"Serrez-moi la main", ou l'arme de la politesse
André Gunthert - - Le regard oblique - 53 commentairesNo alternative à la poignée de mains ?
"Serrez-moi la main"
, exigent les politiques en butte, devant les caméras, à des interpellateurs en colère -récemment, Emmanuel Macron face à des aides-soignantes. Une injonction très télévisuelle, qui oblige soit à manifester sa soumission, soit à se disqualifier en tant que participant au dialogue démocratique.