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Winston Zweig
Allez ça y est c'est dit, arrêts sur image n'est plus libre !!! Daniel croit en un caudillo ! Mais quelle belle gauche ahahah ....
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Pates Fraiches
pas compris en quoi le 70 milliards de dividendes méritait d’être cité et même fléché.
Cela ne correspond qu’à une rentabilité de 3% (mieux que le livret A mais pas du tout les mêmes risques).
Bien sûr, quand on y connaît rien, 70 milliards, ça fait beaucoup mais en fait, c’est beaucoup moins que 1000 milliards.
Un style un peu facile, finalement.
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Ervé
Pécresse au Zénith ! Non, pas à son apogée, mais dans la salle où elle a sévi.
De l'avis général, une prestation calamiteuse.
Le charisme d'un bulot, une élocution catastrophique.
Selon un twitto, une cellule psychologique aurait été mise en place à la sortie de la salle, pour les spectateurs en état de choc.
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Ervé
Et pendant ce temps-là, Jeremy Corbyn, "l'insoumis" d'Outre-Manche, participe à un webinaire (conférence en ligne) organisé par une officine affiliée aux Frères Musulmans.
Mais bien entendu, les accusations d'antisémitisme dont il fut l'objet et qui précipitèrent sa démission de la tête du parti travailliste étaient infondées (relire les articles complaisants d'@si sur le sujet).
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GPMarcel
Accepter un prix de cette assemblée te déshonore pour des siècles et des siècles.
Mais certains aiment ça!
Siné en rigole encore.
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Ervé
Richard Malka vient d'obtenir le prix des députés et du livre politique pour "Le droit d'emmerder Dieu."
Une excellente nouvelle pour tous ceux, nombreux sur ce site, pour qui le terme "liberté" n'est pas galvaudé.
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Bartabac
Emission d'une assez bonne tenue .Z'ont compris quelque chose les apprentis journalistes ou bien? Moi ça me fait étrange de voir des journalistes qui n'aboient pas comme des roquets devant un molosse qui leur explique la vie . Je m'inquiéterais presque pour eux .Merde si on ne peut plus perdre de temps à détester ces sacs a fiente on va peut etre pouvoir s'intéresser aux bourgeois et leur captation de richesse indue . Non, vraiment , je suis sous le choc !
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GPMarcel
Commentaires de libre expression (rires) : Darmarin, Lallement, Valls, Val, Fourest, Luc Ferry, BHL...même combat en véhicules anti-émeutes!
La délicatesse vous est livrée en bleu-bitume.
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Ervé
Convois de la Liberté (rires) : Philippot, Bardella, Mélenchon, même combat !
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Bartabac
Il m'a deja étonné Roux de Bézieu chez Thinkerwiew .Y'a pas photo avec les autres candidats , le meme exercice ils se vautreront .Parce qu'aucun , n'a de programme , c'est tout bête .Ils sont juste là pour la gamelle donnée a la becquée par Ursula , et au passage taper dans les milliards , nos milliards ! Faut dire que ce doit etre tentant! Mais c'est pas bien!
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Bicou
Bonjour Daniel, j apprécie beaucoup vos chroniques habituellement mais là j ai été très déçue: Mélanchon est pour moi une partie du problème de la gauche, je trouve son personnage despotique et detestable, et je trouve ça insultant que vous considériez que je suis aveugle de ne pas reconnaitre qu il a la stature d un chef d État. Il a la stature d un Sarkozy sanguin.
Je me suis permise cette critique mais s il vous plait continuez d écrire votre chronique, j en zi besoin chaque matin!
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Valentin Fluteau
"Connaissance des dossiers, autorité, programme abouti, et bonus humour : il faut être sacrément aveugle pour ne pas voir que Jean-Luc Mélenchon, plus que tout autre à gauche, a la stature d'un chef d'État, maniant le "je" jupitérien (j'embauche, je taxe, je commande…) au sens le plus traditionnel de cette Ve République qu'il veut mettre à bas. C'est d'ailleurs un intéressant paradoxe de la situation."
C'est le paradoxe de n'importe quel candidat de gauche à l'élection présidentielle. Au point que l'abandon du projet de Sixième République par le PS de Lionel Jospin a conduit aux dérives les plus jupitériennes de la Cinquième, par l'adoption du quinquennat et l'inversion du calendrier électoral.
Ce qui donne de la crédibilité à la résolution de ce paradoxe par la candidature de Jean-Luc Mélenchon, c'est bien que la pierre angulaire du programme, c'est la Sixième République, immédiatement matérialisée par l'élection d'une Assemblée constituante. Très franchement, si Mélenchon ne la convoque pas dans les 6 mois qui suivent son élection, il aura mérité un mouvement type Gilets jaunes x10.
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Traroth
Franchement, le président du Medef qui dit à Mélenchon "vous êtes prêt à gouverner", ça sent le baiser qui tue.
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puisqu'on vous dit qu'on est en démocratie
On prend les paris que Macron ne sera pas réélu? Il commet tellement de bourdes que je ne suis même plus convaincu qu'il passe le 1er tour
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JeNeSauraisVoir
J’ai suivi cet échange entre le candidat et le représentant du patronat. Il y a une première incongruité qui aurait pu être relevée par Jean-Luc Mélenchon : ce que disait Geoffroy Roux de Bézieux faisait de lui un représentant non pas du patronat mais plutôt de l’actionnariat !
J’ai bien compris que le système des stock-options est parvenu à aligner les intérêts de ces deux catégories mais il est toujours bon d'interpeller le grand public et le patronat en interrogeant ce dernier sur sa vassalisation par l’actionnariat. Peut-être l’âme du patronat est-elle encore tapis quelque part, timide mais prête à s’ériger en protecteur de l’entreprise dont les intérêts ne se confondent pas en tous points avec ceux des actionnaires ?
Une autre question reste non résolue : comment Jean-Luc Mélenchon prévoit-il de déjouer les pièges qui avaient contraint la gauche à prendre le virage de la rigueur après 1982 ? Quand Geoffroy Roux de Bézieux fait mine de tempérer en disant que ce ne sera certes pas le chaos, il faut être d’une crédulité hors de proportion (ou être de gauche – est-ce tautologique?) pour envisager une seule seconde que le patronat et la finance se contenteront de poser le crayon.
Et la relance par la demande, la planification ainsi que l’annulation des effacements de charges obtenues par les entreprises depuis les trente dernières années ne seront pas de nature à stopper la machine à concentrer la richesse. A ces retouches plus ou moins substantielles il conviendrait mieux de préférer le chemin que nous montre Geoffroy Roux de Bézieux quand il interprète sa partition de du patronat vassal de l’actionnariat.
Je veux dire par là que la gauche n’aura pas entrepris la fabrication d’une nouvelle société capable de juguler l’effondrement en cours tant qu’elle n’aura pas obtenu l’abolition du privilège actionnarial. On est un peu étonné que Jean-Luc Mélenchon qui dit être entré en politique en passant par l’histoire de la grande révolution ne voit pas ce prolongement naturel et incontournable de l’abolition du privilège féodal !
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JPP
Les patrons gèrent leurs entreprises avec un crayon ?
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Prométhée
J'ai l'impression que le "patron des patrons" s'est fait prendre à son propre piège. Plutôt affable, sans la moindre pointe d'arrogance, de suffisance ou de mépris qui ont tant caractérisé ses prédécesseur·es tels que Parisot ou (pour les plus anciens d'entre nous) le baron Seillière, il a certainement tenté de jouer la carte de la coolitude face au vieux grincheux Mélenchon. Il cherchait évidemment par contraste à ringardiser le candidat rouge.
Mal lui en a pris, car le dispositif s'est inversé. Et c'est Mélenchon qui est apparu détendu, calme, poli et posé. Marrant même ! Si bien que sur la forme, rien n'a dépassé, ni d'un côté, ni de l'autre.
Oui mais ce n'est pas tout. Si Roux de Bézieux n'a donc pu briller sur la forme comme il l'espérait, il ne l'a pas plus remporté sur le fond, comme le souligne très justement Daniel dans son billet. Et pour cause, il ne s'attendait pas à devoir le faire et n'était donc visiblement pas préparé !
Il n'a jamais eu le temps de développer les sempiternels éléments de langage (dette, déficit public, compétitivité, chantage à la délocalisation et à l'évasion fiscale, etc.). Si bien que le tribun a pu dérouler tranquillement toutes ses réponses sans un mot plus haut que l'autre, ce qui est remarquablement rare, surtout face à un représentant chimiquement pur de la haute caste qui détient réellement le pouvoir.
Étrange échange au final, qui se termine sur un ton potache. Si j'étais un grand patron ou un héritier multi-millionnaire, j'aurais immédiatement saisi les instances idoines pour faire virer ce Roux de Bézieux inconséquent et incapable de démolir un candidat dangereusement de gauche dans des conditions et une ambiance pourtant parfaites pour le faire...
En tout cas, cimer Geoffroy ! Reviens quand tu veux, gros ! ;-)
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scarabée
"JLM a la stature d'un chef d'Etat parce qu'il sait manier le "je" jupitérien"... Mais qu'est-ce que c'est que cet argument ??? Que signifie "manier le "je" jupitérien" ??? D'après l'exemple donné, ce serait faire des déclarations volontaristes ("je vais agir", "je vais sauver la France", "je vais faire de mon pays une start-up nation"...) ??? Dans ce cas Sarkozy, Macron et Zemmour ont tous les trois une stature de chef d'Etat...
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