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  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 3 décembre 2008 à 20:26

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  • Romano C. 17 septembre 2008 à 14:55
    «A la lecture de cette chronique, Dominique Rossi peut tout de même s'estimer heureux de rester dans son île de beauté plutôt que d'être envoyé, comme au temps de Joffre, dans la ville des beaux thés.»

    Joli! ;-)

  • Fan de canard 12 septembre 2008 à 00:10
    Bon comme je vois que là-haut ça drague pas mal, je ne dirais donc que deux choses.
    D'abord, merci pour votre chronique pétillante.
    Ensuite, histoire de prolonger le commentaire de Code 18 un peu plus haut, et afin de rester parfait gentleman:
    A moins que vous ne le demandiez expressément, ce n'est pas moi qui vous sucrerait la soupe.
    Attention toutefois: ce n'est pas une incitation à trouver.

    (*) Qui n'a pas lu Ra-han ?

  • Fandasi pour clavier 11 septembre 2008 à 18:40
    Rappel et complément : Annesofijaquer : Se faire embaucher en CDI alors qu'on n' y croyait pas mais que tout le monde s'en doutait . Contraire : être limogé.

    A votre avis , l'expression familière nasebroque ( pour dire fatigué ou un peu dingue) a t'elle un rapport avec "hazebroucké" ?

    Merci pour votre chronique !

  • guillaume richeux-palier 11 septembre 2008 à 15:53
    votre très poétique post ( particulier la fin ) m'évoque ces quelques mots , d'un sacré clown qui nous quitta il y a peu , Raymond Devos
    "Le flux et le reflux me font marrer"

  • Patrice Guyot 11 septembre 2008 à 13:13
    Ah ! Parce qu’il reste en Corse, il ne va pas à Cayenne, Rossi ?

    Quel laisser aller dans l’administration !

    À propos d’infinitif, dans “être envoy[s]er[/s] é à Limoges c'est la punition”, envoyé est bien un participe passé.

    Il y a des choses intéressantes dans cette chronique, le coup du coq, par exemple, c’est ultra passionnant à divers titres et ça pose plein de questions :

    - Combien de temps le bain a-t-il duré ?
    - Le volatile a-t-il été détérioré par cette séance de natation intempestive ?
    - Comment se fait-il que Clavier ait un tel goût de chiottes ? Même s’il faut avouer que le choix de ses amis pouvait nous donner un léger doute.
    - Pour accompagner ce bel objet décoratif sur sa pelouse Clavier est-il équipé également de quelques nains de jardin, ou se contente-t-il des visites de son ami de très petite taille pour compléter son décor ultra-chic ?

    Et ce n’est pas tout, comme questions…

    - Comment est-il possible d’être dirigés par un type qui ne peut se retenir de faire le malin à chaque occasion, style “On t’a embêté, mon n'Alain ? Tu va voir comment que j’vais te venger et comment j’suis ultra puissant et burné commack !”
    - Comment est-il possible d’en venir à déplorer la mise au rancart d’un flic alors que, globalement, si on pouvait les mettre tous au rancart ça serait très bien (ils sont dangereux avec leurs motos et leurs armes de service !)

    À ce sujet, tout le monde semble ignorer que les policiers sont tenus à l’observation des même règles du Code de la Route que les autres usagers (excepté la faculté – si c’est réellement nécessaire – d’utiliser sirène et gyrophare pour franchir prudemment des carrefours)

    Tous les Parisiens (et je suppose les habitants des autres grandes villes) ont l’occasion de voir passer quotidiennement des véhicules de police roulant à 100 kmh. De quel droit ?

    ***

  • alexis kleiner 11 septembre 2008 à 13:10
    suite à sarlater ou castrer, imaginons encore...
    lavaler
    roubaiser
    arrasser
    nanterrer
    qui trouve mieux ?

  • code 18 11 septembre 2008 à 11:36
    je crois que le Vatican a aussi un purgatoire du côté du désert mauritanien où monseigneur gayot est en train de payer ses fautes, je ne me souviens plus du nom de ce gog et magog, zut !

    sinon bravo, j'aime votre style, votre humour est comme du sucre glace saupoudré sur votre culture

  • tchd 11 septembre 2008 à 11:02
    Rien à dire, cette chronique est irréprochable, comme toujours ... saut une légère faute de goût.
    Pourquoi nous imposer la photo des deux [s]hurluberlus[/s] copains avec leurs sourires forcés ( nico et chris ) ? Ils gachent un peu la poésie de la lecture.

  • memo 11 septembre 2008 à 10:57
    Peut-etre que si "limoger" a pris mais pas "hazebroucker", c'est parce que la grande guerre etait un evenement important, alors que l'incident du magistrat de Marseille ...

  • Gio 11 septembre 2008 à 10:38
    Je crois que en anglais on utilise le mot "shangaied" quand quelqu'un est envoyé soudainement quelque part contre sa volonté et de manière très brusque.
    D'ailleurs c'est le titre d'un vieux film de Chaplin.
    Sinon plus près de chez nous - mais il y a quelque temps - il y en avait qui se faisaient embastiller...

  • TiPi 11 septembre 2008 à 08:34
    On ne dit plus Hazebroucké , mais bienvenu chez les chti's

  • Antoine Saucy 11 septembre 2008 à 08:21
    Ouah, Anne-So... quelle chute élégante! Au moins ça prouve qu'on n'est pas forcément condamnés aux jeux de mots gras et vaseux pour boucler un article sur une pirouette! En tout cas, cette ville de beau thé m'a infusé une sacrée tasse d'optimisme qui va bien me faire la journée! Et vous, un nuage de lait?

  • Ervé 11 septembre 2008 à 07:35
    Du muscat à Patrimonio !?...
    Et pourquoi pas du Moustiers à Limoges ?


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