus pommade . Et les jeunes les prennent comme modèle de vie parce qu'ils font du fric en étant très con , et que ça parait ouvrir des perspectives aux premiers connards venus meme si il n'a pas réussi a l'école , tout comme la téléréalité , et avant eux les chanteurs et les acteurs et le loto .Comment en est on arrivé là ? Vous etes sur qu'elle est là où vous la trouvée la responsabilité ? Bon il reste le trafique de came , les braquos , de moins en moins , pour réussir une vie épanouie ....A t on le droit de réduire l'homme a ce point de nullité ?De le réduire a son potentiel de fric ...

C'était pas le sujet ? Merde ... j'aurais la moyenne quand meme ?

jean-pierre lalo 9 avril 2023 à 11:30

Belle analyse et travail impressionnant... Un simple pinaillage de grammar nazi : quand vous évoquez McFly et Carlito, pensez-vous que cet épisode est une salissure sue leur "oeuvre" ou mettez-vous l'accent (circonflexe) sur l'hypothèse d'un travail (alors rémunéré ?)

Le Bavard

pompon 9 avril 2023 à 09:38

Merci pour cette intéressante mise en perspective.

Mais s'il n'y avait que les influenceurs qui n'étaient pas au niveau, ça se saurait et ce ne serait pas si grave! Eux, au moins, ne prétendent pas nous gouverner.

J'attends cependant avec impatience le moment où la remise en cause de la consommation - soit par prise de conscience (on peut rêver!), par hausse des prix, par effondrement des niveaux de vie, par rupture des approvisionnements, par peur de la violence (je réalise qu'il y a bien des causes possibles...) bouleversera le "système" si formidable qui nous mène, pulvérisant pouvoirs et influenceurs...