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tosh
tout a fait d'accord avec l'article. le patriarcat et le sexisme sont encore bien presents dans notre société et twitch n'en est que le triste reflet mais il me semble qu'on progresse. Le fait que ces problèmes soient largement repris médiatiquement et que certains goujats hypocrites soient forces de changer de discours sous la pression mediatique c'est qu'il y a bien un changement qui s’opère. De la meme maniere qu'ily a eu a mon sens un changement sur les propos tenus de maniére non anonyme sur twitter après la ligue du LOL par exemple. Alors on se doute bien que ceux qui changent de comportement ne le font pas generalement par prise de conscience, ils ont surtout peur d'etre "cancel" mais c'est un debut , la pression societale s'opere malgre tout.
L'anonymat reste un probleme car il permet de tenir des propos sans en assumer a priori les consequences : a priori car la justice a generalement les moyens de trouver l'auteur d'un propos condamnable en addressant des commissions rogatoires aux plateformes mais cela demande des moyens importants. est il pour autant possible ou souhaitable de supprimer complètement l'anonymat sur internet, je ne le pense ou ne le souhaite pas.... il faut continuer a améliorer la moderation et comme toujours donner plus de moyens a la justice.
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Limonchell:o)
Cela me fait penser à certains journalistes hommes qui casser les journalistes femmes,il y a quelques années,sur Twitter.
Les bourrins resteront des bourrins,surtout en groupe,quelques soient leur dates de naissances.
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fr4g
En plus de tout ce qui est dit dans l'article, avec lequel je suis d'accord même si y a malheureusement rien de nouveau sous le soleil (je me souviens des histoires d'harcèlement structurelles qu'avait subit Kayane et d'autres joueuses de la scène de Versus Fighting il y a 10ans). J'ai l'impression que ça montre également un autre problème : le déséquilibre des pouvoirs de modération.
Parce que ce dont se plaignent les streameuses ce sont deux choses :
1 - le harcèlement régulier dont elles sont la cible par des internautes (les communautés)
2 - le fait que certains streameurs soient ambigus sur ce qu'elles subissent voire dédouanent ces actes.
Que peut on faire dans le cas 1 ? Porter plainte. A ce moment là c'est la puissance publique qui est dans son rôle. Qui dit puissance publique dit "nous" de manière indirecte. C'est long, coûteux quand ce n'est pas infructueux (mais le précédent "Nadia Daam" est désormais acté).
Par contre dans le second cas, qui peut faire quelque chose ? Les mecs qui légitiment ou minimisent ce harcèlement ignoreront les critiques venant des personnes en dehors de leur communauté (les internautes non-abonnés ne soutiennent pas financièrement le streameur donc ça n'a pas d'impact sur ce dernier). La communauté du streameur peut devenir un refuge pour les auteurs de harcèlement, ce qui renforcera la toxicité globale tout en apportant des thunes au streameur qui devient alors dépendant de son public toxique et doit continuer à la satisfaire en les soutenant. Quand on voit ce que se permet PewDiePie avec son soutient au nazis tout en restant au top des classement des influenceurs, on comprend que les communautés ne lâchent pas leur influenceur.
Il n'y a donc quasiment aucune solution venant des communautés.
Ne reste que les relations inter influenceurs, tels les princes de l'ancien régime discutant entre eux et nous pauvre paysan sommes condamné à les regarder derrière nos écrans. etencore, on ne prend au sérieux ce que dit l'autre que quand on le considère comme important, c'est à dire avec une communauté de au mieux équivalente à la sienne, concours de qui à la plus grosse bonjour).
En l'état actuel des choses, que pouvons nous faire face à ça ? Peu de choses et c'est bien ça le problème. Le seul espoir serait que des streameuses arrivent à attaquer en justice non seulement les harceleurs mais également les streameur qui ont soutenus le harcèlement ou dénigré les victimes.
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lord
A lire les réactions je me dis que rien ne change en terme d'ignorance crasse et revendiquée vis à vis de nouvelles formes de communication, de médias ou d'arts.
En ce moment j'écoute un podcast sur le JV et réentendre des vieux propos de gens imbus de leurs autorités réelles et leurs fausses connaissances est assez réjouissant. Les réactions lu ici aujourd'hui iront dans pas longtemps rejoindrent les archives pour ressortir à l'occasion pour servir de témoignage de la stupidités des gusgus vis à vis de choses qu'ils ne comprennent pas mais tiennent absolument à critiquer -
pompon
Bon ben, moi, vraie vieillarde, j'ai trouvé cet article intéressant, même si je n'ai rien découvert.
Exposer une fois de plus les paradoxes de la nature humaine, exacerbés par la vitesse et la mémoire des technologies actuelles, ne me semble pas inutile. Cela fait longtemps que je crains les retours de bâton dans cette époque qui veut à tout prix distinguer les gentils des méchants (merci Michel Fugain et pas Darmanin) et pousse beaucoup vers l'hypocrisie. Une vraie société de schizophrènes est encouragée par des médias pyromanes.
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Athanase Broutechoux
C'est quoi, le "streaming" et le "streaming français" ?
Des petits pisseux et des petits merdeux descendants des années 60 qui ont découvert les joies et les possibilités d'internet : ils sont les dignes fils de leurs pères !
Y compris ceux que vous appelez les "stars masculines"
Franchement, cela devient pénible les articles d'ASI
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Tatanka
S'exposer au public par le moyen d'une caméra et d'un micro et penser ne pas être une cible atteignable?
Penser que la "virtualité" protège (j'ai dit META?) de la réalité sociale?
Avoir 50.000 "suiveurs" et penser qu'on a 50.000 amis.?
Montez sur une vrai scène pour faire votre truc devant un vrai public physique et affrontez les vrais projectiles. Ensuite plaignez vous.
Dès qu'on s'expose, on est une cible. Il serait bon de le faire savoir à tous ces petits jeunes qui s'illusionnent.
C'est valable pour les gars et les garces.
Je salut les Youtubeurs qui font du contenu dans des vidéos, écrites, filmées, montées quelque soit le sujet: ce sont des cinéastes (et accessoirement des scénaristes, cameramans, cadreurs, ingé son, monteurs, etc...)
Les gens qui font du Twitch sont des gens qui ont la tchatche et se mettent en scène sans prendre de risque.
Ça me fait penser à ces chanteurs, avec une voix magnifique, champion de karaoké à qui on a offert des heures de studio pour enregistrer un album et qui se sont révélé incapables de chanter en vrai. :-/
Vous savez c'est pareil pour tous ces musiciens youtube...
Bref, faites de vrais choses devant de vrais gens, ça fera du bien à la planète et à vous aussi.... :-)
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Asinaute sans pseudo 398e6
Aux streamers : Si sans les harceleurs vous etes plus que 10 aux Zevents, posez vous des questions les gars... ca en dit long sur le milieu
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Thin Max
"Et encore plus dans le monde des influenceurs, où l'entre-soi est exacerbé par les statistiques d'abonnement et où il faut être en bons termes avec les plus puissants, principalement des hommes, sous peine d'être mis·e à l'écart."
Oh que oui, et ça j'ai pu le constater dans les soirées de "YouTubers" où se formaient des cercles entre vidéastes qui avaient plus de 10k abonnés, plus de 100k etc... Et rarement les femmes sont admises dans ces soirées, autrement qu'en étant des objets sexuels potentiels ou de la main d'oeuvre pas cher pour des tournages. -
Thocast
Ca me fatigue, dans tous les articles qui parlent de sujets récents, les boomer mentaux qui viennent étaler fièrement leur méconnaissance du sujet et leur manque de curiosité "gnagnagna je comprends pas les termes gnagnagna quel intérêt gnagnagna pas au niveau". Profites en pour te renseigner et apprendre des trucs, Jean-Pierre, ou retourne regarder la TV et fous nous la paix.
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Antibrouillards
Je ne suis pas sûre d'employer le bon vocabulaire; streaming, plateformes, streameuses., ça n'est pas de mon temps! ..
Et je ne comprends pas ce buzz, ni de quoi se plaignent ces jeunes femmes ?
La visibilité, l'exposition, le public que leur donnent les réseaux sociaux" est sans commune mesure avec ce que l'on peut rencontrer dans la "vraie vie". Font-elles la différence?
Se montrer, même en pull pas trop décolleté sur ces espaces, qui sont hyper accessibles à n'importe qui, c'est comme si elles allaient se balader dans ce qu'on appelait "un mauvais lieu", c'est à dire là où des hommes recherchent des femmes "faciles". C'est à peu près comme de se promener sur un trottoir de la rue St Denis ou au Bois de Boulogne, en pleine nuit: au mieux on peut espérer ne tomber que sur des voyeurs et des dragueurs lourds, qui savent très bien flatter la jolie candidate.
Et là, au moins, dans la vraie vie, on a une chance de se faire dégager par les professionnelles, c'est une protection comme une autre.
S'imaginer que l'on va causer gentiment, avec des "amis" bien élevés, c'est vraiment soit de l'hypocrisie, soit de la naïveté. De l'inconscience, probablement.
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marco negre
rien compris à ce long article que j'ai pris la peine de lire juqu'au bout
quel est son intérêt ? qui concerne t'il ? avec en plus un tas de vocabulaire pseudo anglais dont je ne connais pas le sens dont déjà streameur