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  • Patrice Guyot 23 avril 2009 à 13:06
    Merci pour cette merveilleuse chronique Anne-Sophie...

    Je l'avais ratée je ne sais comment et elle m'enchante aujourd'hui grâce au lien habillement glissée par Sophie dans sa chronique sur les bandes...

    Agrégé de Brassensologie (et habitant juste à côté de l'impasse Florimont, la maison de Jeanne) je suis enchanté de retrouver les exquises paroles gendarmicides du "Marché de Brive la Gaillarde"...

    Et je vais de ce pas écrire à Sophie que : "La bandaison Papa, ça n'se commande pas !"

    ***

  • poisson 22 avril 2009 à 10:52
    Dan Israël a fait un article appelé "c'était des bliniz" "servez chaud".

    C'est comme si il avait voulu rendre un hommage discret à Anne-Sophie Jacques, je trouve.
    "servez chaud, servez fourré (au tarama), servez à l'échauffourée"

  • Stéphane Grégoire 21 avril 2009 à 23:34
    Bonsoir,

    Je vais répondre à côté de la plaque, ce qui me turlupine toujours c'est d'où vient cette expression "MORT AUX VACHES", est ce que ça proviens des "vaches primées" surnom moqueur donnés aux soldats allemands* pendant la seconde guerre mondiale car ils avaient des médailles autour du cou comme les vaches primées?

    * Je ne sais pas exactement quel groupe de soldat allemand avait ces médailles autour du cou c'est ce que me racontait mon père à propos de la deuxième guerre mondiale et je ne suis pas fort en histoire.

    Car franchement je ne vois pas de rapport entre ces braves bovidés et les flics, CRS et autres gardes mobiles!


    Mon ami Wikipédia avec "Mort aux vaches" comme recherche m'a mené à cette page : http://cnt-ait.info/article.php3?id_article=1004

  • Balthaz 15 avril 2009 à 12:40
    il y a aussi les roux fâchés, les rats fauchés...

  • Balthaz 11 avril 2009 à 15:39
    comment faire aboyer un chat :

    imbibez le d'essence et craquez une allumette : ça fait wouf !
    bon j'arrête. jeudi prochain j'expliquerai comment miauler un chien

  • bri 10 avril 2009 à 21:53
    merci, mille fois merci pour la " pépite" en fin de chronique dommage qu'il n'y ait pas de vidéo

  • Hector le Blastopore 10 avril 2009 à 19:19
    Brassens utilise d'ailleurs entre toutes ces références littéraires celle des chats fourrés dans une autre chanson.

    Celui qui à mal tourné :

    Il y avait des temps et des temps, Qu'je n'm'étais pas servi d'mes dents
    Qu'je n'mettais plus d'vin dans mon eau, Ni de charbon dans mon fourneau
    Les croque-morts, silencieux, Me dévoraient déjà des yeux
    Ma dernière heure allait sonner, C'est alors que j'ai mal tourné

    N'y allant pas par quatre chemins, J'estourbis en un tournemain
    En un coup de bûche excessif, Un noctambule en or massif
    Les chats fourrés, quand ils l'ont su, M'ont posé la patte dessus
    Pour m'envoyer à la Santé, Me refaire une honnêteté

    Machin, Chose, Un tel, Une telle, Tous ceux du commun des mortels
    Furent d'avis que j'aurais dû, En bonne justice être pendu
    A la lanterne et sur-le-champ, Y s'voyaient déjà partageant
    Ma corde, en tout bien tout honneur, En guise de porte-bonheur

    Au bout d'un siècle, on m'a jeté, A la porte de la Santé
    Comme je suis sentimental, Je retourne au quartier natal
    Baissant le nez, rasant les murs, Mal à l'aise sur mes fémurs
    M'attendant à voir les humains, Se détourner de mon chemin

    Y'en a un qui m'a dit: « Salut ! Te revoir, on n'y comptait plus »
    Y'en a un qui m'a demandé, Des nouvelles de ma santé
    Lors, j'ai vu qu'il restait encor, Du monde et du beau monde sur terre
    Et j'ai pleuré, le cul par terre, Toutes les larmes de mon corps

  • Caroline LE FORT 10 avril 2009 à 18:29
    J'écris et je lis rarement les forum, car je trouve qu'il y a trop de messages.
    Je vous remercie pour le lien vers la chanson de Brassens que je ne l'avais jamais entendu comme ça. C'est plaisant et génial.

  • Fandasi pour clavier 9 avril 2009 à 22:46
    Des chats fourrés vers les chats faux ?
    Sinon , le chat fourré l'est par minou.

  • Damien 9 avril 2009 à 21:48
    J'ai comme l'impression qu'on est en train de passer d'échauffourée (je vais essayer de faire attention à l'orthographe) à camouflet. Camouflet, mot du jour.
    Anne-Sophie, z'êtes trop forte : je les avais pas vu les vidéos ! Alors discrètement, l'air de rien, j'ai fait demi-tour et je n'ai pas regretté. Merci pour votre travail.

  • Patrice Guyot 9 avril 2009 à 13:21
    Il y en a quelques-uns (dont moi) qui songent à truffer Val,

    Ce qui nous ferait un VAL FOURRÉ !

    En somme Vive le Fourrage...

    ***

  • dousky 9 avril 2009 à 12:15
    J'ai bien apprécié votre chronique. J'aurais aimé pouvoir voter pour celle-ci aujourd'hui comme j'ai voté pour celle de Judith.
    Je retrouve là ce qui a motivé mon abonnement à ASI: repérer le détail à première vue anodin ( dans les images ou les mots) mais lourd de signification. Les émissions s'éloignent parfois de ce qui faisait l'originalité d'ASI: je décryptage de l'image.
    Par contre on retrouve ce décryptage dans les chroniques.
    Merci donc pour vos chroniques.

  • AZERT Y 9 avril 2009 à 11:55
    Ah ! la belle langue fourrée du journaliste !

  • Elihah 9 avril 2009 à 11:42
    Merci merci d'avoir mis Brassens live en lien, j'ai tjs aimé ce moment de complicité avec le public.. dès qu'il s'agit d'aider l'artiste, tout le monde se réconcilie :-)
    (conversation de chatte mitte à chat fourré...)

  • Alain G. DAUDIER 9 avril 2009 à 10:55
    Chère Anne-Sophie,

    Vous ne vous êtes pas rendu compte que ce compte-là est rendu à vous et donc pas d'accord pour rendu.

    Sinon, je suis d'accord…

    Alain Daudier

  • bysonne 9 avril 2009 à 10:31
    Merci beaucoup Anne-Sophie. Ce mot risque de devenir à la mode dans nos chers médias. Il est vrai qu'il édulcore énormément la révolte qui gronde ..... Echauffourées, sans chat, ni s'veu sur la langue.

  • Balthaz 9 avril 2009 à 10:07
    ah, c´est jeudi, aujourd´hui ^^........

  • Florence Arié 9 avril 2009 à 09:19
    Ça rejoint tt à fait la dernière chronique de J.Bernard (pauvres vs modestes), ou comment délégitimer toute véléité de lutte, juste par le choix des mots. Dans le genre, il y a aussi le terme d'agitateurs ou gesticulateurs (celui-là, je le tiens du maire de ma commune pour qualifier certaines associations).

  • Anthropia 9 avril 2009 à 09:09
    Est-ce que le pluriel n'est pas aussi un signe qu'il faut s'y reprendre à plusieurs fois pour créer du vrai combat. Car échauffourées est pratiquement toujours au pluriel. Sauf chez Brassens justement où il montre qu'il suffit d'une échauffourée pour démarrer le feu.

    Quant à votre questionnaire, j'avoue que je n'avais pas utilisé le mot depuis mes lointaines conférences.


    http://anthropia.blogg.org

  • Anthropia 9 avril 2009 à 08:57
    Merci, Anne-Sophie, je vous dois mon premier rire du matin, excellent titre et papier idem.


    http://anthropia.blogg.org


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