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  • Juléjim 22 septembre 2010 à 22:01
    Braquer un magasin sans violence et récupérer un max c'est possible ! Il suffit de faire un trou dans le conduit qui alimente le coffre-fort et d'aspirer la "fuite" à l'aide d'un... aspirateur ! Nanmého ! y en a là-d'dans !


    Uniprix, Monoprix, c'est le même prix !


    PS : au fait, "fuite" et "fugue" c'est assez proche non ? Si ça se trouve Alain, ce n'est qu'une fugue passagère ? Petit garnement va ! Reviens ici tout d'suite !

  • marcel verplaetse 19 septembre 2010 à 23:13
    Pour Mitterand et Mendes France j'ignorais l'embrouille ! Une bonne
    information donc . Merci Anne Sophie pour le clin d'oeil à Alain .
    Gardez bien la place au chaud car peut être nous reviendra t-il ?
    Ne faut il pas dire "Fontaine je ne boirais jamais de ton eau !"
    Et toc encore une histoire d'O et de fuite "virtuelle" !!

  • beyondtheeyes 19 septembre 2010 à 23:08
    Le tragique de la destinée humaine ne vient-il pas de ce que l'homme comprend qu'il en connaît assez pour savoir qu'il ne connaît rien de sa destinée, et qu'il n'en connaîtra jamais suffisamment pour savoir s'il y aura autre chose à connaître.

    Il est bon de noter combien la charge affective des mots : bien-être, joie, plaisir est différente. Le bien-être est acceptable, la joie est noble, le plaisir est suspect.

    On ne peut être heureux si l'on ne désire rien.

    Confronté à une épreuve, l'homme ne dispose que de trois choix : 1) combattre ; 2) ne rien faire ; 3) fuir.

    Henri Laborit, Extraits de Éloge de la fuite

  • Danièle 19 septembre 2010 à 21:55
    Merci pour cette chronique à la fois légère et profonde!

  • pow wow 19 septembre 2010 à 18:31
    Si je comprends bien Anne-Sophie, il faut, après vous avoir lu s'y faire, c'est vous qui tenez la case du samedi matin maintenant.

    C'est bizarre, moi je trouve qu'avec le départ d' Alain, il manque une case chez Daniel.

    Hoquet hoquet, ne dites rien, je m'en vais.

    Une belle chronique sinon, merci!

  • AZERT Y 19 septembre 2010 à 17:10
    Et que dire de la redoutable « fuite des cerveaux »...

  • Winston Smith : misanthrope 19 septembre 2010 à 10:47
    en repensant au zemmourisme je me disais qu'une petite chronique sur le mot "race" avant l'émission aurait été la bienvenue et puis aussi une chronique après coup sur les 3 reformulations de sa phrase par E Levy. ça pour sur une analyse linguistique de ces 3 phrases ça mériterait qu'on s'attarde longuement dessus.

  • Mathieu 19 septembre 2010 à 10:13
    Merci pour cette chronique !

  • Oblivion 18 septembre 2010 à 21:42
    Ça fait tout bizarre de voir des peintures et de passer par dessus sans les mots pour les déshabiller.

    Mais merci Fifi pour la chronique ! Vous êtes fûitée !

    Vous êtes sûre pour «une pointe de fuite ?» :)))

  • sleepless 18 septembre 2010 à 21:09
    Merci anne-sophie.

  • baldijanou 18 septembre 2010 à 19:53
    MERCI Anne-sophie, je viens de faire mon rattrapage de vos chroniques depuis Juin et j'ai plusieurs foi éclaté de rire...Que çà fait du bien par ces temps embrouillés!!!!

  • bysonne 18 septembre 2010 à 18:54
    Super chronique Anne-Sophie. Surtout ne vous enfuyez pas. C'est pas par hasard que vous mettez en ligne un samedi ? Nan ?

  • delphes 18 septembre 2010 à 18:04
    Toujours ravie de vous lire Anne-Sophie, mais petit pincement au coeur lors de ma lecture du samedi matin, vous comprendrez tous aisément pourquoi...
    Quelques images, tout de même, pour combler le manque : merci pour la pensée finale, à laquelle je m'associe, si vous le voulez bien.

    Merci pour ce joli parcours de la fuite. J'ignorais l'histoire de Mitterrand (ni croulante, ni cultivée, ça arrive !), étonnant, toutes ces histoires qui se répètent...

    Vous auriez pu anticiper sur l'histoire, et prévoir le grand mouvement migratoire : les Français fuyant face à la montée du... "sarkozysme"....

  • Robert· 18 septembre 2010 à 17:54
    "La plus célèbre reste la Fuite en Egypte "qui, mieux encore que "la technique de l'amalgame", est " vieille comme tes robes"

  • mané 18 septembre 2010 à 17:45
    "asinautes croulants ou cultivés"
    et si on est ni l'un ni l'autre ?....

    dans cette chronique point de visuel à vocation d'alléchement de chaland au cas ou celui-ci souhaiterais diagonaliser celle-ci.
    un peu déçue, j'aime le comique de répetition ....
    je me mettais à la recherche d'un suggestion bien sentie mais une cohorte de nenfants entre 10 ans et 10 mois mattent mon ecran par dessus mon epaule ...


    tres chouette chronique, encore

  • Tout bon g33k sait que 1km fait 1024 mètres ^^ 18 septembre 2010 à 17:06
    Du très bon AS ;) Je ne retiendrai que la poésie du catch dans la boue (que c'est beau...... ça me fait rêver ^^) et tous les jeux de mots que je trouve géniaux ^^ GG Madame :) Encore un bon point pour cette chroniqueuse hors norme :)

    Avec cette personne dans l'équipe d'@si, DS n'a plus de sushi à se faire :) (bon c'est pourri, je l'accorde mais ze m'en fous !! ^^)

  • christophe 18 septembre 2010 à 15:32
    donc...au delà de votre excellente chronique...

    j'ai bien noté que vous aimiez les combats de femmes dans la boue...intéressant...

  • Salfra 18 septembre 2010 à 13:59
    Comme les mouches ont déjà souffert, je m'en tiens à quelques remarques montrant que j'ai de la fuite dans les idées, au moins :
    - le responsable de la fuite serait amateur de grosses caisses (elle est classique et facile, c'est pour l'apéro)
    - la femme de Sganarelle déclare, dans le Cocu imaginaire de Molière (excusez du peu) : "Et sa fuite a trompé mon désir curieux " (c'est au début de la scène 5, si, si)

    Sans contrepèterie cette fois, entre BP (une grosse fuite de brut) et les informateurs (auteurs de délits de fuite), j'en oublierais que la plus grosse fuite, celle que je ne parviens pas à colmater, c'est celle du temps, mais par pudeur et pour éviter la déprime, j'en reste là.

    Merci, Anne-Sophie, pour cette chronique fluide...

  • sgd (bientôt disponible ) 18 septembre 2010 à 11:11
    C'est la guerre c'est l'été
    Déjà l'été encore la guerre
    Et la ville isolée désolée
    Sourit sourit encore
    Sourit sourit quand même
    De son doux regard d'été
    Sourit doucement à ceux qui s'aiment
    C'est la guerre c'est l'été
    Un homme avec une femme
    Marchent dans un musée désert
    Ce musée c'est le Louvre
    Cette ville c'est Paris
    Et la fraicheur du monde
    Est là tout endormie
    Un gardien se réveille en entendant les pas
    Appuie sur un bouton et retombe dans son rêve
    Cependant qu'apparaît dans sa niche de pierre
    La merveille de l'Égypte debout dans sa lumière
    La statue d'Osiris vivante dans le bois mort
    Vivante à faire mourir une nouvelle fois de plus
    Toutes les idoles mortes des églises de Paris
    Et les amants s'embrassent
    Osiris les marie
    Et puis rentre dans l'ombre
    De sa vivante nuit.


    Jacques Prévert

    Pour AK et ASJ

  • poisson 18 septembre 2010 à 10:18
    Et vous n'avez jamais pensé fuir en Italie pour y être étymologiste: là-bas fuggire vient de fugire et c'est bordé.


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