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Effyte
Manque fondamental aussi bien à l'émission qu'au rapport du médiateur : personne n'a dit que le CFJ appartient au groupe Mulliez (Auchan et c°)
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Traroth
"Maurice ne comprend pas pourquoi le documentaire se concentre sur les cours de "fast-journalisme" de télévision" : Hein ? Mais c'est la base du journalisme, ça ! Les journalistes parlent toujours de ce qui ne va pas, et c'est normal. On va parler du marché public qu'un.e élu.e a donné à un.e cop.ain.ine sans respecter le code des marchés publics, et pas les 30 autres qui se sont passés selon les règles. Bien entendu ! Quel intérêt ça aurait ? Porter la plume dans la plaie, ça vous parle ?
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MarxaliaDev
J'arrive un peu après la guerre, mais je ne serais pas aussi sévère, je suis un peu mitigé sur l'émission mais pas non plus scandalisé. Je n'ai pas la moindre idée de ce qu'est le journalisme donc ce n'était pas inintéressant d'avoir une conversation ouverte entre professionnels qui ont presque discuté comme s'il n'y avait pas de caméra et qu'on sent sincèrement troublés par l'orientation du documentaire, et c'est pas parce qu'un documentaire dit des choses que c'est vrai, pertinent et proche de l'objectivité. De ce que j'en comprends, on est assez loin du livre de Ruffin que j'ai lu et trouvé très intéressant et qui critique un certain formatage mais uniquement formel, j'ai surtout retenu l'idée d'un formatage sur ce qu'était un sujet intéressant ou pas, par mimétisme. Et ce n'est vraisemblablement pas le sujet du film, donc peut-être que le film passe effectivement à côté de son sujet par rester sur quelque chose de plus "racoleur" finalement.
Personnellement ce que j'ai noté de marquant, c'est une contradiction notamment de la directrice Julie Joly. Elle note d'abord, qu'il y a un problème de représentation dans le journalisme et elle a l'intuition que ça passe par l'exigence de la culture générale. J'ai tendance à partager son avis, c'est quand même assez piégeur de penser qu'un•e bon•ne journaliste serait forcément très cultivé•e, vu qu'il ne faut pas se faire d'illusion, le capital culturel il s'acquiert essentiellement chez les urbains aisés voire très aisés et toutes les villes ne sont même pas à égalité de ce point de vue. De plus, cette certitude d'être "les plus cultivés" me pose un problème. J'ai eu l'occasion de passer deux mois à l'école de journalisme de Marseille avant de m'enfuir en découvrant notamment le mépris de classe des sciences po d'Aix, alors que je suis pourtant issu de la classe moyenne (fils de prof). Et je m'interrogeais sur le bien fondé d'avoir tous ces gens qui allaient devenir journalistes et parler des grèves de la SNCF, des gilets jaunes, des ouvriers, des profs ou des antivax. J'ai été plutôt rassuré de constater que votre profession est consciente de ces biais et essaie de trouver des solutions pour diversifier les journalistes pour que les points de vue et les expériences de vie.
Donc Julie Joly semble reconnaître qu'être une femme, être homosexuel, ouvrier, noire, non valide ou que sais-je d'autre marque notre vision du monde, et que votre profession se devrait d'être représentative de ces visions. Et c'est là que je ne comprends plus du coup pourquoi Ruffin ou Bouhafs ne sont pas journalistes ? Ils exposent des faits, avec leur vision du monde, mais comme tous les journalistes. Ou alors, tous les gens qui passent à la télévision et à la radio, toutes celles et ceux qui écrivent dans Libé ou Le Figaro ne sont pas journalistes. Ce matin Bourdin assène à Ruffin très sûr de lui que les non vaccinés sont le problème de l'hôpital. Je précise au cas où que je suis triple vacciné et je pense qu'ils n'aident pas, mais tout leur mettre sur le dos est absurde et peu constructif. Bref, il tient un discours que je vais qualifier de bourgeois pour simplifier, que je rencontre à chaque fois que j'ouvre Linkedin, et qui est effectivement conforme à ce qu'ont dit les soutiens de Macron après sa dernière petite phrase. Et c'est drôle parce qu'on dit que les complotistes cherchent des réponses simples à des problèmes complexes, taper sur les non vaccinés sans regarder la politique sanitaire du gouvernement depuis deux, ou la politique vaccinale égoïste des pays riches, ça me paraît correspondre à chercher des solutions simples à des problèmes complexes.
Du coup ce matin, Bourdin, militant ou journaliste ? Lenglet qui défend une vision bien particulière de l'économie qui a été quand même bien contredite depuis la crise (on a trouvé des milliards d'un coup, le monde ne s'est pas effondré), militant ou journaliste ? Nicolas Demorand tout mielleux avec certains invités, super vénère avec d'autres, militant ou journaliste ? Ali Badou qui explique à Emmanuel Todd ce qu'il peut dire ou ne pas dire ? Léa Salamé et la mallette ? D'ailleurs, même cette dernière qui a vécu des choses assez marquantes comme la guerre ou le 11 septembre, quand je l'écoute, même avec sa personnalité légèrement différente dans le paf, à la fin j'entends quelqu'un de plutôt centriste, centre gauche. Et globalement dans ce métier, j'ai l'impression qu'il y a beaucoup de centristes (gauche / droit) et j'ai vu un traitement très problématique des gilets jaunes (d'ailleurs Julie Joly parle de violences des gilets jaunes et semble omettre celles de la police envers les JRI) et pire encore de la pandémie et de sa gestion. J'ai vu des scientifiques qui ne se trompaient pas être contredits chez Pujadas, un Raoult qui a toujours annoncé le Sud être systématiquement être invité quand ça allait dans le sens de l'inaction gouvernementale (pas de 2e vague), une émission sur LCP où l'animatrice se félicité d'avoir eu moins de morts que le Brésil, les États-Unis ou le Royaume-Uni... À la veille du confinement, j'ai vu votre profession soutenir que notre système hospitalier était beaucoup plus costaud que celui des italiens comme si c'était un pays du tiers-monde et en plus c'était faux. Aujourd'hui ça tape à bras raccourcis sur les non vaccinés alors qu'on est à 200 morts par jour et restaient imperturbables lors du plateau à 400 morts par jour, parce qu'il fallait "ouvrir les écoles" pour "l'égalité des chances" dont ils sont ironiquement la preuve qu'elle n'existe plus depuis longtemps dans notre pays, l'école ne faisant plus office d'ascenseur social, au contraire. Je n'ai vu personne contredire Blanquer pendant toute la période scolaire 20/21 qui disait qu'on ne se contaminait à l'école, et personne ne le faire noter à Castex quand il a soutenu le contraire à la fin de cette période. Donc pour le coup, pendant le traitement du Covid, j'ai vu inculture scientifique crasse, militantisme et chauvinisme bas du front. Tous les sujets de votre débat en fin de compte.
Et là vous pourriez râler en me citant plein d'exemples du contraire et vous auriez raison, l'émission VSD de BFM par exemple a eu quelques numéros avec l'ancien président de l'ARS qui étaient très intéressants et factuels si on oublie Bruno Jeudy (encore un militant non ?) et bien sûr, beaucoup de médias indépendants, dont vous, ont fait des émissions pertinentes sur le sujet. Bref, sans que ça me dérange, cette contradiction m'a beaucoup perturbé durant cette émission, pourquoi le Bouleau de Bouygues qui s'énerve après le Zemmour de Bolloré serait moins militant que le Bouhafs qui dénonce les violences policières en se basant sur des faits. Et pourquoi reconnaître le manque de diversité dans la profession si c'est pour nier les différentes formes de journalisme et les opinions des journalistes ? Donc même si c'est pas l'émission la plus neutre du monde, la liberté de parole a permis de faire émerger des contradictions et des questionnements qui existaient dans votre profession et je trouve ça assez rassurant, et pas du tout corporatiste pour le coup. Le strict corporatisme auquel on est plutôt habitué consiste à dire que tout va bien, tant que les politiciens sont plus détestés que les journalistes, c'est que tout va bien, pas besoin de s'en faire. Ce n'était pas le cas ici.
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smurf
Bonjour.
Tout d'abord, merci quand même pour cette émission qui bien que "ratée" a permis de lancer un débat. Peut-être une idée pour des émissions futures sur ce sujet...
Je ne partage pas les critiques sur l'animation de Maurice Midena.
Le problème de l'émission est qu'elle est surtout "bancale" d'abord par la faible diversité des invités. Heureusement que Samuel Bouron est là mais on l'entend trop peu.
Mais l'angle choisi rend aussi l'émission bancale en partant de la critique du documentaire.
Ce documentaire, la plupart des asinautes ne l'ont pas vu et ne peuvent pas se faire une idée par eux-mêmes.
L'émission ressemble donc à une critique en règle du documentaire (qui a certainement des défauts).
Et, on n'élargit pas ou très peu sur la formation des journalistes, sur la transition entre formation et vie professionnelle des journalistes, sur la raison d'être des écoles de journalistes (former à des "techniques" de journalistes ou autres choses).
Donc, moi, ce que je souhaite, c'est une autre émission sur le sujet mais mieux équilibrée !
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Asinaute 69bc7
Bonjour, merci pour l'émission, les discussions et cette médiation. Bravo @si on ne trouve pas cette transparence et ouverture ailleurs.
On aurait pu faire le même plateau dans n'importe domaine sur son système de professionnalisation. C'est effectivement l'objectif des écoles de séduire une clientèle (les étudiant.e.s), la former et la conduire à la diplomation, et surtout s'assurer qu'elle rentre le plus rapidement possible dans le marché de l'emploi, et au meilleur salaire et à la meilleure progression de carrière possible. Ceci donne un classement des écoles. Et par la suite, plus d'étudiant.e.s, plus de moyens, plus de reconnaissance. Si une école ne répond pas aux besoins d'emploi de son domaine à quoi cela servirait il ? C'est peut être la différence entre l'éducation et la professionnalisation. Bien-sûr on peut remettre le modèle économique en cause, mais ce n'était pas l'objectif de l'émission.
Je n'ai pas été choquée par le manque de contradictoire. La subjectivité était clairement annoncée et affichée. Et parfois une immersion dans un milieu (sans interruptions répétées) me semble très utile pour mieux le comprendre et en connaître ses intérêts et ses biais.
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Théo
Un peu rude pour Maurice qui a souvent amenée des éléments intéressants. Rien que de faire parler une directrice d'école sur le niveau de culture gé etc c'est passionnant
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Limonchell:o)
Suite,à mon premier courriel,je persiste,que c'est de l'entresoi.
A suivre le parcours professionnel de Mme Joly ,qui fait du pantouflage.
De plus elle crée sa propre école,au sein même l'établissement.Youpi.
Socialement qui sont les élèves et les parents.
Combien coûte l'année au CFJ et l'école W .
Ruffin(François) avait raison dans un article qu'il a rédigé ,sur les écoles de journalisme,il y a quelques années.
Mme joly,rejoint lObs le 17 Janvier 2022. Reyoupi
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Limonchell:o)
https://fr.wikipedia.org/wiki/Julie_Joly
Les journalistes sont issus de la classe dominante.
Les parents payent combien l'année du CFJ,l'école W, ou une école de commerce.
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tosh
"L'absence de contradictoire sur l'inflation n'a d'ailleurs pas dérangé les asinautes, peut-être parce que le propos allait dans le sens de leur perspective ou de leurs opinions".
vous avez au combien raison, d'autant que les emissions avec debat contradictoire sont finalement plutot rare sur @si. les @sinautes ont tendance a considerer un article ou une emission "mauvaise" des lors qu'elle ne va pas dans le sens de leurs idées. Ca n'est évidemment pas spécifique a @si, on retrouve un comportement assez similaire sur mediapart et j'imagine une bonne partie des sites de media en ligne qui ont des commentaires. le consommateur d'information s'est polarisé , il veut être informé mais uniquement dans le sens du poil.
je partage l'avis de DS : la forme était pour le moins bancale et l'article du médiateur bienvenu mais cette emission par les propos qui y sont tenus et parce qu'elle révéle est finalement assez reussie malgré elle. Maurice j'aime beaucoup vos choix de sujet mais il faudra effectivement bosser un peu la forme et la preparation.
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Ghis
Mon commentaire va être un peu biaisé, car je n'ai pas eu le temps de voir l'émission en entier, mais je trouve aussi qu'il était assez frustrant d'entendre une sorte de discours d'anciens élèves plutôt que de parler du métier en tant que tel et notamment induit par la formation donnée dans les écoles.
J'ai pensé au début que cela rejoindrait les réflexions de Bruno Dumont sur la profession lorsqu'il évoquait son film.
Ce n’était pas inintéressant, mais pour reprendre l'exemple donné par D. Schneidermann dans votre article, j'ai justement trouvé assez mal abordée l'histoire du "physique de radio" (hallucinant comme expression). Le point tout à fait pertinent est évoqué, puis il est repoussé par le sociologue, parce que "les gens s'auto-exclueraient et se diraient d'eux mêmes qu'ils ne seront pas les meilleurs à la télé" ??
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LG
D'abord, bravo pour ce niveau d'autocritique et de réflexivité, quasiment unique dans le paysage médiatique.
Ensuite, c'est vrai que l'émission était décevante, et qu'il aurait fallu laisser de côté le documentaire, pour discuter de la formation des journalistes. Peut-être avec plusieurs profs qui auraient des expériences ou des avis différents ?
Enfin, un message de soutien à Maurice Midena, qui s'est quand même bien fait allumer... Je lui garde ma confiance et ma sympathie ! Un raté ne doit pas masquer le reste du travail accompli.
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ramon 4
Tentative de restauration de la confiance avec la méthode FDJ : une chance au grattage, une chance au tirage.
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Thomas
Merci pour cet billet très intéressant, lucide et autocritique. J'en profite pour saluer le travail de Maurice Midena même si je n'ai pas vraiment aimé cette émission là.
Si vous me permettez une petite critique néanmoins. L'entre soi ultime, n'est-il pas qu'une des rares interventions du médiateur par le biais d'une chronique, soit justement à propos d'une émission critiquée pour son entre-soi ? N'y a-t-il pas d'autres sujets traités par @si qui aient reçu des quantités (ou ratios) équivalents de critique (question sincère), et qui en toute logique auraient mérité un tel retour?
Ce n'est pas que je cherche à tout prix la petite bête. Mais j'ai toujours cette impression que dans la presse, les sujets "vie des médias français" sont écrit avec un luxe de scrupules disproportionné, probablement parce que tout le monde se regarde, se surveille. Un peu comme les articles sur la vie politique, celle des puissants, où les précautions (conditionnel, recoupage d'infos) sont bien plus grandes que pour ceux sur la vie des anonymes des faits divers ou des informations générales.
A @si, la vie des médias français est votre carburant, donc ce serait dur de vous reprocher cette exigence, mais ce sur-scrupule se ressens un peu, je trouve, dans ce making-of de making-of, qui a d'excellentes raisons d'exister, mais qui est un peu seul.
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Toufik Cherifi
On peut dire ce qu'on veut, un site comme celui-ci, capable de revenir de manière critique sur sa production, est précieux. Merci et bravo pour cette honnêteté intellectuelle
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Asinaute sans pseudo dca8e
Aucun mot sur votre incapacité chronique à analyser des films documentaires qui ne soient pas des objets formatés pour la télévision. Or c'était bien le cas de ce docu dont on a vu que des extraits et aucune défense de la forme et donc du propos des auteurs !
Un mea culpa leger qui ne répond qu'à minima aux critiques de celles et ceux qui payent vos salaires.
Pas très enthousiasmant pour l'avenir du site post Schneidermann, la section émission étant déjà fortement détériorée avec les animateurs junior
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une pomme de terre
Pour ma part, je n'ai pas pu regarder cette émission au delà de 40 minutes, ça puait l'entre-soi en quête autosatisfaction dès le départ. On se serait cru sur une émission animée par Pangloss avec comme invités Leibniz, Pangloss et Leibniz rabachant "Tout est au mieux dans le meilleur des mondes possibles" avec une dose de "circulez, vous êtes trop c**s pour comprendre le journalisme et sa formation, y'a rien à voir".
Merci donc pour cette autocritique bienvenue.
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Maulkyn
Merci, j'attendais un billet du médiateur et je trouve que c'est une bonne réponse.
Par ailleurs, je trouve le travail de Maurice Midena très bon chez ASI, une émission "ratée" ne doit pas faire oublier le reste de son travail ici.
Je pense que ce qui nous a crispé c'est le côté journaliste neutre vs journaliste militant (à qui on semblait dénier la qualité de journaliste).
On est nombreux je pense, à lire en plus d'ASI, ACRIMED, le Diplo, etc. donc ça a tendance à nous hérisser le poil quand on entend ça sans contradiction sur la plateau.
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Asinaute sans pseudo 0a16e
Bravo, merci de reconnaître. C'est une qualité très rare de nos jours.
Continuez vos enquêtes et vos émissions surtout, vous êtes humains et ça on peut tous le comprendre, tout le monde commet des erreurs.
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Eliwood
C'est cool cette histoire de mediateur, j'avais pas suivi.
Bravo à ASI