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  • freudqo 20 septembre 2013 à 09:27
    Plus au début de ce sujet, j'ai parlé de l'inertie du système en matière de résolution des problèmes de l'école. J'avais pris pour exemple le fait que des gamins entrant en 6ème ne sachent pas lire.

    Je me permets d'en rajouter une couche : http://www.slate.fr/story/77844/cartables-trop-lourds . Pour ceux qui ont la flemme de lire : les cartables pèsent trop lourds et abîment le dos des élèves. Ça fait 45 ans que le problème se pose et 45 ans qu'il n'a pratiquement pas évolué.

    C'est, à y réfléchir, un exemple encore plus caricatural de l'incapacité du système à se corriger. Les solutions sont en effet objectivement beaucoup plus simples que pour l'apprentissage de la lecture. Il suffit de mettre des casiers, de limiter les devoirs à la maison, d'utiliser les polycopiés et/ou le nombre de matières enseignées chaque jour. Mais en 45 ans, on n'a pu réaliser aucune de ces solutions (d'après un ami qui a été dans le privé, les casiers y ont été découvert), et il faudra attendre que les écoles publiques soient équipées de tablettes ou de liseuses pour y mettre fin.

    J'avoue que dans le débat qui s'est créé, je suis aujourd'hui bien plus sensible aux raisonnements d'Aldewin dans le débat qui a pris place, du moins en ce qui concerne la considération apportée aux élèves par l'éducation nationale. Très clairement, le bien-être des élèves n'est pas du tout une priorité pour le système.

  • pompastel 11 septembre 2013 à 17:52
    @Adelwin

    Adelwin, vous êtes intervenue sur ce forum pour partager avec nous les raisons pour lesquelles vous avez préféré ne pas scolariser vos enfants.
    Je suis à mon tour intervenue, non pour contester votre choix, mais pour signaler que je trouvais vos justifications (description de l’école, Bronx, arène et enfer) vraiment trop caricaturales.
    Et votre rapport à la violence tendance phobique et vraiment très simpliste.

    Vous avez convoqué le cas de J. pour renforcer votre démonstration sur la dangerosité du milieu scolaire pour les enfants, mais plus vous en parlez, moins votre démonstration me semble convaincante.

    Je ne dois pas être la seule, parmi ceux qui vous lisent, à avoir remarqué que pour nous décrire ce J. emblématique à vos yeux (quand on pourrait y voir un cas exceptionnel), vous avez tourné en boucle avec pas mal d'énervement sur des épisodes exclusivement de nature sexuelle.
    Si j’ai bien compris, il avait au grand maximum 10 ans quand on l’a collé dans l’avion, vos récits sont donc antérieurs.(Ceci dit, difficile de s’éloigner d’une île par une autoroute, je suppose. Mais soit.)
    Tous les autres détails entrent en piste quand vous parlez de son milieu familial. (ses loisirs, ce qu’il boit, ce qu’il mange, comment il apprend à nager, le métier de ses parents, sa fratrie …)
    Alors, bon.
    Je ne le connais pas, ce gamin, et je serais vraiment débile si je faisais semblant de savoir mieux que vous qui il est.
    Toutefois, comme je suis intéressée depuis le début de cette conversation par votre argumentaire, je ne peux pas m’empêcher de me demander si ces éléments spontanément sélectionnés par vous ne parleraient pas, peut-être, davantage de vos peurs à vous que de ce gamin. Qui doit sans doute être un peu moins monolithique que ce que vous présentez. (Le désagrément que provoque sa compagnie ne passe-t-il que par des comportements liés à la sexualité ? "pervers, oui, je le dis, pervers" avez-vous écrit. Je ne suis pas psy, mais cette affirmation me semble faire référence à une sexualité d'adulte, potentiellement déviante. A partir de quel âge, biologiquement (?) un être humain peut-il être considéré comme animé de pulsions sexuelles "venant de l'intérieur "? J'écris comme je peux ce que j'essaie de poser comme question, je ne connais pas grand chose à ce sujet, mais je veux dire : par opposition à un comportement imité parce qu'on a remarqué que ça emmerdait les autres, les adultes en particulier ?)

    La manière dont vous répétez sans recul ce qu’ « on » vous a dit pour autant que ce soit au service de votre détestation de cette famille ne peut (m’) apparaître (à moi qui ai sans doute un peu mauvais esprit) qu’un peu suspect. (Sans compter votre ami qui vous fait tant plaisir en vous racontant comment ils sont nuls, ces bourgeois : j’espère pour vous qu’il ne fait pas la même chose dans l’autre sens…)



    Si vous pensez ce vous écrivez « Je trouve aussi qu'on doit lui donner une chance de comprendre que c'est grave et qu'il ne se construise pas avec une image de lui comme étant un abuseur », je comprends encore moins votre lettre de menace (écrite au moins à deux… et votre mari ? ) dont vous nous avez dit qu’elle avait pour but d’intimider les parents afin qu’ils retirent leur J. du cours de théâtre, sinon vous seriez « dans l'obligation de parler de la situation à la troupe de théâtre et à l'association qui a mis l'activité en place ».
    Non seulement vous l’avez étiqueté une fois pour toutes, vous n’envisagez que sa disparition comme solution, mais, posons l’hypothèse que vous n’avez pas forcé le trait dans sa description, vous participez à la conspiration du silence que vous dénoncez par ailleurs. Car ce qui apparait, c’est que vous acceptez de vous taire tant que ce J. n’est pas dans l’entourage de votre fille et de sa copine.

    Vous reprochez à l’école de ne pas suffisamment aider les jeunes à devenir libres. On peut s’entendre là-dessus, il y a des tas de choses à améliorer.
    Mais je ne vois toujours pas ce que votre mode de vie apporte de supérieur à vos enfants sur ce registre.
    C’est quoi, la liberté, quand on masque, contourne, fait disparaître tout ce qui gâche le paysage ?
    En résumé, ma première impression s’est plutôt renforcée :
    Dire OUI à projet de vie alternatif n’est pas du tout équivalent à dire NON au monde.
    Je continue donc à me demander quelle vision du monde vous transmettez à vos enfants, comment ils intègrent votre grille de lecture des autres, cette manière péremptoire de juger votre entourage et la densité d'angoisse que vous leur communiquez.
    Mais on s’en fout un peu, de ce que je pense.
    Et comme plein d’autres, je vous souhaite tout le bonheur du monde avec vos enfants.
    Et quand J. reviendra en bel adolescent craquant, vous viendrez nous raconter comment vous riez ensemble de ce qu’il vous a emmerdée quand il était gamin. (Et s’il devenait le père de vos petits-enfants ? Guère de latitude, pour les parents – sauf à se comporter en dictateur -, face aux histoires d’amour de leur progéniture… Surtout quand les parents sont animés d’un idéal de liberté et entendent ne pas contrôler leurs enfants au-delà de l’âge … quel âge, en fait ? )

    A propos de la manière bienveillante dont on raconte comment les autres s'y prennent, les gros nuls, avec leurs gosses : sur le "non" qu'on ne tient pas toujours, par exemple. Ben moi, j'fais pas trop la maligne là-dessus. D'ailleurs, c’est bien simple, j’ai lâchement résolu le problème et je vais droit au but « Bon, j’dis oui, mais j’devrais dire non »

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 10 septembre 2013 à 08:36
    je ne voudrais pas sortir à nouveau mon stock de pommade, mais je trouve que ce débat autour de la polémique Adelwin/ Pompastel est d'un niveau remarquable, très supérieur à ce que j'ai pu lire de comparable sur des sites renommés, comme Médiapart récemment.

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 9 septembre 2013 à 17:41

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • Oblivion 8 septembre 2013 à 18:13
    Sur Public Sénat, reportage intéressant en cours et débat à venir.

  • riva 7 septembre 2013 à 09:41
    Vous avez raison de tourner en dérision ce marronier. Mais la probléme est que tout le monde ou presque marche dans cette pulsion. Il se peut qu'il ya ait une réeele angoisse de la part des élèves. Mais je pense sincèrment que ce sont les parents ( le français moyen, aussi bien le bobo du XVI) ou des beaux quartier de province que le parent qui a tout simplment investi en ses enfants un désir de réussir par procuration et qui exige que cela marche quoiqu'il en soit).
    Il faudrait s'intéresser au contenu qui est proposé à l'école pour comprendre qu'il n'y a aucune garantie de réussite à tout pris. Mais il est clair que les ravages qui ont été commis à l'école joue hélas dans le sens des phobies des parents;
    Qui nous a assomé pendant des année avec le thème de l'école de la réussite, avec les pourcentage imposés de reussite au baccalauréat, qui sous prétexte de se réclamer de Bourdieu a convenu que pour que l'école soit cele de la réussite, il falllait interdier aux élèves de faire des devoirs le soir, et qu'il falait que tout le monde, à chaque étape,soit toujours si j'ose dire sur la même ligne de départ. Qui a décidé qu'à l'école on ferait des art plastiques mais que l'on n'apprendrait jamais à dessiner car cela mettrait en avant l'inégalité des talents. Moin de moi l'odée que l'école soit le lieu d'une lutte impitoyable pour la vie et tant que l'on laissera croire que l'attibution de notes participe forcément à ce struggle for life on srestera dans les passions trises à l'égard de l'école.
    Je ne vous donne qu'un exemple: hier sur france Culture s'en est pris à Danièle Sallenave qui, d'un ton un peu trop doctoral certes, défendait à juste titre, comme le lycéen fort cultivé qui était invité aux Matins, la chronologie. Et L. Goumard de se gausser et de dire que la créativité, et l'originalité de la pensée exigeait que l'on rompe avec le recours stupide en histoire à la chronologier et à la narrativité. Quel malentendu!
    J'aurais bien objecté à l. Goumard l'ex. suivant: Il y a déjà une vingtaine d'année ( au moment ou la disparition de la chronologie était très à la mode un professeur de physique demande à sesélève s de econde ou de ^Preière je ne sais plus , d'évaluer à l'aide de l'instrument du carbone 14 la date dela vie humaine dans telle grotte préhistorique de Dordogne: résultats: du XVII° au XIX° siècle. Bon les élèves se "plantait" en physique, certes mais ils étaient complètement pommés hors sol. A laloterie on eût pas fait mieux. Si l'école est une lorterie il ya de quoi être angoissé...
    Tout est à reprendre contre l'idéologie prétendument démocratique qui a envahit l'école. Cordialemnt, MV

  • yack2 6 septembre 2013 à 21:37
    En lisant les jérémiades sur ces prétendues experiences désastreuses de l'école.....il me semble que la vie a du être douce pour eux....Pour
    rester scotchés si longtemps dessus...parceque depuis ....pour ma part, j'ai eu autre chose à faire......ce qui me surprend c'est la linéarité du propos....un cauchemard en bloc!( le bagne du 21ème siècle..dixit Shneidermann)...pour y bosser,je sais que chaque jour est différent....pour tous les participants.....comme la vie..et que le rôle de tous les éducateurs est,avant tout, d'apprendre à s'adapter.à ses différences ou différents....parceque :il n'y aura pas d'autre choix(....oui, oui, même se lever le matin..si,si!!!)
    Je recommande l'écoute de Onfray sur France culture sur l'inventaire de 68(charges et décharges) du vendredi31/8..... surtout sur la faillite des intellectuels....qui nous ont mis dans les pattes et têtes,des préoccupations dont ce forum est remplis....des préoccupation de bourgeoises en diable,nombrilistes....et surtout désastreuses car ayant contaminées notre société et surtout notre école ...avec le résultat que l'on sait.
    Enfin....

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 6 septembre 2013 à 14:27

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 5 septembre 2013 à 12:06
    phatétique

  • Cultive ton jardin 4 septembre 2013 à 08:33
    Je voudrais simplement faire quelques remarques:

    À l'école, il n'y a pas que les enseignants, il y a aussi les copains, aussi importants, voire plus que les enseignants, pour certains enfants. Et peut être encore plus importants pour les enfants en difficulté avec les copains, ceux qui ont du mal à se défendre, les timides, les orgueilleux, les solitaires.

    Par ailleurs, j'ai eu, mes enfants ont eu, des enseignants au dessous de tout. J'avoue que c'est de ceux-là que je parle quand je veux faire mon petit effet, il y en a eu de gratinés... J'en ai eu aussi de magnifiques, peu, mais qui ont, avec le temps, effacé tous les autres. Ceux-là, j'en parle moins souvent, je les garde aufond de mon coeur.

    Enfin, il faut beaucoup d'énergie pour instruire soi même ses enfants, mais surtout pour leur garder des liens sociaux pertinents puisqu'ils sont privés, précisément, des fameux "copains d'école". Comment compenser leur absence?

    Ceci dit sans hostilité aucune envers les parents qui choisissent l'instruction à domicile. Choisir, c'est aussi sacrifier, et nous le faisons tous.

  • Cugel 3 septembre 2013 à 20:27
    Elle parle de quoi la chronique de D. S. ? Étant adepte des chocolatines, je me suis arrêté de lire à pains au chocolat.
    --

  • KATEL GOLET 3 septembre 2013 à 20:21
    Avez-vous entendu parlé de ce qui se trouve sur ces sites ?

    ACCORD-CADRE ENTRE TOTAL ET L'ÉTAT POUR UN NOUVEAU PLAN D'ACTION EN FAVEUR DE LA JEUNESSE (7 juin 2013)
    http://www.jeunes.gouv.fr/IMG/pdf/Fej_DP_130531_M4.pdf

    Quand le Ministère des Sports et de la Jeunesse s’encanaille avec Total
    http://www.blogapares.com/quand-le-ministere-des-sports-et-de-la-jeunesse-sacoquine-avec-total/

    Comment le groupe Total va financer la réforme de l’Éducation nationale (11 juillet 2013)
    http://www.bastamag.net/article3107.html

    Quand le Ministère des Sports et de la Jeunesse s’encanaille avec Total
    http://www.blogapares.com/quand-le-ministere-des-sports-et-de-la-jeunesse-sacoquine-avec-total/

    Révoltant n'est-ce pas!
    Et dire que si le groupe Total payait ses impôts, l'Etat pourrait financer ses activités en faveur de la jeunesse sans avoir besoin de sponsor !!!!


    Pour finir de vous plomber le moral, Prenez le temps de regarder ces images ......

    En sortant de l'école .... Une autre histoire de l'école primaire
    http://www.scoplepave.org/en-sortant-de-l-ecole

    Remarquable et édifiant.... Bouleversant

  • Yanne 3 septembre 2013 à 20:04
    De toutes façons, comme l'école ne sert à rien, qu'elle forme des générations entières d'illettrés, que les profs sont tous nuls - y compris ceux qui éduquent leurs propres enfants à domicile si si ça existe, je vous jure, - que tous les enfants se font racketter, qu'on sera bientôt au niveau d'éducation du Bengladesh, qu'est ce qu'elle irait faire en classe ?

    Il vaut mieux qu'elle reste devant la télé. Gulli, c'est très bien !

  • Malagom 3 septembre 2013 à 20:00
    Aucun phobie parmi ces éléves, aparemment : http://television.telerama.fr/tele/documentaire/chemins-d-ecole-chemins-de-tous-les-dangers,11469458.php. C'est au Kenya.

    Hier, c'était au Népal, toujours pas de phobiques.

    Je suis à la recherche de phobiques du doigt qui presse les claviers en faisant plic plic. Si vous connaissez un tel cas...

  • jiheles 3 septembre 2013 à 18:33
    Moi je connais des gens qui ont la folie des trains
    Que fait la sncf ?
    je connais des gens qui ont la phobie des ascenceurs
    que fait la societe OTIS ?
    je connais des gens qui ont la phobie des lieux clots et sombres
    Que fait l'EDF?
    je connais des gens qui ont la phobie des araignees
    que font les entomologistes ?
    ..................
    Je connais beaucoup de phobiques ?
    Normal je suis psychiatre .
    D'ailleurs il y a aussi des gens qui ont la phobie des psychiatres ,
    Au secour Freud !

  • yack2 3 septembre 2013 à 18:25
    En plus d'être prof....il faudrait se sentir coupable de la phobie de la demoiselle...Je viens de faire la rentrée .....35 par classes...
    individualisation,remediation,innovation,renovation.....et j'en passe....je dois être totalement incompétent......mais je n'arrive pas à penser comme une mère....je suis simplement prof!

  • valflut 3 septembre 2013 à 17:00
    En même temps, qui pourrait reprocher à une mère de se faire de l'argent sur le dos de ses enfants ? Non mais c'est vrai, avec le temps et l'argent qu'elle a dû lui consacrer...

  • Malagom 3 septembre 2013 à 16:25
    Je viens de trouver le carnet de voyage en Normaland. Didon, qu'est-ce que c'était bien !

    Pffft la petite Touchard (experte en expertise de psys !!!) qui vient gratter ses pustules de victime dans mon giron... Quelles que soient ses souffrances, réelles ou pas, je trouve tout cela ob-scène. Les grandes peines sont muettes.

    J'imprime le carnet Normaland, un café, mon fauteuil, un truc de Rachmaninov comme fond sonore. Je n'ai pas de coeur, je sais. Et je ne suis pas LOL non plus.

  • joelle lanteri 3 septembre 2013 à 15:40
    je n'attend plus grand chose des analyses (et le mot est bien disproportionné) de ces journaleux mais avec vous je ne suis jamais déçue!!

    ils passent leur temps à inventer des maladies des symthômes pour justifier de leur argumentaire un peu comme l'industrie pharmaceutique invente le reméde et cherche la maladie apres Bientôt ils nous feront un article sur les hyper actif s et la rétaline!!

  • cigale zoze 3 septembre 2013 à 13:36
    ce qui me frappe, c'est surtout la récup' politico-socialo-médiatique du truc.
    il y a 50 ans, c'était pas un bon objet pour le bavardage médiatisé. et on avait pas souvent droit à la parole - ou en tout cas à l'écoute. mais je me rappelle la tristesse des derniers jours de vacances, les maux de ventre insoutenables le jour de la rentrée, l'angoisse de l'école (il faut dire surtout la primaire), l'ennui mortel, le perpétuel "qu'est-ce que je fous ici ?", le glauque de ces couloirs, de ces classes, de ces petites camarades. et pourtant j'ai été gâtée, c'était vraiment pas le bagne, ni la zone. mais j'en garde un souvenir horrible. et même si j'ai passé les CM à collectionner les prix d'excellence et les bulletins d'honneur !!

    pourquoi ne pas poser la question autrement : l'école EST un endroit angoissant. la situation EST angoissante. et apprendre EST angoissant. certainEs gèrent mieux que d'autres cette angoisse. mais pourquoi ne pas prendre au sérieux le fait que c'est potentiellement anxiogène en tous temps et en tous lieux ? et arrêter de chercher-la-faute-à-qui.


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