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christian 46
tres juste chronique moi j'ai était dégoûté de la maniere dont le sois disant intervenant présenté la choses est une honte j'ai makl pour mes amis musulmans et pourtant je suis non croyant et les religions me saoul mais je respecte les croyant la réponse de JLM était parfaite
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une pomme de terre
Juste pour le fun :
je clique sur le lien vers l'émission dont la présentation est :
https://www.france.tv/france-2/elysee-2022/3156229-avec-v-pecresse-j-l-melenchon-f-roussel-n-arthaud-et-j-lassalle.html
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Elysée 2022
Avec V. Pécresse, J.L. Mélenchon, F. Roussel, N. Arthaud et J. Lassalle
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On se dit que l'ordre des noms mentionnés est par ordre de passage puisque non par ordre alphabetique ni par 'étiquette' datée (femmes puis homme). Et bien non, JLM passe en premier dans cette vidéo.
Bon, ok ....
Ensuite vient le descriptif de la vidéo :
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présenté par : Léa Salamé, Laurent Guimier
Cette semaine, c'est au tour de Valérie Pécresse, Fabien Roussel, Jean Lassalle et Nathalie Arthaud de répondre aux questions de journalistes de France Télévisions triés sur le volet, chargés de les faire expliciter leurs avis et positions. Ils sont également invités à débattre entre eux sur des questions d'actualité et en rapport avec leurs programmes respectifs.
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Hop, JL Melenchon a disparu, il n'est pas interrogé ici ... deux hypothèses avant de voir la vidéo ; soit il a été bon et l'objectif est d'éviter le référencement, soit les mecs sont tellement anti-méluche qu'ils le zappent (consciemment ou inconsciemment) dans leurs écrits.
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Tony A
Les chiens de garde du service publique sont pitoyables. Ils mordent le vétérinaire, puis vont lécher la main du maître qui a prévu de les euthanasier.
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bistouille
Les chiens de garde sont là pour parler des "vrais problèmes" dans l'éducation nationale.
C'est vrai que, là comme dans d'autres pans de la Fonction Publique, où les agents ont du faire face à la crise sanitaire sans moyens, avec des directives ubuesques qui tombaient du jour pour le lendemain, des masques du gel et des lingettes achetées souvent sur leurs deniers personnels (ils en ont l'habitude, c'est ainsi qu'ils achètent leurs équipements informatiques et tout ou partie des consommables qui vont de pair), des manques de personnels (AESH etc...), le truc le plus important c'est de savoir si on va mettre des "iels" dans les exercices de grammaire, ou si l'on peut parler librement en classe de "critique des religions"
[ hors-sujet: ce qui est étrange, c'est qu'on en parle comme si ça coulait de source auparavant! de mémoire dans les années 80, il n'était question en classe (en gros) que d'énoncer les "fondements" des principaux systèmes religieux, de définir les concepts de polythéisme, monothéisme, d'avoir une idée des aires de répartitions géographiques et de l'histoire des expansions, conflits, civilisations, systèmes politiques et économiques liées à ces religions. Sans entrer dans une foule de détails. Et surtout pas de "critiquer" l'une ou l'autre.
A cette époque on foutait parfois le feu aux cinoches qui diffusaient "le Miraculé" de Pierre Mocky, ou "la dernière tentation du Christ", et d'anciens militaires menaçants rentraient dans les salles de concert pour empêcher Gainsbourg de chanter "Aux armes, etc..."]
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Dacoda
https://blog.mondediplo.net/france-inter-comme-les-autres
Pour ceux qui auraient encore des doutes sur le discours du service public
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Mag
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EDBRAUN
Certain(es) journalistes de service public utilisent le mot islamo-gauchiste (france-infos) pour fustiger les personnes qui tentent de réfléchir autrement. Cela rappelle pourtant la petite musique nazi avec le judéo-bolchévisme. D'autres laissent se développer comme ce matin sur France inter les propos d'une Le Pen qui envisage de créer un ministère de la remigration qui ressemble fort au secrétariat aux affaires juives sous Pétain. La différence, est que maintenant il est destiné aux arabes et aux africains (Ils peuvent plus le faire pour les juifs...), le tout dans une indigente indifférence. On peut aussi attribuer un pompon d'or à la chef journaliste qui, hier soir, à démarré son questionnement sur l'énergie nucléaire par "grâce à l'indépendance .......". Est-ce de l'incompétence ou de la propagande ? Et si l'on continue combien de fois sur les antennes avons nous entendu des propos mensongés, tenus en particulier, par les membres du gouvernement sans qu'aucun journaliste de service public ne fasse une relance sur des bases factuelles. Tout cela est bien triste pour l'avenir d'autant qu'avec la future étatisation des médias publics nous n'aurons rien à envier à d'autres régimes autoritaires européens. Et ils n'aurons même pas besoin d'un Peyrefitte pour leur tenir le crayon.
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grrrz
on a franchi un nouveau pas dans l'ignominie quand on discute tranquillement remigration avec Marechal Le Pen ou que Z vient parler de ça devant des gamins. On se demandera encore une fois où sont les journalistes pour recadrer et lever la (très fine) couche d'euphémisation pour parler d'un projet explicite d'épuration ethnique et de déportation. (et on voit des fafs venir nous expliquer que c'est un projet humaniste pour qu'iels je cite "retrouvent leurs racines" ya de quoi hurler)
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Kodovoltas
Petite mise au point concernant mon message de 12h25 ...
Eh ben ! Moi qui pensait faire un commentaire ironique, je me rends compte que certains restent au premier degré et à fond !
Évidemment que j’ai compris que les 78 % concernent les élèves musulmans, j’ai bien compris que le prénom permet de connaître l’origine (moi aussi j’ai un nom de métèque … etc !) et je sais bien qu’il y a des établissements où les jeunes musulmans sont majoritaires.
Merci à ceux qui ont gentiment éclairé ma lanterne et à ceux qui m’ont, maladroitement ou non, prêté des opinions que je n’ai pas !
J’enseigne en lycée général filière technique (STI2D) dans une ville de 25 000 habitants à quelques encâblures d’une métropole régionale.
Je sais tous les problèmes rencontrés dans nos établissements du collège au BTS.
De part mes origines (et oui, je suis un immigré naturalisé français !) je connais tous les « ennuis » que subissent ces jeunes, le racisme latent, les remarques sibyllines, les regards soupçonneux. Et pourtant, je suis blanc, bon teint, naturel et garanti d’origine !
Dans mes gènes il y a du slave, du roumain, de l’ottoman, de l’italien, du grec, du bulgare, du libanais, du juif … bref de toute la méditerranée !
La matière technique que j’enseigne a toujours des racines dans l’antiquité :
- Algorithme utilisé en informatique : du mathématicien persan Al Khwarizmi,
- Théorème de Pythagore, mathématicien grec,
- Archimède et sa poussée né en Sicile,
- Avicenne, médecin persan,
- L’Atome et ses 2400 ans d’ancienneté,
- le rôle des supernovas créatrices de tous les éléments dont nous sommes constitués,
- etc, etc …
À chaque nouveau chapitre je fais un peu d’histoire afin que les élèves puissent avoir une perspective sur le temps long, pour qu’ils se rendent compte qu’il y a toujours eu et qu’il y a encore de nos jours un brassage de toutes les populations méditerranéennes, de toutes les connaissances, de toutes les cultures et de toutes les religions n’en déplaise à certains.
Je ne parle pas des religions directement. J’essaie de les mettre en parallèle des connaissances scientifiques des différentes époques.
Je sais que ce n’est pas à moi d’enseigner l’histoire des connaissances, mais comme personne ne le fait, je m’y suis collé à mon humble niveau.
Ma satisfaction est de voir les étincelles de curiosité dans les yeux des élèves.
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Prométhée
qui tente pourtant d'y résister
Ah bon ?
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cécile clozel
tout ce débat me semble lunaire... j'ai pas mal bossé avec des adolescents, pendant des décennies : il m'a toujours semblé utile de "m'autocensurer", d'éviter d'arriver avec mes gros sabots et mes convictions, de respecter leurs défenses sur les sujets sensibles... c'est fragile un ado, ça a besoin de se sentir en confiance, de se sentir respecté pour pouvoir prendre le risque de changer, de grandir.
j'ai accueilli un jeune réfugié musulman à la maison : oui, bien sûr, je me suis "autocensurée" tout le temps qu'il a fallu pour qu'il ai envie d'entendre un autre point de vue, pour qu'il n'ait plus peur de se sentir nié, méprisé... ça ne signifie pas qu'on ment sur ce qu'on pense, mais qu'on ne trouve pas forcément indispensable et urgent d'imposer son propre point de vue, et de bousculer la maturation (fragile) de la réflexion du jeune. On tire pas sur le blé pour le faire pousser.
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poisson
S'autocensurer, ah ça c'est un problème noble, le prof qui s'interroge, il philosophe carrément sa pratique et n'est pas loin de conclure qu'il n'est pas libre. Non mais, la servitude volontaire, tu vois le truc, tu sais le machin que le titre dit tout? Nan lis pas La Boétie, le titre juste.
Moi comme prof de lycée professionnel, je n'ai eu que des problèmes à la con. Un exemple parmi pleins: Enseigner dans les sections pro, de services tiens par exemple.. Bon les MJC les centres de planning familial, les dispensaires, les centres municipaux de santé, tout ça. C'est dans les manuels, mais sur le terrain, le vide. Tout est renommé, détruit, inexistant, faisant office de, donc invisibilisés.
Les stages en ephad, bah la majorité ne prennent pas de stagiaires, vous savez pourquoi maintenant.
Les cours sur la gestion du budget, c'était mes préférés. Le crédit tout ça, épargner. Tous les chiffres sont truqués et irréalistes parce que sinon l'élève ne peut pas faire rentrer tout dans son salaire. Étude de cas surréaliste.
Sur l'environnement, l'effet de serre. Le tri des déchets, extra-motivant.
L'impression de ne pas comprendre la stratégie des programmes et de voir qu'ils sont pétris d'idées creuses.
Prendre du recul sur sa religion, comme si les lycéens devaient sans cesse prouver qu'ils sont plus forts que des adultes, meilleurs. Leur jeunesse est une circonstance aggravante et je ne comprends pas comment la société croit ça et s'imagine l'école comme un formatage.
Vive la retraite d'un métier qu'on n'aime plus. -
poisson
Tout part de l'idée qu'il ne faut pas laisser libre, à machin, machine et leurs amis/membre d'une famille portant le même nom, le champs d'expression et l'exclusivité de ces sujets.
On en revient de cette idée, même si Thomas Snegaroff y arrive de frais. Il était tellement agréable dans "l'info dans le rétro" et rendait cette émission encore meilleure. Léa Salamé, on l'aime pas. On sature, mais c'est pas seulement ça. Classe sociale, pistonnée, fréquentation, poseuse, photo avec Demorand, non rien de tout ça en particulier, mais un tout.
On en revient parce qu'on finit par se demander si ce n'est pas juste une manière d'imposer leurs préoccupations, car on n'est plus très sûr que ce sont les réelles préoccupations des français, vu que les français sont eux. Pas clair hein?, enfin quoi ceux qu'on nous désigne comme ne l'étant pas..., sont les français!
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Bobo
Sur le sondage de l'institut Montaigne en 2021, même si les 49% portent sur l'ensemble de la carrière des profs, le même sondage note que ce même chiffre était 36% en 2018. Ce +13% en trois ans n'est pas rien. Bref votre présentation qui suggère que tout va bien est un tantinet déplacée. -
Le Chien
C'est plus à 17 ans qu'un wesh-wesh des cités se fait refaire les valeurs par un prof de lycée. Je veux bien que la mission d'enseigner soit une noble tâche, mais je pense que les profs eux-mêmes avouent avec humilité ne pas avoir beaucoup de prises concrètes pour ouvrir les esprits. La séparation de l'État et du Religieux, ça fait lurette que le gars en terminal est passé dessus. C'était pas loin d'être au milieu de sa vie : au collège.
Vie qui a commencée, quand on a 17 ans, peu ou prou au même moment que les envolées lyriques et poétiques de notre cher président N. Sarkozy avec ses rimes riches en "aire" et en "ale" : comme dans Karcher et identité nationale. Du coup, notre ami west-wesh, ça fait à peu près toute sa vie qu'il entend les politiques lui cracher à la gueule, et les médias de droite et d'extrême-droite lui indiquer la direction de nos frontières.
Tout cela me donne l'impression qu'il reste des sujets tabous à gauche. Comme il y a quelques décennies : l'armée c'était un truc de beaufs et de sénateurs ventripotents. La gauche est coupable. Régulièrement. De détournements de regards des sujets qui n'ont pas la noblesse suffisante pour prétendre à retenir son sérénissime intellect.
Le régionalisme ? Ça n'existe pas pour le journaliste parisien. Au mieux, il évite de dire "province" quand ça ne lui échappe pas. Mais sans comprendre pourquoi ses interlocuteurs le reprennent. Ça n'existe pas. Cachons-nous les yeux, et 20 ans plus tard, les nationalistes sont au pouvoir en Corse, débordés et dépassés par les ultra-nationalistes de la rue.
Armée, police, régions : autant de sujets abandonnés allègrement à la droite et à l'extrême-droite. Avec les résultats que nous connaissons aujourd'hui : nous avons la police que nous méritons, celle que nous avons choisi. Et il se passe la même chose avec l'Islam : tout va très bien, tout ne peut qu'aller très bien enfin voyons, regardez donc ailleurs.
Y'a pas de débat sur la politique d'intégration et de double nationalité. C'est pourtant un sujet à part entière et passionnant. Il pourrait être abordé de manière humaniste par nos politiques, et nos intellectuels, mais non : le sujet est abandonné à la droite et aux racistes. Pourtant la voie a été ouverte par des auteurs magistraux, comme Amin Mahlouf par exemple. Dommage.
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Dacoda
Je vous trouve gentil avec M. Snegaroff. François Begaudeau l'avait pourtant prévenu du rôle des médias et des journalistes dans cette campagne lors d'un fameux C politique.
Sans vouloir être méchant, c'est probablement quelqu'un de très bien, mais en tant que journaliste je le trouve fade, j'ai l'impression qu'il pourrait y en avoir des demi-douzaine à la pèle comme lui.
En fait, il épouse merveilleusement le système et en la matière le service public, qui ne résiste plus depuis quelques temps déjà, lui offre une place de premier choix.
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Ervé
Lorsqu'un enseignant sur deux admet s'autocensurer pour des questions religieuses, et que DS ironise d'un brrr !, il nie bêtement les problèmes auxquels ces profs sont directement confrontés. Eux sont exposés aux menaces, à la violence, et ont souvent de bonnes raisons de dire "brrr". Mais leurs inquiétudes, le sentiment d'insécurité qu'éprouvent certains d'entre eux, sont tellement éloignés du confort du cocon dans lequel évolue un chroniqueur...
Quant à Mélenchon auquel on présente le sondage selon lequel 78% des lycéens musulmans sont opposés au droit de critiquer une religion, un symbole, un dogme religieux, il tente comme à son habitude d'éluder le problème.
En effet, ces lycéens ne représentent pas "les musulmans", mais appartiennent à une génération de jeunes censeurs pour lesquels toute critique, toute caricature de l'islam et de son "prophète" sont injurieuses.
78 % est d'ailleurs un pourcentage énorme. L'école laïque ne pourra s'accommoder longtemps de ces entraves intégristes et d'une hiérarchie dont le mot d'ordre est "pas de vagues".
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poisson
Suis-je la seule à ne pas comprendre "paniques morales"? Quelqu'un m'explique?
(Pas Simon, je ne lis pas Simon! Il faut limiter son nombre de messages par jours, euh non par heure, ouh ouh la modération?)
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DéLecteurdeVraiThé
Et l'enseignement de l'histoire de la Sécurité Sociale dont Gilles Raveaud en déplorer l'absence...
Ah France 2 on tente de se placer au cas où la fille du père de la fille à Le Pen bousculerait les sondages, et qui sait l'autre raciste, xénophobe et antisémite zob le honteux, tête toujours baissée (d'ailleurs ce matin la nièce de la fille du père de la fille à Le Pen était sur France Inter en invité, dans la famille facho y a le choix)
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Ajax
Ces questions n'arrivent pas par hasard, tout de même, s'agissant des positions de Mélenchon depuis quelques années.
Et le candidat (sans surprise) clamera au racisme pour flatter sa clientèle victimaire sans une seule fois prononcer le mot de laïcité.De la part d'un candidat prétendument républicain, d'un ancien prof du public et de quelqu'un qui vient de la gauche, on a le droit de trouver que ça pique un peu.
30 ans au PS, quand même..