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  • LUZ 28 juin 2009 à 09:51
    Ils ont tous pris la raclée, c'est excellent !
    Ils la méritent tous sans exception.
    Je n'ai pas voté pour ce cirque, je n'irais pas voter aux régionales et je ne suis pas du tout "anar".
    S.M. le Président ne gouverne pas avec 11% mais avec 40% qui laissent tout passer.
    Et vous voulez qu'on manifeste pour des gens qui signent tout ?
    Quand vous êtes licenciés, ils viennent faire des discours du type "votez pour nous" mais après ?
    En Guadeloupe ils commencent à arrêter ou inculper des gens du LKP : qui en parle ? qui aide ? pas la gauche : n'est-ce pas aider la droite ?
    On s'en sort pas mais au moins on les emporte avec nous dans le vide.
    Si nous trouvions un parti qui nous aide vraiment, nous l'aiderons à foutre une vraie raclée à tous ces profiteurs, on leur confisquera leurs biens, leurs retraites et comme disent mes collègues de travail : on les fera travailler et vivre avec nous (imaginez S.M. le Président, La MARTINE, La SEGO, Le Cycliste de Neuilly, nos gros Sénateurs... dans nos HLM, nos métros ou bus de 5h, nos magasins pas chers, nos boulots de SMICARDS, de RSISTES... : imaginez, çà coûte pas cher)

  • Oblivion 23 juin 2009 à 20:57
    Madame Anne-Sophie, aujourd'hui, j'ai découvert le mot "transfèrement".
    La première fois que je l'ai entendu (ce matin), je me suis dit qu'il ne causait pas français le journaliste, la deuxième fois (ce soir), bon, ben, [s]il cause toujours pas français[/s] ah ! ben c'est nouveau que je m'est dit dans mon for intérieur !

  • Juléjim 19 juin 2009 à 18:32
    "...On y trouve également le mot raclure mais dans le sens originel, soit la partie qui reste quand on a raclé. Le sens péjoratif existe pourtant depuis le 16e et désigne l'ensemble d'individus au plus bas étage..."

    Ce mot" raclure" je le trouve affreux, plus encore que "raclée". J'imagine ce qui peut rester d'un individu, quelqu'il soit, lorsque "l'on a raclé" l'essentiel... Peu de choses donc en vérité. Et dire qu'on a un président qui a employé un terme approchant, sur une dalle, au raz des étages donc, où la plupart des gens, et pas seulement les jeunes, vivent de peu de choses.
    Sarko la classe...

    :-(

  • Compunet 19 juin 2009 à 11:47
    La raclée est-elle de droite ? Mais si oui, quel est son équivalent de gauche ?

    perso je dirais que le mot qui serait le plus de gauche serait le mot "déconfiture" ;
    si la gauche avait gagné, le Figaro aurait pu titrer : "Victoire écrasante de la Gauche : déconfiture à gauche comme à droite !"
    .....même lorsqu'elle gagne des élections la gauche donne une image déconfite voire abattue...
    mystère et boule de gomme !

  • alune 19 juin 2009 à 10:03
    tiré du Trésor de la langue française :
    JUBILATION, subst. fém.
    Action de jubiler, manifestation d'une joie vive et expansive qui se traduit le plus souvent par des signes extérieurs. Accent, clameurs, état, mine de jubilation; jubilation enfantine; mettre en jubilation; parler avec jubilation; vivre dans la jubilation. Le médecin d'accourir : aha! s'écria-t-il en se frottant les mains avec un air de jubilation, nous ne nous y laisserons plus prendre! (J.-R. BLOCH, Dest. du S., 1931, p. 181). Il ferma les yeux dans un accès de jubilation extraordinaire (VERCEL, Cap. Conan, 1934, p. 118) :

    Le sentiment de cette plénitude intérieure, d'une vie illimitée, le jetait dans un état de bonheur exubérant et indiscret. Jubilation de tous les instants. Elle n'avait pas besoin de la joie, elle pouvait s'accommoder de la tristesse : sa source était dans sa force, mère de tout bonheur et de toute vertu. Vivre, vivre trop! ROLLAND, J.-Chr., Révolte, 1907, p. 398.
    .

    Ca oui : il est content de lui!
    Mais la rancoeur s'accumule en attendant et, en montrant des adversaires tête basse face à ce NS triomphant la photo participe à l'ivresse du moment. Rester dans l'instant c'est la stratégie de la communication présidentielle. Des instantannés chaque fois glorieux.

    Mais la vie n'est pas dans l'instant, elle est dans la durée. N'importe quel couple le sais : c'est le quotidien qui pose problème pas les vacances.
    Les vacances de NS s'achèveront bien un jour (oui : actuellement il est en vacances, certes des vacances pleines d'activités au club castor junior de la plage), et il faudra revenir dans le pays, le monde réel.

  • mollows 19 juin 2009 à 05:53
    Le non-sens est un refuge, au Figaro aussi.
    Je vois que ça.

    Mais c'est un peu triste quand même.

  • Mister C 18 juin 2009 à 23:13
    Ce titre du "Figaro" est ridiculement bête et de très, très mauvaise foi.
    D'abord parce que l'ensemble des voix des "anti-Sarko" atteint tout de même 72,2 % des suffrages exprimés. Ensuite parce qu'en raison de l'abstention, les voix "pro-Sarko" ne correspondent en fait qu'à 11,26 % des personnes inscrites sur les listes électorales.
    Minable, pour ainsi dire, pour le Parti Unique d'un hyperprésident omniprésent et autoproclamé grand réformateur.
    Si raclée il y a eu, ce sont donc les fesses de Mr Sarkozy qui doivent en garder un souvenir ému.
    Pas de panique cependant : il peut compter sur les langues douces, humides et serviles des journalistes du "Figaro" pour atténuer ses souffrances...

  • Annie Sétoualé 18 juin 2009 à 20:20

    La raclée est-elle de droite ? Mais si oui, quel est son équivalent de gauche ?


    Le bouillon ?

  • Robert· 18 juin 2009 à 19:51
    il n'y a pas si longtemps!

  • Fandasi pour clavier 18 juin 2009 à 19:36
    La raclée est-elle de droite ? Non , parce qu'à gauche , y ' a des baffes qui se perdent...

  • nightfire 18 juin 2009 à 17:42
    Question à vôtre objectivité:

    Si c'est la gauche qui a gagné les élections, que la droite avait obtenu un score minable, et que Libération titrait "La Raclée des Sarkozystes" ou la "Raclée des Anti-Socialistes"

    Est ce que vous auriez écrit le même article ? Pas si sûr ! ça aurait été quelque chose de normal. Dire que vous voyez là la droite qui "hait le peuple" n'engage que vous. Journaliste vous êtes ?

  • petit - saconnex 18 juin 2009 à 16:28
    bel article.le figaro magazine ne vole pas haut

  • FX Gros 18 juin 2009 à 13:52
    Il n'a échappé à personne qu'il s'agit du Figaro Magasine et non du Figaro.... Peut-être pas tout à fait la même retenue dans les titres.

  • syrreau 18 juin 2009 à 13:51
    En fait , je voulais dire que ça me gêne de voir qualifier Flaubert comme un écrivain de droite.

    Sartre lui a consacré deux tomes sous le titre "l'idiot de la famille". Il ne serait pas emmerdé comme ça pour un type de droite ou bien je connais mal le bonhomme .Mais je reconnais que ce n'est pas un argument.
    "l'éducation sentimentale" est un anti "Père goriot " de Balzac, qui lui est bien un écrivain de droite.
    c'est la vie d'un étudiant raté, sans grand avenir, face au " a nous deux Paris" de rastignac.

    Flaubert a bien été victime de la pensée bourgeoise de son époque: il fallait absolument faire un voyage en orient pour s'ouvrir l'esprit et voir du monde 20 ans ( et accessoirement fréquenter les bordels); mais il en a tiré salâmmbo, qui traite , entre autres , du thème de la femme fatale, il n'hésite pas a parler des relations entre les barbares en goguette, qui pouvaient être ambigues.
    Balzac lui, fait de son personnage Vautrin une quasi bête (il le décrit comme roux) et le déclare comme homosexuel (je cite_"il n'aimait pas les femmes") ce qui répugne l'auteur, et la raison pour laquelle Vautrin ne réussit pas dans son entreprise de s'allier Rastignac , c'est que celui-ci est un prédateur, tout comme lui. Le héros de l'éducation sentimentale, frédéric Moreau est tout sauf un prédateur, un arriviste.

    Il était rentier , certes , mais comme beaucoup à son époque , et ceci pour subvenir aux besoins de sa mère et de sa soeur aussi me semble-t-il, et c'était un rentier pauvre.

    Je pourrais faire plus long, mais j'ai l'impression de m'ennuyer moi-même, et je trouve toujours un peu vain le type de commentaire que je viens de commettre , hors sujet et tentant de rectifier une trajectoire, après tout, Flaubert de droite ou de gauche , on s'en fout un peu.

    Je crois que nous devons a Balzac le verbe "chiffoner", mais c'est peut-être ici ,dans vos pétillantes chroniques, que je l'ai appris?

  • AZERT Y 18 juin 2009 à 13:41
    ...et le triomphe impérial se fera à Versailles, devant des élus socialistes qui jureront, mais un peu tard, "qu'on ne l'y prendrait plus".

    Le populo savoure silencieusement, y compris les socialistes qui ont voté « Europe-Écologie » pour faire bisquer certains éléphants vermoulus qui ne pensent qu'à eux et à leur destin improbable...

    Un silence avant la tempête ?

  • philippe malavieille 18 juin 2009 à 13:37
    et bachi bouzouk ya pas bachi bouzouk ! en revanche la derniere insulte alors là j'adore !!!! elle me renvoit à un vecu je ne vous dis pas !
    Patrice grace à vous je sens que je vais epicer mon style !

  • Patrice Guyot 18 juin 2009 à 12:25
    Cette couverture est hideuse, on n’en attendait pas moins d’Etienne Mougeotte et Alexis Brézet !

    Triomphalisme imbécile et arrogant d’un vichysme post-moderne aux accents de “talonnettes nous voilà !”.

    Se moquer de l’ennemi à terre ou tirer sur les ambulances a toujours été le fait des salauds.

    Se moquer du peuple, n’en parlons pas… Ces gens oublient un peu vite que seuls 11,2% des électeurs ont mis leur bulletin breneux dans l’urne, et que 88,8% se sont bien gardés de le faire…

    Ils oublient un autre détail : à insulter grassement à 1 contre 9 on risque une rossée mémorable et des horions effroyables.

    En y songeant, peut-être voulaient-ils insinuer, ces messieurs, que l’opposition était composée de raclures de bidet…

    Je ne résiste donc pas, atterré par leur grossièreté en général et leur grossier manque d’humour en particulier, à donner à Etienne Mougeotte et Alexis Brézet, ce petit cours de haine spirituelle qui auraient pu les inspirer s’ils n’étaient aussi incultes.

    Qu’ils prennent toutes ces insultes sanglantes pour eux-mêmes, elles leurs vont comme des gants (de boxe)

    Nomenclature hâtive des insultes et invectives de James Ensor dans ses lettres et conférences (1884-1934)

    Manœuvre Trianguliste asservi
    Professeur en gésine
    Gogorigo au bec d'azur
    Arriviste multicolore
    Plumitif borgne
    Vomisseur de compte rendu
    Terministe engourdi
    Arc-boutiste stalagmitaire
    Gobeur de vieilles monnaies rouillées
    Anti-brosseur
    Diplomate bredouillant
    Sainte Routine
    Scieur de fond
    Astiqueur de pièces uniques
    Pile-facier sans revers
    Suiteur de chasteté,
    Céphalopode très encreux
    Boutiquier formidable
    Jaloux pistonné
    Retardataire jocondé
    Démolisseur à suçoirs
    Débris national
    Cerniste-découpiste
    Peintre trop arrivé
    Manœuvre routinier
    Mollusque parqué
    Manifestant stérilisé
    Illuminé
    Bibi chéri
    Mâche-briques
    Édile en mal de bronze
    Criticulet
    Casse-rétine
    Tapeur démesuré
    Publiciste
    Financier mûr
    Vomisseur de suie et de fumée
    Lotisseur énorme
    Cyclope borgne
    Peintre de carrière
    Graveur de taille trop douce
    Séquelle de raté aux mains mortes
    Compère gris-gros-gras
    Poussif-possessif
    Cancre cagoulé

    Et son insulte favorite :

    Architecte !


    Pour conclure, ne pas oublier que le corbeau rieur (Ah ! Ce sont les mouettes qui rient ? C’est donc un bâtard) qui figure sur la couverture de ce torchon est un solide manœuvrier à défaut d’être un homme politique digne de ce nom, il a donc adroitement divisé l’opposition et ne s’est pas privé – en tant que grand maître des médias – d’autoriser la diffusion de HOME juste avant le scrutin et de squatter l’antenne de France 2 pendant 5 heures bras dessus dessous avec Barak Obama… La veille : ça ne peut pas nuire, hein ?

    Pour la prochaine bataille, faudrait peut-être être un peu moins débandés (j’ose) dans l’opposition, non ?


    ***

  • bysonne 18 juin 2009 à 12:15
    La droite a peur des pauvres, c'est pourtant elle, qui leur met régulièrement une raclée.

    Si la droite ne veut plus voir de pauvres "c'est toud'même pas compliqué" ? Si ?

  • Leopard Blanc 18 juin 2009 à 12:04
    A moi qui vit en Allemagne et qui n'ait pas l'occasion de voir ces belles couvertures, ca fait un effet particulier de decouvrir le climat qui regne en France. La desinformation semble atteindre des sommets. A ce propos, ici non plus pas grand monde n'a vote a ces elections. Merci pour cet article, et j'ai beaucoup aime la chute ! Viva la...

    PS: desole pour les accents, mon clavier les rend compliques, ce qui m'oblige, a mon corps defendant, a m'en passer >_<

  • polo collomb 18 juin 2009 à 11:48
    La raclée est-elle de droite se demandait AS qui évidement était de gauche?
    Le figaro (sans majuscule, il est déjà bien assez arrogant!) est-il de droite?
    Du point de vue de celui qui la reçoit, la question est rarement posée.
    Du point de vue de celui qui l'inflige, jamais!


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