Diogene 13 juin 2017 à 12:43
D'un point de vue strictement technique, faire un trou dans un bateau, c'est le bon a ba du militaire. D'un point de vue service secrets, noyer un journaliste (attirant ainsi l'attention de la presse) et se faire gauler comme deux collégiens, c'est plutôt risible, à une mort près.
Peut être votre source en voulait il aux militaires d'avoir traité ça comme des bidasses et pas de façon finasse.

Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 12 juin 2017 à 17:38

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pierrounet 12 juin 2017 à 11:49
Bon, alors...
C'est comment, déjà, la "théorie du complot"?
Tout le monde sait aujourd'hui que ça n'existe pas, voyons...

Yanne 11 juin 2017 à 13:19
Hum !
La seule chose dont je me souvienne vraiment de cette affaire, c'est que la France avait fait rapatrier les "époux Thurenge" avec fracas, après que l'Australie ait commué une partie de leur peine, et que lémédias en France agissaient comme si tout cela était normal, qu'il en allait de l'honneur de la France.
Mais l'honneur de la France, c'est de ne pas organiser des actes terroristes qui provoquent la mort d'un photographe portugais, non ?

Je suis heureuse que vous m'appreniez que quelqu'un, malgré tout, un fonctionnaire, avait eu de l'honneur dans cette affaire...

Damien 11 juin 2017 à 13:10
Ca ne m’apparaît pas explicite dans la chronique, alors je pose la question, parce que je ne suis pas certain d'avoir tout saisi : on savait déjà que Pierre Verbrugghe était la source de Plenel et Marion ? ou alors c'est un scoop, révélé maintenant qu'il est mort ?

Tristan Le Gall 11 juin 2017 à 13:00
C'est toujours un plaisir de lire vos chroniques, M. Marion.