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  • Osiris 30 avril 2025 à 23:49

    PDH questionne les rapport d'ASI avec les "sionistes de gauche" :

  • simon.kza 27 avril 2025 à 16:55

    Il m'était déjà arrivé d'arrêter mon abonnement pour des raisons d'argent, mais là je tiens à mettre un message pour préciser que c'est pour une raison éditoriale. J'avais trouvé l'émission très mauvaise mais je ne comptais pas pour autant me désabonner, ça arrive de se rater, et j'étais passé à côté de ce droit de réponse tout simplement catastrophique. La fin sur le "chantage à l'abonnement" est tout simplement un appel au désabonnement, je ne sais pas sûr quel planète vous vivez. Ça critique la position de citadelle assiégée de la fi (contre les médias de droite) mais vous êtes incapables de voir quand vous avez les mêmes réflexes de citadelle assiégée, mais face aux critiques de la gauche...

  • christina 26 avril 2025 à 00:00

    591 + 405 + 806 + 1199 = 3001


    (qqs jours en panne d’internet, juste loupé les 3000)  

  • Crétin des Alpes (en liberté conditionnelle) 23 avril 2025 à 18:19

    Message n° 1173.


    Si on pouvait utiliser la fonction Message personnel, il y aurait environ, à la louche, au jugé, un bon tiers de ces 1173 messages qui ne ne seraient jamais apparus à la surface.


    Pour les forts en calcul, ça fait 391 messages, plus ou moins si le tiers est un bon tiers ou un tiers rachitique.

  • jammrek 21 avril 2025 à 20:08

    Chouette !

    Surtout que Asi peut mettre n'importe qui en  face de Rima Hassan, elle en fera du petit bois.


  • Raul 21 avril 2025 à 10:22

    Cette émission fait mal. L'invité passe les 20 premières minutes à recouvrir tout l'antisémitisme sur LFI, il fait le coup du continuum. L'idée du continuum n'est pas inintéressante pour comprendre la société, mais elle ne peut pas servir de guide pour juger les gens.
    Si des expressions maladroites, c'est de l'antisémitisme, et que ça mène à l'agression de nos compatriotes juifs (continuum), alors une expression maladroite vaut un coup dans la gueule, une insulte, une agression. Tout est donc dans tout, et on ne peut plus catégoriser, comprendre, nuancer. C'est un non-discours.
    J'ai trouvé l'émission confuse et totalement inutile. On en ressort comme on y est rentré. Aucune contextualisation, ce qui est la qualité d'ASI normalement. Les accusations d'antisémitismes contre LFI se font dans un contexte, la guerre à Gaza, la politique interne en France notamment les combats à gauche, etc...

    Quid du continuum omniprésent dans les médias, qui fait de nos compatriotes juifs des soutiens de la politique israélienne en amalguamant critique du gouvernement israélien avec l'antisémitisme ?
    Quid de la polémique contre Corbyn ?

    Il y a un contexte... ASI n'en a rien fait et a laissé dérouler son invité comme rarement je l'ai vu se faire dans une émission ASI. 

  • FroG 20 avril 2025 à 21:20

    Je n'ai jamais été convaincu par le style de présentation-modération de Nassira El Moaddem. Cette émission est venue confirmer mes préventions.
    Mme El Moaddelm y a présenté le cocktail navrant d'une personne très sûre de sa propre opinion, puis énervée quand elle s'est rendue compte qu'elle avait été manipulée par un de ses invités (M. Pardo) à qui elle avait délégué la tâche d'attaquer M. Clouet. Puis excédée et paniquée quand elle a compris qu'elle perdait le contrôle du débat. Débat assez mal préparé puisqu'elle y a laissé passer des citations déformées.
    Un sourire satisfait de soi-même et de ses propres saillies n'a jamais été le signe d'un(e) bon(ne) professionnel(le), Mme El Moaddelm l'a encore confirmé. Il est terrible que ce soit dans ce contexte.

  • Ata Raxie 20 avril 2025 à 11:05

    Voici les résultats fournis par CNEWS/GPT à la question suivante ; " Que penser de la photo  controversée de

     Hanouna?  "


    "  Il s'agit de la photo d'un personnage  hideux et sournois , avec un profil de hyène...


    " Il laisse supposer un ignare à fond, mauvais bougre, fielleux , vaniteux, capable des pires intrigues et perfidies. 


    "Tout en lui semble veule, l'allure, le regard d'eau sale, avec un crapaud endormi au fond , la démarche hésitante, le cheveu pelliculaire...


    " Tout sue la vadrouille ou le désordre de la chambre meublée, où le maquereau et croupier passe son habit taché et sa chemise souillée devant la glace dépolie...


    " En résumé, un visage de girafe irritée parangon des salonnards bolloréens ....


    Je vous fais grâce des paragraphes suivants, car peut-on faire confiance à cette intelligence ?

  • ManuTOO 20 avril 2025 à 08:36

    J’ai demandé à ChatGPT d’analyser tous les messages de ce fil. Voici un copié/collé de son analyse. À partir de maintenant, c’est lui qui parle.


    🔍 Analyse complète de la discussion — par ChatGPT

    J’ai lu l’ensemble des 1 052 messages postés sur ce fil de discussion, suite à la médiation d’ASI concernant son émission « Antisémitisme : analyse d’un déni à gauche ».

    Je vous propose une analyse détaillée en trois volets :

    1. Répartition des positions

    2. Qualité des arguments

    3. Évaluation générale


    1. ✅ Répartition des positions

    L’ensemble des commentaires peut être divisé en trois grandes catégories.

    A. ✍️ Critiques d’ASI (largement majoritaires)

    Ces messages dénoncent une série de biais ou d’insuffisances dans l’émission :

    • Cadrage initial biaisé : l’émission postule d’emblée l’existence d’un « déni à gauche » sur l’antisémitisme sans en faire la démonstration. Cela donne l’impression d’un procès d’intention contre une mouvance politique entière, sans nuance.

    • Manque de pluralité réelle : bien que LFI soit représentée par le député Clouet, les critiques soulignent l’absence de voix contradictoire extérieure à LFI, capables de contextualiser et de décrypter objectivement les enjeux (journaliste neutre, universitaire, sociologue, etc.). Le résultat : LFI semble jugée par le tribunal médiatique… sans avocat.

    • Traitement injuste du visuel d’Hanouna : présenté comme antisémite par plusieurs intervenants sans analyse de réception, ni démonstration claire d’une intention malveillante. Les critiques rappellent que ce type d’accusation — surtout dans un contexte tendu — mérite une approche bien plus rigoureuse que de simples analogies visuelles.

    • Méconnaissance ou caricature des soutiens de LFI : de nombreux intervenants se sentent injustement assimilés à des militants fanatisés, incapables d’entendre la moindre critique, alors qu’ils cherchent surtout une analyse rigoureuse des discours médiatiques dominants.

    • Tonalité de l’émission : Nassira El Moaddem est fréquemment citée pour son attitude perçue comme agressive, inflexible, voire jugeante. Cela a accentué la fracture ressentie par nombre d’abonnés.

    En résumé, les critiques pointent un alignement partiel d’ASI avec des narratifs médiatiques dominants, sans le recul critique habituel qui faisait sa force.


    B. 🙋‍♂️ Défenseurs d’ASI (nettement minoritaires)

    Ces messages soutiennent le droit d’ASI à :

    • poser la question du rapport à l’antisémitisme dans certains discours de gauche, même si cela dérange ;

    • critiquer LFI, qu’ils jugent parfois trop opaque, sourde aux reproches, ou dans une posture défensive excessive.

    Cependant, cette défense est souvent formulée dans un registre moral ou affectif, plutôt qu’argumentatif :

    • « On a le droit de critiquer LFI ! »

    • « Les critiques d’ASI sont agressives, voire harcelantes »

    • « Il faut savoir se remettre en question »

    Certains de ces soutiens vont jusqu’à dénigrer les critiques en bloc, en les réduisant à des militants LFI fanatisés ou incapables de penser hors de leur camp politique.

    👉 Cette posture moralement surplombante a pu accentuer la tension. Elle évite souvent de répondre sur le fond, et donne l’image d’un repli sur l’autorité morale plus que sur l’échange argumenté.


    C. 🧩 Interventions d’Élodie S. (avriogata), médiatrice

    Élodie tente de :

    • faire le lien entre les critiques et la rédaction ;

    • reconnaître certains points problématiques (titre trop affirmatif, réception tendue, formulation maladroite dans le billet d’origine) ;

    • défendre la bonne foi de l’équipe et la difficulté de faire une émission sur ce sujet sensible.

    Mais plusieurs critiques reviennent à son sujet :

    • Elle ne répond pas sur les points de fond les plus soulevés (biais éditorial, absence de voix contradictoire, déséquilibre de l’émission).

    • Elle semble vouloir refermer le débat en faisant une liste de points reconnus, sans reconsidérer le cadrage global.

    Résultat : ses efforts de médiation, bien intentionnés, donnent parfois l’impression de déni partiel : admettre quelques erreurs périphériques pour mieux éviter le cœur du reproche.


    2. 🎯 Qualité des arguments

    Les critiques :

    • Détaillés, souvent très bien construits.

    • Reposent sur des faits précis, des citations, des analyses médiatiques, parfois avec des références à d’anciennes émissions.

    • Ils s'efforcent de déconstruire les mécanismes médiatiques, ce qui est en théorie l’essence même d’ASI.

    • Les plus pertinents refusent de disculper LFI aveuglément, mais estiment que l’émission n’a pas permis d’en débattre correctement.

    Les soutiens :

    • Moins nombreux, et souvent beaucoup plus pauvres sur le fond.

    • Peu d’analyse des critiques concrètes ; beaucoup de jugements sur le ton ou l’attitude des mécontents.

    • Rappellent des évidences (« on peut critiquer LFI », « l’antisémitisme existe aussi à gauche ») sans démontrer que cela a été bien traité par ASI dans ce cas précis.


    3. 🧭 Conclusion : où est la rigueur ?

    Les critiques d’ASI sont nettement plus argumentées, sourcées, et fidèles à l’esprit critique qu’on attend d’un site comme ASI.

    Leur ton peut parfois être vif, mais les griefs sont :

    • pertinents (notamment sur l’effet d’alignement médiatique) ;

    • injustement disqualifiés comme simples réactions de « fans de LFI ».

    Quant à la défense d’ASI, elle repose trop souvent sur une position morale (“il faut savoir se remettre en question”) qui ne répond pas aux questions précises posées.

    Le paradoxe est que ceux qui dénoncent le « déni à gauche » semblent eux-mêmes souvent dans le refus d’entendre les critiques argumentées de leur propre émission. D’où cette impression désagréable de projection inversée.


    En résumé

    Une émission qui voulait « briser un tabou » a surtout renforcé une fracture. Ce fil montre que de nombreux abonnés sont prêts à débattre, à condition d’avoir une méthode rigoureuse, des contradicteurs réels, et une posture ouverte à la critique. Ce n’est pas tant une crise politique… qu’une crise de méthode journalistique.


  • justin 19 avril 2025 à 18:01

    Il me semble que le malentendu, la divergence d'opinion entre certains abonnés et l'angle adopté par ASI sur "le déni" de LFI est causée à l'origine par la divergence d’interprétation sur le visuel d'Hanouna pour la manif anti-raciste.


    Quelques jour avant l'affaire du visuel d'Hanouna, Daniel Schneidermann semblait encore très critique sur les accusations d'antisémitisme contre LFI, face à Guillaume Erner.


    Pour un abonné et un lecteur occasionel comme moi, il semble que l'affaire du visuel d'Hanouna l'a amené soudainement à revoir sa position sur ce point, comme si les accusations d'antisémitisme avaient finalement du sens, et n'étaient pas qu'une stratégie de diffamation menée par les adversaires politique de LFI, mais bien un véritable problème réel.


    Pour ASI, certains abonnés, mais aussi sûrement pour de nombreux citoyens de gauche, désireux de faire leur auto-critique sur ce thème, il semble que l'affiche soit clairement inspiré par les traditions de la propagande antisémite.


    Pour un certain nombre d'abonnés et de citoyens, cette interprétation est tirée par les cheveux, exagérée, une énième tentative du camp réactionnaire de mettre des bâtons dans les roues de la gauche avec la nouvelle recette Orwellienne et confusionniste à la mode : les anti-racistes sont des racistes. 


    Il est aussi notable que parmi celles et ceux qui nient la présence de "codes antisémites évidents" dans le visuel d'Hanouna, beaucoup sont souvent critiques sur l'utilisation de portraits menaçants, grimaçants, pour avertir le publique, et dénoncer des individus et leurs activités politiques.


    Il y a une myriades d'arguments d'un côté comme de l'autre, mais les ceux qui voient des codes antisémites dans le visuel se contentent généralement de se justifier par une "évidence" de ces codes antisémites qui leur sautent aux yeux.


    Voici un exemple dans le billet du médiateur :


    << Dans l'émission, Nassira décrit un "visage sombre à l'expression agressive, des sourcils froncés, le nez crochu, grimaçant, les dents apparentes". Un peu plus loin, et à la suite d'un léger quiproquo avec le député insoumis, Nassira le pousse dans ses retranchements afin de le faire sortir de ses éléments de langage : "On ne parle pas d'une image neutre de Cyril Hanouna ! On parle de ce nez crochu, on parle du fait que ce soit très sombre, qu'il soit comme ça, en hauteur, en position de domination. Ça, c'est des effets de la propagande nazie" argue-t-elle avant d'ajouter : "Enfin, je veux dire, je n'ai pas fait d'histoire de l'image pendant 5 ans pour le savoir !". La remarque semble avoir été mal perçue par certains, interprétée comme un signe de mépris. En réalité, Nassira veut simplement dire que les codes antisémites sont, à ses yeux, évidents. Et elle l'assume : "Je considère que le visuel représentant Hanouna est une affiche qui reproduit des codes antisémites". >>


    Dans les messages postés dans les deux discussions du forum d'ASI, j'ai pu trouver deux exemples qui permettent de se faire une idée des arguments chez les pro et anti-"codes antisémites évidents".


    Anti : message de lemexicain 29 mars 2025 à 18h02 


    https://www.arretsurimages.net/discussions/antisemitisme-analyse-dun-deni-a-gauche?uuid=867edfd6-dfe9-4f13-b92a-24c9a85c8b13


    On peut y lire : "La figuration du visage de Hanouna dans l’affiche de LFI, qui exprime la haine et la colère, est en réalité très différente des affiches du IIIe Reich et hors-sujet par rapport à la représentation raciste du juif".


    Citation de André Gunthert, historien de l'art, donc un expert sur la question.


    Pro : lien vers le blog mediapart de Jonas Pardot, invité de l'émission, où sont listés les prétendus actes antisémites de la LFI, liste sans doute partagée par la plupart des citoyens pour alimenter les accusations d'antisémitisme contre LFI.


    On y trouve des citations telles que :


    - Après la commémoration de la rafle du Vel d’Hiv, Mélenchon écrit : « Non, non, Vichy ce n’est pas la France ! » 


    - Jean-Luc Mélenchon oppose le « peuple français » à Yael Braun Pivet qui « campe à Tel-Aviv » 


    En résumé, nous avons d'un côté des experts et une large partie des abonnés qui disent "non, le visuel n'était pas antisémite", appuyés par des analyses précises et documentées.


    De l'autre, des citoyens qui "considèrent" qu'il y a bien un antisémitisme évident à LFI, en se basant sur des éléments qui à première vue semblent tout simplement non pertinents, inéfficaces, des bouts de phrases interprétés de manière exagérée au maximum, tirés par les cheveux.


    Il me semble que le procès en antisémitisme de la LFI a suffisamment pris racine dans les médias, pour que cela vaille un travail d'analyse, surtout de la part D'ASI. 

    Une émission sur le sujet serait la bienvenue. Avec des experts tels que André Gunthert, ainsi que des personnes qualifiés pour analyser la liste d'accusation relayée par Jonas Pradot sur son blog.


    Il me semble aussi que si ces accusations et ces soupçons sont pris au sérieux par l'équipe d'ASI, cela est en soi suffisamment grave pour mériter d'être éclairci et argumenté.


    De nombreuses questions se posent : 


    Qui a lancé l'alerte en premier sur le visuel d'Hanouna ? D'où part l'attaque ?


    Quels sont leurs arguments au delà des "je considére que" et autre soi-disant "évidences" ?


    etc, etc.



  • christina 19 avril 2025 à 13:23

    405 + 803 + 1014 = 2222 

    Joli. Peut-être suffisant ?

  • Ata Raxie 19 avril 2025 à 09:32

    Plus de 1.000 commentaires pour une photo prétendument antisémite ....


    A peine 40 pour évoquer les centaines d'assassinats de journalistes palestiniens  commis  par  l'armée  israélienne  !


    Peut-on dire que cela reflète l'importance de la propagande israélienne :


    - d'une part , pour amplifier le prétendu antisémitisme  ;


    - d'autre part,  pour exercer  une censure efficace. ?


    Serions-nous  les pions du gouvernement génocidaire d'Israël  ?


    ( Israël étant l'Etat-nation du peuple Juif )

  • christina 19 avril 2025 à 02:46

    1000 !

  • Ata Raxie 18 avril 2025 à 22:20

    Une photo réussie  de l'âne Nouna sera-t-elle offerte  au millième commentaire  ???

  • Aescius 17 avril 2025 à 18:28

    Je suis effaré de la déferlante de commentaires contre ASI. J'ai beaucoup apprécié l'émission en question : elle est certes à charge contre LFI et le député présent, mais elle a le mérite de proposer une discussion sur l'antisémitisme entre personnes de gauche, qui ont plus de points communs que de désaccords, à l'écart des émissions et plateaux chambre d'écho de la droite et de l'extrême-droite qui instrumentalisent la lutte contre l'antisémitisme pour attaquer la gauche en général.

    La quantité de commentaires qui critiquent l'émission d'ASI confirme ce qui est pointé par les deux invités : un refus total de se remettre en question sur l'antisémitisme à gauche et notamment à LFI et chez ses soutiens, une incapacité à écouter les critiques (qui viennent de camarades !), et le refus de réfléchir à comment lutter ensemble.

    Certes, le député n'est pas aidé par la composition du plateau, mais ses réponses sont à côté de la plaque : alors que LFI a fait la démonstration de son incapacité à percevoir les biais antisémites, et alors qu'on lui dit qu'il est temps de se former à les repérer, il propose de se retrouver ensemble pour lutter contre l'extrême-droite. L'extrême-droite est bien sûr antisémite, mais lutter contre l'ED ne devrait pas être un mantra vide de sens : si on doit lutter, c'est armés intellectuellement, pas en refusant de se former sur la lutte contre l'antisémitisme et en partant du principe que parce qu'on est de gauche, on est dans le camp des oppressés et qu'on n'a rien à se reprocher.

    Soutien total à l'équipe d'ASI, qui répond très bien aux critiques.

  • Cultive ton jardin 17 avril 2025 à 09:23

    « Si vous lisez ceci, cela signifie que j’ai été tué » : ainsi commence le message dans lequel le reporter évoque ses nuits à dormir sur le trottoir, la faim qui n’a jamais cessé de le tenailler et son combat pour « documenter les horreurs minute par minute ». « Je vais enfin pouvoir me reposer, quelque chose que je n’ai pas pu faire durant les dix-huit mois passés »


    Encore des antisémites de gauche dans le déni!!!

  • YvesT 16 avril 2025 à 20:34

    Je pense que Jonas Pardo a fait de sacrés dégats, sa formation, très opportuniste, d'il y a près de 2 ans a profondément divisé la gauche. Il s'est arrangé pour faire culpabiliser les plus malléables de la gauche en les persuadant que la critique d'Israël et du sionisme était "un peu" antisémite tout de même et qu'il fallait faire attention, faire le ménage et se méfier des soutiens à la Palestine. Autain, Corbière, Garrido, Ruffin, le revue Regard, Mediapart et donc sans doute quelques membres d'A/I ont avalé ces discours et sont tombés dans le panneau.

     Il a ainsi ouvert la porte de certains médias de gauche à Golem et au Raar dans le but non pas de lutter contre l'antisémitisme mais de se servir de la gauche pour mieux taper sur la LFI... ou sur l'UJFP et Tzedek...

    Voir l'interview de Pardo par Pablo Pillaud Vivien en 2023 pour comprendre la manipulation.

  • Noctiluque 16 avril 2025 à 17:17

          

                  


            


            


            

    Ceux qui auraient pu etre invités réagissent

                      

          Antisémitisme à gauche : Arrêt sur un Gaslight, TSEDEK REACT à Arrêt sur Image  https://youtu.be/fU3zGKBDvOg?si=wUVIKyEYSi96YkWG

  • poisson 16 avril 2025 à 12:12

    Épingler asi ou pas. Ce n'est pas le plus important. Ce qu'on discerne devant ce mur infranchissable, cette difficulté à aller au bout du bout, à ne pas vouloir accorder le point à l'ONU, LFI, Rima Hassan, à la reconnaissance d'un État palestinien etc., n'est-ce pas le triomphe de Faurisson? L'antisémitisme scellé dans l'antisionisme, qu'il a répandu jusque dans le moyen-orient. Le grand mystificateur qui fait peur ne triomphe-t-il pas? Dire que l'EN l'a payé à ne rien faire... que des historiens se sont penché sur ses propos.. 

    Entre ça et que je découvre qu'on a promu après guerre directeur du musée de l'homme un qui se gargarisait de la démonstration des races. On a été trop gentil. Moralité: ne soyons pas trop gentil quand quelque chose nous défrise, on veut sauver quoi en premier? asi ou bien?

  • Nemo 16 avril 2025 à 00:28

    J'attendais ce retour critique de ASI et d'y réfléchir avant de me prononcer mais désolé ce long billet ressemble bien plus à une plaidoirie en défense qu'à une véritable analyse. Pour être clair, j'ai trouvé l'émission mauvaise sur la forme car il s'agit clairement d'un 3 contre 1, format qui rend impossible pour la personne en minorité de se dépêtrer. C'était déjà le cas pour Christophe Carrière dans l'émission consacrée à Cyril Hanouna pour répondre au faux argument du "on nous l'a jamais reproché autrement". 


    Mais l'autre souci majeur est que sur le fond, on en retient hélas pas grand chose. 


    Le caractère antisémite de l'affiche est posée comme une évidence éditoriale absolue sans aucune question génante sur sa création. Ce sont des échanges vifs mais vains dont ne se dégage aucune réelle analyse médiatique et à l'apport politique peu profond. Que retenir d'un dialogue qui n'existe quasiment pas ? Que peut-il être engagé comme réflexion quand le titre pose d'emblée un cadre restrictif tel au débat qu'il ne peut avoir sincèrement lieu ?


    Quand à cette intervention de médiation, je trouve que ssi les bonnes questions sont posées, on ne va pas vraiment chercher les réponses. Et on fait parfois même face à un long quasi-déni des problèmes qui sont soulevés et et des critiques qui vous sont adressées. Certaines citations sont mêmes teintés d'une mauvaise foi que je ne m'attendais pas à trouver à ASI. Comme quasi-systématiquement avec les journalistes, ASI comme les autres, il y a une incapacité structurelle à admettre s'être en partie planté et on revient à sortir le mot de "chantage".  C'est vraiment décévant.  




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