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  • christian_vy 17 février 2018 à 17:33

    Ce n'est pas les autres c'est le manque...

  • rêveur.357 15 février 2018 à 16:13

    Prisonniers, prisonniers, comme vous y allez ! Moi qui ai supprimé la télé et sa pub depuis vingt ans, je me serais trompé à l'insu de mon plein gré ;-) ?

    En revanche, merci pour la mise en cause de l'analyse de la "psychologie des foules" de Gustave Le Bon que je n'avais pas l'honneur de connaître...

  • chavi 15 février 2018 à 12:00

    Bravo et merci pour cette analyse intelligente. De l'analyse intelligente et argumentée !! Plus rare que du nutelle en promo!! Merde je suis aussi victime de la société de consommation ....

  • BIBI 13 février 2018 à 14:44

    Bonjour,


    Pourriez-vous nous faire, André Gunthert, une petite chronique sur tous ces signes rouges apparus sur le site depuis sa transformation, signes rouges également apparus sur le site de France-Inter lorsqu'il a été modifié?

    Ont-ils une signification, une symbolique qui m'échappe? Est-ce un pur hasard? Que veulent-ils nous dire? D'autres sites sont-ils concernés par cette mode?...J'aimerais que vous éclairiez ma lanterne...


  • folavril-170143 folavril 13 février 2018 à 00:51

    "Gustave Lebon ET sa psychologie des foules", vous non plus, vous ne pouvez plus corriger ;-) ?


    Oui, on a bien compris l'approche des médias : y'a les bons et les mauvais consommateurs, et puis ces "émeutes de radins", c'est tout bon pour la pensée complexe selon laquelle les gens dorment dehors juste parce qu'ils trouvent ça super rigolo. 


    Sinon, sur les images de Bordeaux, on voit bien que la plupart de sgens rigolent et ils ne sont franchement pas très nombreux. 

  • Jiemo 11 février 2018 à 20:08

    Voté ! Excellente analyse.

  • sgd (bientôt disponible ) 11 février 2018 à 19:34

    sur les grands magasins en France, un article du blog Laboratoire Urbanisme insurrectionnel


    De N. Pierson, membre d'une ligue syndicale, portait dans un ouvrage daté de 1892, ce jugement :
    « La foule, attirée par ce bon marché apparent, accourt : elle se jette sur l'article ; elle mord à l'hameçon. Le Grand Magasin la tient ; il ne la lâche plus. Elle est obligée alors d'acheter non seulement le produit sacrifié, mais encore d'autres articles au besoin majorés. L'art du grand magasinier est de multiplier les tentations sous les yeux de l'acheteur suggestionné, congestionné, ahuri.»

     

  • Bruanne 11 février 2018 à 17:01

    Merci pour cette chronique. 

    Il y a un truc bizarre dans l'extrait vidéo qui montre, filmée de l'intérieur, une foule entrer en courant : un homme vêtu d'un manteau noir de marque Nike remonte la foule, double, puis revient en arrière quand il est au niveau des machines à laver.

    Et puis, ils vont acheter quoi, ces gens, sans panier ni caddy, tous assez jeunes pour courir, assez âgés pour avoir de l'argent : pas d'enfants, pas de vieux ? 

    On se demande presque si on ne leur a pas demandé de jouer la scène. 

    Je ne vais que très très rarement dans les supermarchés, et jamais le jour des soldes, mais quand j'y vais je vois des gens de tous âges et tout le monde à un contenant pour ses achats. 

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 11 février 2018 à 16:30

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • DéLecteurdeVraiThé 11 février 2018 à 15:39

    Premier constat : c'est Kenny Lebon qui met fin à la théorie des foules de Gustave Le Bon, une histoire de famille donc.


    Deuxième constat : si les analyses de Le Bon Gustave ont servi aux propagandes des régimes totalitaires, ce sont-elles aussi qui nous ont servi à quelque peu excuser ces bonnes foules qui ont ici trucidé à qui mieux mieux, là à brûler les livres et lieux de culte, et là encore à fermer les yeux au départ des trains dans les gares chargés d'enfants de vieillards de femmes et d'hommes, et parfois à fermer le nez quand l'odeur nauséabonde parvenait à leurs narines

  • Cultive ton jardin 11 février 2018 à 15:18

    Dans "Au bonheur des dames", Zola décrit la manière dont se fabrique, de manière délibérée, une foule que l"le marché fait courir. Octave Mouret encombre volontairement le hall d'entrée, pour que la foule s'agglutine devant l'entrée. Puis il bouleverse complètement l'ordre préexistant et logique des rayons de manière à désorienter la clientèle qui se répand dans toutes les allées, tourne en rond, multiplie ainsi son nombre... et au passage achète n'importe quoi. 


    Peu de commentaires, en effet, sur la responsabilité des "vendeurs", et tellement, tellement, sur le mépris que "nous" inspirent les acheteurs. Nous gruger d'abord, nous ridiculiser ensuite par leurs techniques de vente, puis nous faire participer à ce "haro sur le pauvre monde" c'est à dire sur nous-mêmes...  joli travail. 


    Et merci de' l'avoir décrypté.

  • sgd (bientôt disponible ) 11 février 2018 à 14:27

    Bonjour,


    Pourriez vous dans vos chroniques insérer la légende des tableaux (titre, auteur, date) comme vous le faites pour les images qui bougent ?  


    Merci 


    Sur les logos qui bougent, je ne peux m'empêcher de penser à ceci ! 

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 11 février 2018 à 13:46

    Outre Gustave le Bon, Gabriel Tarde enfonce le coin dans une sociologie française durkheimienne rationaliste, fascinée comme le marxisme par les triomphes des sciences dures.

  • Yanne 11 février 2018 à 12:53

    Wow !

  • Asinaute sans pseudo fa2f2 11 février 2018 à 12:20

    Bien belle analyse sur une forme de condescendance médiatique hypocrite...

  • alain-b 11 février 2018 à 11:59

    « système marchand sur lequel repose pourtant toute l'économie des sociétés développées »

    développées ? au sens civilisées ? Il aurait mieux valu dire « sociétés dites "développées" » car à mon sens ce serait plutôt "dégénérées".
    Sinon concernant l'image filmée par des journalistes infiltrés dans le magasin avant l'ouverture, ça aurait pu aussi être les employés eux-mêmes qui filment. 

    Comme ici par exemple où la motivation consommateurs n'est pas la promotion mais simplement le besoin de faire le plein avant la pénurie et où ça se passe dans la joie et la bonne humeur et sans course effrénée ou "émeute".



  • lothar 11 février 2018 à 11:02

    Comme à chaque fois, une analyse pertinente et détaillée d'André Gunthert.

    Je vous remercie de votre travail et vous encourage à poursuivre. :-)
    Je suis fan!


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