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Annie Huet Annie
Ce commentaire "oblique", je dirais plutôt biaisé est tout à fait injuste par rapport au film de Perret. C'est une analyse politique partisane contre Mélenchon. beurk, uen de plus, et ça continue dans le Mélenchonbashing, sans intérêt.
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petit - saconnex
Mon message n'a rien à voir avec votre post .IL y a sur le site du Figaro une photo extraordinaire de Trump lors de la signature des décrets taxant les importations d'acier et d'aluminium. Il est assis à son bureau entouré de sidérurgistes. Peut être aurez vous envie de commenter cette photo.
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siboo
Bonjour,
Beaucoup ici confondent documentaire et reportage journalistique ! Le film est bel et bien un documentaire, et l’empathie du réalisateur va dans ce sens, ainsi que sa volonté de raconter une histoire.
Sur les plans esthétique et narratif il n'y a aucune différence entre une fiction et un docu. Sur le plan formel la première est faite avec des comédiens et le second est fait à partir d'acteurs du réel. Et parfois les deux s'entremêlent, par exemple lorsqu'on fait rejouer une scène aux protagonistes d'un docu ou lorsqu'on filme des passants dans la rue pour une fiction. Les deux contiennent un point de vue. Dans le documentaire ce point de vue est documenté, et non fait à partir d'éléments inventés ou reconstitués. Certains docus peuvent être ultra-scénarisés, alors que d'autres sont filmés sur le vif et construits au montage.
Un documentaire et une fiction sont donc autant des "films" l'un que l'autre, et les deux appartiennent au champ artistique.
Gilles Perret réfute sans doute le terme de documentaire parce qu'avec tous les "docs télé" pondu par des journalistes on finit par se méprendre sur ce que représente véritablement le genre documentaire. Les docs télé ne sont souvent que des enquêtes journalistiques, suivant les principes du journalisme : devoir d'objectivité, représentativité, confrontation des points de vue... Et ils obéissent aux codes journalistiques : voix off explicative, interviews sur fond neutre, schémas, cartes, animations 3D, et réalisation uniquement destinée à favoriser l'intérêt du spectateur et sa compréhension de tout ce qu'on veut lui faire comprendre. Un peu comme un sujet de JT étiré sur 52min. Ces films sont parfois instructifs voire passionnants quant aux sujets qu’ils traitent, ils peuvent même assumer une certaine subjectivité, mais ont rarement un intérêt en tant que film : ils auraient tout autant pu être des articles de journaux, des émissions de radio, des livres, des conférences.
Notre culture en la matière est souvent formée par les docs télé. Et malheureusement ASI n'a rien arrangé, en approchant tous les docus de son partenariat avec Tënk sous un angle journalistique. Or ce qui est passionnant dans un documentaire c'est de confronter ce qui est filmé (= le réel = sa forme) à une vision plus large du monde et de la vérité (= le fond du film).
Quelques docus pour se nettoyer les yeux après une overdose de docs-télé, au pif :
Les films d'Agnès Varda (aussi réalisatrice de fiction)
Ceux de Depardon (aussi réalisateur de fiction)
Ceux d'Alain Resnais, ex : Le Chant du Styrène
Le Sang des Bêtes de Franju
Le Cauchemar de Darwin d'Hubert Sauper (attaqué à sa sortie par des gens qui n'ont rien pigé à ce qu'est un documentaire)
Notre pain quotidien et Donauspital de Nikolaus Geyrhalter (gros travail esthétique sur l'image et le son).
Shoah de Claude Lanzmann
La Mort du Dieu Serpent de Damien Froidevaux (présenté sur ASI avec Tënk)
La Main de Jeannot de Jean-Baptiste Pellerin, portrait de 2min visible ici : https://vimeo.com/124928586
Les (très longs) films de Frederick Wiseman
La Bataille de Culloden de Peter Watkins, reconstitution filmée comme un reportage d'une bataille de 1746 (avec un jeu entre docu et fiction, donc).
Dix-sept ans de Didier Nion
Ces exemples permettent d'entrevoir ce qui peut être fait sur un docu en matière d'esthétique, de construction du récit et des personnages, en travail d'image et son, en émotion, en rapport au réel, en subjectivité, en personnages non-représentatifs, en mystère, etc.Ceux qui s’intéressent au sujet et qui veulent rencontrer des auteurs peuvent se rendre au Festival de Lussas en Ardèche (c’est sympa et c’est pas cher, bref l’inverse Cannes).
Gilles Perret est donc cinéaste ET documentariste ! Ce qu'il n'est pas en revanche, c'est journaliste. On peut donc tout à fait comparer son film avec d'autres docus politiques, comme on peut comparer plusieurs films de karaté pour voir s'ils apportent quelque chose au genre.
Enfin, il est évident que pour toute personne filmant une campagne électorale avec un minimum de culture (indispensable pour monter un tel projet, ne serait-ce que pour la note d'intention !), le film 1974, une partie de campagne de Raymond Depardon est une référence inévitable avec laquelle on est obligé de se frotter, même si on l'aime pas et même si on veut faire quelque chose de différent (un peu comme réadapter Shining après Kubrick). Le film de Depardon est à la fois l'initiateur du genre et son horizon indépassable : aucun cinéaste n'a depuis pu approcher un présidentiable avec une telle proximité et une telle candeur (non sans avoir négocié et bataillé pour ça !). Si on a pu revoir des candidats apprenant leur victoire ou leur défaite, on n'est pas prêt de revoir des scènes comme celle sur la stratégie de VGE, sans filtrage des communicants et sans autocensure des protagonistes. Et si on en revoit, on peut être sûr qu'elle sera fabriquée, consentie au film pour se la jouer "rien à cacher". Ainsi, hormis les visages qui changent, les modes vestimentaires renouvelées et l'arrivée des téléphones portables, ces nouveaux films inédits/embeded/exclusifs et interchangeables qui tentent de rejouter 1974 n'apportent souvent rien de plus que le film de Depardon sur les plans cinématographique, voire politique. Refaire 1974 n'aurait d'ailleurs pas d'intérêt tant nos rapports à la caméra et aux images ont changé. Les cinéastes d'aujourd'hui ont donc plus de chances de réussir lorsqu'ils tentent de construire autre chose avec ce genre très aussi balisé que contraignant. Gilles Perret semble vouloir aller dans ce sens, et chacun pourra décider s'il y parvient ! -
folavril-170143 folavril
Et mon petit clin d'oeil à André https://www.youtube.com/watch?v=9Q-wzVAV2kI&list=RD9Q-wzVAV2kI:
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folavril-170143 folavril
Mon cher André, il est trop tard ici au Mexique (et vous vous levez bien trop tôt), pour essayer de retrouver votre réponse à mon commentaire sur ce site imbitable
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Vous sous-estimez, je pense, la haine que je voue au sac à merde qu'est Gisgard. Une balle dans la nuque, dans son fauteuil, comme disait mon père. Une haine que même Depardon ne saurait transformer en "intérêt", même superficiel, même super intelligemment cinématographqiue.
Je rappelle que je me suis bornée à donner l'avis de Mordillat sur le documentaire l'Insoumis,, que je tiens personnellement, pour un génie (quand tu t'es tapé le sous-titrage de Corpus Christi... Mordillat, tu l'aimes épicétou)
Maintenant, vous pouvez répondre sur ce que dit Mordillat. Ou pas. <3
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Deeplo
@André Gunthert, en réponse à votre réponse de l'analyse de votre réponse par Jean-Marc:
ne soyez pas mauvais joueur!
Jean-Marc vous a expliqué votre métier. Vous devriez lui en être reconnaissant. Vous êtes partial, incomplet et de mauvaise foi. Mais comme votre patron Schneidermann, vous finissez par insulter vos contradicteurs: Jean-Marc n'est pas un manipulateur puisque le réalisateur du film lui même explique dans différents entretiens qu'il s'agit d'un film et non pas d'un documentaire.
Vous avez l'insulte facile sur ce site décidément. Bonne journée
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Jean-Marc FIORESE
Votre analyse sur la méthodologie pourrait-être intéressante mais vous comparez un film avec deux documentaires. Le sujet du film est JL Mélenchon et non pas sa campagne. Le sujet du documentaire de Depardon n'est pas V Giscard d'Estaing mais sa campagne électorale, le titre du film « L'insoumis » et celui du documentaire « Partie de campagne » ne peuvent être plus explicite sur la nature de leur objet. Je suis donc surpris que vous les mettiez en comparaison.
La fin de votre analyse se déporte ensuite sur des questions politiques, en premier lieu, qui ne sont pas le sujet du film et, en second lieu, dont les ressorts que vous posez comme des évidences révélées ne sont que votre interprétation personnelle. Sur le plan de l'engagement politique – que ce soit au sein d'un mouvement politique ou d'un mouvement associatif destiné à infléchir la politique ou même syndical – votre interprétation démontre que vous n'avez probablement jamais milité activement et suffisamment longtemps pour être aussi fataliste.
Sur cette question politique, sur l'engagement qu'elle impose et la fatalité qu'elle interdit, je vous invite à étudier la genèse du programme l'Avenir en Commun que Jean-Luc Mélenchon a porté et porte toujours avec les siens et vous réaliserez qu'il vient d'en bas, que sa source vient des mouvements altermondialistes à travers le monde et des syndicats dont les travaux s'élaborent depuis un peu plus de deux décennies – si on considère seulement son essor au milieu des années 90 en Amérique du Sud où le FMI imposait des plans d'ajustement structurels dévastateurs, cette vague ayant ensuite traversé l'Atlantique pour atteindre la France avec la naissance d'Attac en 1998 initiée par Ignacio Ramonet du Monde Diplomatique. Vous regarderez ensuite à quel moment JL Mélenchon s'y intéresse, pourquoi il s'y intéresse et comment il est parvenu à faire passer au coeur de la politique les idées de ces mouvements sans parasiter ces mouvements afin qu'ils gardent leur indépendance et leur pouvoir critique qui sont indispensables à l'évolution de ces idées dont lui et la FI se nourissent dans le but de les porter au pouvoir. Vous comprendrez alors beaucoup mieux JL Mélenchon , vous comprendrez mieux l'intérêt de Gilles Perret et vous aurez probablement une toute autre perception du film. Vous deviendrez même peut-être moins fataliste. -
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Jenny
Elle porte bien son nom, cette chronique. C'est la première fois que je regarde.
Critique sans concession mais intéressante, que je revisionnerai après avoir vu le film. -
StarLouZe
"et finit par se laisser lui-même englober dans l'illusion de victoire du candidat de La France Insoumise."
Y'avait de quoi non ?
Avec les forces en présences en face de la gauche (éditorialistes, grand patron, hollande et sa pseudo gauche..., le Ps avec les peudos écolos, le Fn mis en avant par le monde et ses copaings pdt 5 ans !), les 700 000 voix manquantes pour arriver au 2 ème tour sont plus que malheureuses et les français, avec la politique menée actuellement par Macron, peuvent s'en mordre les doigts !
Comme avec Podemos.
Comme avec Corbyn.
Et bien sur, comme avec Bernie !
Die linke étant un peu plus en retrait pour l'instant.
N'avez vous pas senti le vent de gauche qui souffle ? Sans aide publique ni privée ?ça craint Bro !
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NURBEL
Si c'est pour dire de telles banalités, ASI aurait pu s'abstenir... !
Peut-être pour remplir l'espace médai... !
Doublé de cette c... sur les "vedettes" de la chanson... et leurs messages... idem.. !
"La philosophie politique des idôles des jeunes et de "âge tendre et tête de bois"...
Sans compter sur le "prestige" des trois exégètes de la chose "yéyé"...
Sans parler de ce polichinel, très attendu: El Kabach...
Mais qui ose encore se retourner au passage de ce cercueil autosuffisant ?Et, qui accorde encore le moindre crédit à ce ministre d'un gouvernement d'opérette ?,
dont le ton du jeux n'est pas même crédible...
N'y a-t-il vraiement rien de plus pertinent à traiter à l'horizon ?
Piètres analyses rédactoriales...Vais-je perpétuer mon abonnement ?
(question à la hauteur de mes doutes.)Verdict:
a mieux fait...allez,
une dernière chance,
parce que peut mieux faire... !Mais dans tous les cas, il faut cesser de nous prendre pour des abrutis...
Bien à vous,
cl. L.
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folavril-170143 folavril
L'avis - totalement contraire - de Gérard Mordillat sur le film (que lui retire son soutien au Média, ça, ça fait mal, quand même, on peut imaginer qu'il aura l'occasion d'en discuter avec Aude Lancelin) pour les non-abonnés à la-bas.org : http://pca.st/ySVO
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folavril-170143 folavril
Après avoir essayé de lire à peu près tout ce qui se dit dans les commentaires - ce qui relève de l'exploit vu les conditions faites par ASI à ses propres abonnés - si je comprends bien, le reproche fait à André Gunthert c'est de n'avoir pas pris parti clairement dès la campagne pour Mélenchon. Reproche qu'Olivier Tonneau avait formulé également à l'égard de Todd. Oui, le soutien des "intellectuels" a manqué, mais peut-être aurait-il été contre-productif ? C'est ce que je pense pour ma part. Je suis bien contente d'avoir vu toute une brochette de pseudo-intellos comme Audrey Pulvar (LOL) se vautrer en beauté avec leur ridicule concert anti-FN.
Je n'ai vu que la version télévisuelle de ce documentaire, je ne sais pas ce que donne la version ciné. Mais je comprends parfaitement les commentaires des électeurs de Mélenchon ici. C'était une belle campagne, une belle aventure, avec de grands moments de frisson (pas quand on chantait la Marseillaise, non). Eh oui, si tout un tas de gogos n'avaient pas stupidement voté pour Hamon, ça aurait pu le faire, contre toute attente, contre la démographie électorale, contre les statistiques et contre le bloc MAZ (classes moyennes, personnes âgées cathos zombies) si bien décrit par Emmanuel Todd. Et un deuxième tour Mélenchon-Le Pen nous aurait permis de voir exactement qui est qui (Minc a dit qu'il aurait voté Mélenchon, par exemple, étonnant, non ?).
Au lieu de cela, on a McRon (ça sonne comme ENRON, tiens), et on aura Wauquiez et Marion Maréchal Le Pen, tant les "intellos" s'acharnent sur la FI - parfois pour de bonnes raisons, c'est vrai - et la ferment sur l'ignoble Zupiter. Est-ce que l'escroc manipulateur de Conspiracy Watch s'attarde sur les posts de blog de 2014 d'un Marcheur quelconque ? Que nenni, seul un chroniqueur libanais du Média a les honneurs de ce dépiautage. Est-ce que ce charlatan s'intéresse, par exemple, aux remarques racistes, sexistes et surtout très connes de Claire O Petit, députée de la REM ? Pas du tout.
Faisons un effort de mémoire et rappelons-nous des âneries balancées par Piketti : il faut voter massivement pour Macron comme ça, il sera obligé de nous écouter (LOL, LOL, LOL, LOL et re-LOL). Pourquoi on n'entend personne dire que Zupiter et sa bande infecte ont été élus par des voix insoumises, des voix EELV, des voix PS, et qu'il trahit quasiment tous ses électeurs, y compris les juppéistes ? 20% des électeurs de Fillon ont voté pour Le Pen au 2ème tour, je le rapelle, alors que Zupiter applique la politique de Fillon ! C'est proprement hallucinant et aucun "intellectuel" ne dit rien ! C'est encore pire qu'avec Chirac en 2002, car Chirac a au moins fait la politique que ses 20% d'électeurs de droite voulaient, Macron, même pas, il fait la politique d'un de ses adversaires, pourtant éliminé au 1er tour, et dont les électeurs n'ont pas voté pour lui ! Le mépris de classe dont font preuve l'ignoble Macron et ses godillots devrait faire la une de tous les journaux tous les jours que Dieu fait, mais non, il n'en est tout simplement jamais question ! Les seuls "opposants" qu'on entend sont les fachos du Printemps républicain ! On a un connard qui vient raconter que les SDF font un choix de vie, personne ne réclame sa démission. Un type qui monnaye son aide aux personnes en difficulté contre des fellations, et ben présomption d'innocence, ovation, etc.
Enfin, pour mettre tout le monde d'accord, comparons l'Insoumis (pour moi, la version télévisuelle) non pas avec un truc vieux de 40 ans sur ce connard de Giscard qui par-dessus le marché se croyait irrésistiblement beau, mais avec les deux bouses pondues au même moment sur Macron et dont l'un des réalisateurs, si j'ai bien compris, attend son su-sucre - avant le coup de pied au cul qui suivra, car Macron, la reconnaissance, il connaît pas. Là, pour le coup, on voyait que Macron avait de la tactique et de la stratégie.
Il n'avait même que ça. Pas une seule conviction, pas une seule idée politique, Rien, zéro. Le vide intersidéral.
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petit - saconnex
UNe brillante mise en perspective . bravo
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asinaute convaincue
@ A. Gunthert
Plutôt que de continuer à vous répondre, commentaire sous commentaire, au risque de se perdre dans ce déroulé "merdique" ( ;)) ) je préfère résumer au premier plan les réflexions que m'inspirent nos échanges et aussi les échanges vifs et argumentés que vous avez eu avec Totorugo et Pierre Bouysset.
1) Sauf erreur de ma part, c'est d'abord sur le ton donc sur la forme de vos propos que se sont "accrochés" maints commentaires dont les miens. Accroche sur la forme et gêne sur le fond ! J'ai lu avec intérêt vos réponses en ayant le sentiment que j'avais du mal à voir clair dans vos réponses sur qui continuait à me gêner...
2) La lecture de vos échanges avec Totorugo le biennommé (:)) a éclairé pour moi votre point de vue : vous faîtes partie de ceux qui ayant voté Mélenchon "en désespoir de cause"(?), et vous étiez d'autant plus déçu de "son échec"que JLM apparaissait avant le 23 avril 2017 le recours le plus crédible pour le camp des "idéalistes" progressistes...
3) Cette déception, vous deviez lui trouver de "bonnes raisons" et le film de Perret, qui n'est pas un documentaire d'où une certaine ambiguïté, a servi de support à votre argumentaire politique lequel a fait bondir les asinautes !
4) Vos chroniques analytiques des images sur le site a pour but de nous informer, de nous instruire et faire réfléchir en déconstruisant les-dites images et dans cette chronique cela est fait, sauf.... que les faits rapportés sont lacunaires et en partie inexacts dans la dernière partie d'où cette volée de critiques, et aussi de mises au point !!!!
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DéLecteurdeVraiThé
Une appréciation venue de quelqu'un qui n'a pas voté Mélenchon et a vu le film (Christine Angot aussi étonnant que cela puisse paraître)
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jean-françois copé-décalé
à Deeplo : Quelle est cette drôle de secte malfaisante que celle des "hamonistes" dont tout le monde parle tant et qui aurait infiltré les réseaux de pouvoir, et Asi ? On m'a dit qu'ils clouaient des pigeons morts aux portes des personnes âgées...
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sandy
André vous avez le droit de penser que Mélenchon ne pouvait pas gagner, personnellement je m'abstiendrai toujours de faire ce genre de commentaire car à moins d'être omniscient, les forces en jeu, rationnelles comme irrationnelles, sont suffisamment complexes pour ne pas pouvoir faire de telles prédictions. Et en l'occurrence, si la sociologie peut permettre de faire grosso modo un état des lieux des rapports de force, même aidé de la magie des statistiques, on ne peut pas non plus en faire une source fiable de prédiction, car j'espère que vous le comprendrez, les idées politiques ne sont pas toujours liées à la sociologie et surtout elles peuvent varier, c'est d'ailleurs ce qui se passe constamment ;)
Il suffit de se rendre compte qu'il suffit que chaque personne convaincue arrive à en convaincre une autre pour que leur nombre passe du simple au double pour comprendre que la viralité des idées peut être telle que tout peut rapidement basculer pour une raison ou pour une autre.
Maintenant nous aurions aimé une comparaison visuelle des deux documentaires que vous évoquez pour appuyer vos idées. Car effectivement la comparaison peut être intéressantes.Je pense que vous vous trompez en croyant que Mélenchon et la FI n'ont pas de stratégie. Vous avez raison de dire qu'ils n'ont pas une stratégie électoraliste comme a pu le montrer le documentaire sur VGE. Cela veut simplement dire que leurs stratégies sont totalement différentes, ils n'abordent pas l'élection de la même manière, et cela n'a rien d'étonnant car ils ne sont pas dutout dans la même démarche politique, ce que vous avez quand même souligné.
Je n'ai pas vu le film documentaire l'insoumis. Et donc je ne sais pas si cela transparait ou non ? Quelqu'un qui a vu le documentaire pourra peut-être le préciser.
Mais si vous vous interrogiez sur ce qu'ai la FI, ce qui la fonde, peut-être serais-ce un bon début pour commencer à comprendre sa démarche et sa stratégie. Je ne vais pas vous l'expliquer je vous laisse le soin de chercher par vous-même. Mais je pense que si vous recevez des critiques, c'est surtout pour cela. Je pense sincèrement que votre vidéo manque de profondeur et de réflexion, vous donnez l'impression de ne pas voir bien plus loin que le bout de votre nez.
Et que c'est pour cela que vous tirez des conclusions qui semblent erronées.
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Pierre Billaut
Bonjour, l'interview de Gilles Perret par Aude Lancelin sur Le Média apporte un éclairage sur le film
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André Gunthert
Pour avoir aussi critiqué Macron dans mes chroniques, je peux en tout cas certifier qu'il y a nettement moins de macronistes outragés que de mélenchonistes affligés sur ce forum! (ce qui est tout de même rassurant… ;)