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Cultive ton jardin
Si obligation est faite à l'artiste de mutiler son oeuvre, je suggère qu'il remplace le mot interdit par un rectangle voyant. Blanc... ou noir... peu importe.
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sweetyworld
Continuité dans l'impunité, qu'on peut voir à force comme un soutien, et bise à Balkany tout dansant, aussi en interview chez Praud l'entendre parler d'une justice laxiste, qui déroule sa victimisation, puis trouve les coupables... Ce type devrait être en taule, ainsi que sa femme, et...non, nous ne sommes pas du même monde apparemment...
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nobody
"Depuis l'affaire Dreyfus, parfois invisible, parfois triomphante, l'extrême droite fascisante n'a jamais disparu de la société française..." (Le Bal de Vienne- roman)
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pierre mas
Le chaînon manquant, ce sont les récentes révélations médiatiques sur le racisme policier, ce "bicot" surgi de la guerre d'Algérie, ces "youpins" venus des Années 30.
Et dire que le buzz médiatique a un temps été capté par le seul des 40 000 manifestant antiraciste qui aurait crié "sales juifs".
Je crois que ça n'a pas pris, encore moi que pour les gilets jaunes. Il aurait peut être falu qu'Alain Finkielkraut se mêle aux manifestants pour que ça marche.
C'est ça le comble! Le mouvement antiraciste lié au comité Adama est accusé de séparatisme, d'indigénisme et de communautarisme sur aucune base sérieuse: aucune déclaration, aucun écrit, rien.
Dans le même temps des dizaines de messages séparatistes, antisémites, racistes, homophobes et sexistes tenus par des policiers ont été rendus public. Et la Zemmourosphère chante les louanges de Pétain et de Vichy dans l'indifférence quasi générale.
La dissonnance cognitive de l'ordre établi a atteint son paroxysme il affuble ses ennemis de ses propres maux.Le macronisme est un préfascisme, la bourgeoisie semble tout a fait disposée à conserver ses privilèges en s'alliant avec l'extrême droite...
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EdC
Invoquer l'approche contestée de Sternell pour éclairer la situation de la police en 2020 est forcément très hasardeux. Si l'on doit faire un parallèle entre l'entre-deux-guerres et le XXIe siècle, il faut considérer l'anticommunisme de la police de l'entre-deux-guerres qui a continué de s'épanouir naturellement pendant la drôle de guerre (arrestation de communistes) et pendant l'Occupation (arrestations et livraisons aux Allemands sans états d'âme) et l'anticapuchisme de la police au XXIe siècle. Pourquoi la police de l'Entre-deux-guerres était-elle anticommuniste ? Parce qu'elle était régulièrement missionnée pour réprimer des communistes, souvent à la frontière de la légalité (notamment le travail antimilitariste des années 1920), souvent des jeunes mecs qui considéraient la police comme leur ennemi naturel. pourquoi la police du XXIe siècle est-elle anticapuchiste ? Pour des raisons analogues.
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Tichonchon
Sous tous les ciels du monde, on a les mêmes relents. Ne pas pouvoir "digérer" ceux qui nous ont mis face à nos limites et à nos rêves de toute puissance éternelle et.... puérile.. Ce qui ne manque pas d'attirer ceux qui veulent en triompher encore , histoire de prolonger l'essai !.(compulsion de répétition inconsciente) Qu'est ce que cela va donner quand les robots, avec leur Intelligence "Artificielle", vont se mesurer à nous et se montrer plus forts que l'espèce humaine ???
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Jean-François Armengaud
Dans le même esprit de symétrie, en tant que prof, j'exige que les Pink Flyod changent leurs paroles !
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Nielda
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Asinaute sans pseudo 63078
il faudrait commencer à parler aussi du fascisme/racisme d'Etat au lieu de toujours vouloir faire porter les vilenies au peuple alors qu'on sait très bien qu'il arrive en fin de course juste pour porter le fardeau! Analyser comment tout cela- à défaut de l'argent qui, lui, ne ruisselle jamais!- nous dégringole depuis le haut sur la. tête, à nous qui n'en pouvons mais! Avec toute l'idéologie rance, perverse, l'exploitation de toutes les divisions identitaires, et les manipulations de masse, l'instrumentalisation des communautarismes identitaires, ethniques, religieux. Et Comment c'est encore bizarrement le cas, hélas, aujourd'hui, soit dit en passant, avec l'affaire Floyd! Cette chienlit si bien orchestrée par les démocrates semble t-il depuis les états unis, à un niveau mondial comme la pandémie, peut malgré tout laisser rêveur. Je ne sait pas ce que vous en pensez? Etre indigné par le crime raciste ne doit pas nous faire déconnecter tous les neurones. Cela n'enlève rien au bienfondé du réveil contre le racisme. Même s'il est tardif! Mais juste restons en éveil sur l'exploitation qui en est faite. Franchement vous ne trouvez rien de bizarre dans ce réveil mondial anti raciste? Comme le dit Pasolini ( et il en est sans doute mort! ") la BOURGEOISIE EST PRÊTE À TUER SES FILS. Et la pseudo démocratie qui l'accompagne aussi?. Je ne pense pas que mettre Michelle OBAMA sur le trône serait la solution au racisme et encore moi à la manipulation des masses. Qu'en pensez vous?
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Thomas
Bonjour et merci beaucoup pour cette chronique.
Défendre l'idée du "continu" est très exigeant, car il oblige précisément à ne pas céder à la facilité de tout mélanger, tout mettre sur le même plan. Tant d'épisodes dans notre histoire, qui sont autant de prétexte à y rattacher les bribes du présent. On voit l'usage opportuniste qui peut-être fait de cela, et qui l'est souvent.
Néanmoins, comme modeste lecteur et citoyen intéressé par l'histoire, ce qui disait Z. Sternhell me convainc. Et là, parce que vous l'évoquez au passage, je voudrais insister sur un moment, que je pense être une charnière de tout cela, et qui est souvent passée par pertes et profit.
Il s'agit de la guerre d'Algérie.
Je pense qu'on a avec la guerre d'Algérie un éléphant dans le couloir, pour ce qui touche au racisme et aux discriminations en France. Elle est peu enseignée, et souvent comme un événement ponctuel, classé.
Or, La guerre d'Algérie est la courroie de transition, qui a reconfiguré la figure raciste en la faisant basculer de l'antisémitisme (qui est loin d'en être mort, malheureusement) vers la haine de l'Arabe. Quand j'étais enfant dans les années 80, on parlait de racisme anti-Arabes, mais c'était par la force des choses la prolongation de la rancoeur envers les Algériens, et maintenant on voit cette fixation sur l'Islam, mais ce sont toujours les mêmes qui émargent à cette détestation continue, et les mêmes qui en sont la cible (même si évidemment on peut être arabe sans être musulman, et vice versa). Je suis athée, mécréant, méfiant devant les revendications confessionnelles, celles qui viennent de l'Islam pas moins que les autres, néanmoins je vois bien souvent que la laïcité qu'on oppose aux musulmans est un faux nez pour leur rappeler, sans cesse, qu'ils ne sont pas "des nôtres", et que derrière eux, c'est bien les Arabes qui nous dérangent.
La guerre d'Algérie n'est pas une éruption soudaine, c'est la fin d'une séquence coloniale qui a commencé au XiXème siècle, qui s'est construite par des agressions militaires qui gazaient (pardon : enfumaient) les civils pour progresser. C'est une matrice des atrocités du XXème siècle.
La guerre de l'Algérie c'est, dans ses prémices, des massacres de milliers de civils (Sétif, Guelma, Kherrata) par des forces françaises le même jour de la capitulation Nazie; le 8 mai 1945.
La guerre d'Algérie, c'est la bataille d'Alger, matrice de la guerre révolutionnaire, enseignée comme référence dans les écoles de guerre aux Etats Unis, inspiratrice des escadrons de la mort dans les gouvernement fascistes de l'Amérique Latine des années 1960-80. C'est la torture comme produit d'exportation du génie français. C'est aussi la militarisation de la police, donc le brouillage des rôles et de la mission de cette dernière. Les stratégies de nasses, de confrontation, de punition par la police ne viennent pas de nulle part.
La guerre d'Algérie, c'est la guerre que la France n'a pas pu gagner, contre une armée de guerilla sous équipée. Descendant de Pieds-noirs (c'est la minute perso), je sais la haine que cette communauté a largement gardé (il y a des nobles exceptions), issue certes de l'exil, mais aussi de l'humiliation militaire face à ce peuple qu'elle imaginait dominer pour des siècles, lui offrant au mieux son affection paternaliste comme monnaie d'échange, au pire et souvent son insondable mépris.
La Guerre d'Algérie, c'est l'OAS qui reprend le flambeau de la gangrène vichyste, recycle ses idéologues, pourrit le gaullisme de l'intérieur. Cette ambiguîté à été l'histoire quotidienne de la droite française depuis, notamment dans ses contorsions vis a vis du Front National. Front national qui est un rejeton direct de l'OAS.
La guerre d'Algérie c'est octobre 1961, un crime contre l'humanité en plein Paris contre les Arabes, la Seine transformée en cercueil par la police française, sous les ordres d'un préfet collabo, Maurice Papon. Et qui trouve ses échos écoeurants quand, au petit matin blême, un policier se vante en 2020 d'avoir sauvé un Arabe qui ne savait pas nager. La guerre d'Algérie, oui, c'est le mot "bicot" qui est encore là, dans la bouche des policiers
La Guerre d'Algérie, c'est la déflagration qui produit la Cinquième République par un coup d'Etat (pour les plus jeunes : opération Résurrection), Cinquième République dont on se rengorge de la stabilité et de l'équilibre, et qui pourtant est un instrument dans la main du pouvoir exécutif. C'est un régime que nos représentants politiques ont appris à adorer sur les bancs de Science-Po parce qu'ils rêvent des pouvoirs qu'il confère aux vainqueurs, sans comprendre qu'il est comme de la porcelaine, stable en apparence, mais gagné par les fissures fatales.
Quand j'ai vu ces enfants mis à genoux l'an dernier à Mantes la Jolie par la police pour un feu de poubelle, j'ai immédiatement pensé à ces images de la "pacification" en Algérie, je sais que c'est subjectif mais cela m'est monté à la gorge. Et quand j'ai entendu les autorités de police le justifier par une soit disant méthode, ou protocole, ces images se sont encore plus imposées.
Je crois que la guerre d'Algérie est notre monolithe noir, incroyablement présente, incroyablement difficile à comprendre. La difficulté à l'enseigner, à en faire simplement mémoire, est aussi un fossé qui se creuse entre différents Français de différentes origines. Songe-t-on à la fierté retrouvée si la guerre d'Algérie était plus intégrée à notre histoire, aux programme scolaire où, je crois elle est survolée ? Ne voit-on pas l'utilité qu'il y aurait à la présenter dans toutes ces dimensions, par exemple pour que les petits Français descendants d'Algériens se sentent plus à l'aise, moins suspectés d'être congénitalement les descendants de nos ennemis ? pour que notre regard sur "les Arabes", "les Musulmans", "l'Islam", ne soit au moins pas dupe de tout ce ressentiment, et de tout ce que la France (son Etat, sa police) a, aussi, fait d'immonde à leur endroit ? (= Que serait une histoire de l'Occupation qui ne parlerait que des Résistants?)
La guerre d'Algérie ce n'est pas seulement cela, ces permanences souterraines, c'est aussi une guerre classique et des choses qu'il faut savoir classer, mais c'est aussi cela. C'est aussi ces blessures. Et nous le les regardons pas assez en face, nous ne mesurons pas assez la douleur sourde qu'elles propagent, je trouve.
J'imagine que beaucoup d'@sinautes connaissent tout ça, pardon si je donne le sentiment un peu ridicule d'enfoncer des portes ouvertes. Mais je me dis qu'il y a peut-être des jeunes lecteurs qui ont tout ça a découvrir.
Je crois que la continuité de S. Schneidermann a évoqué ce matin ne serait rien sans la guerre d'Algérie.
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sanslesdents
Durant ces mois de confinement j'ai lu :"Les Origines du totalitarisme " de Hannah Arendt, en prenant des notes chaque fois que je trouvais dans ses bouquins ( 1- l'antisémitisme -affaire Dreyfus; 2- l'impérialisme - 1 ères graines du totalitarisme; 3- le totalitarisme- comparaison: Hitler/Staline) une similitude avec ce que nous vivons aujourd'hui en France : ce n'est pas un double décimètre qu'il me faut pour faire rejoindre les points, mais un décamètre. Et donc je pense que la chronique de Daniel tape juste.
Autre chose: faut-il considérer la fresque de Stains comme les statues de l'émission de vendredi: lire donc : Adama et George vous regardent réagir : eux sont entrés dans l'histoire...vous qu'allez vous faire ? Inutile d'écrire la phrase: " contre....violence policière", ça nous le savons, même quand on le déni! Par contre: Ils nous regardent, c'est sûr!
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baldijanou
La parole dominante parle tellement , pour le fascisme, de "devoir de mémoire" . J'ai toujours été convaincu qu'il fallait y substituer "travail de mémoire" . Une preuve par Sternhell, qui convoque l'histoire, et non la morale ( fut-elle "républicaine") … La généalogie du fascisme , voilà un terrain de chercheurs …
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IT
Les mécanismes de désignation et de stigmatisation d'un ennemi intérieur, décrété non-miscible et maintenu comme tel, sont les mêmes. "Black" lives half-matter. Les violences contre une certaine catégorie de la population sont normalisées comme regrettables, allant de soi, et relativement bénignes par rapport à celles qui s'exerceraient contre une population-cible moins légitime. Il y a les vrais gens, et les pas vrais gens, contre lesquels les violences étatiques "exagèrent un peu", mais suscitent grosso modo la même indignation détachée, indirectement concernées, que les violences animales.
Vous prenez cela, vous le cloquez sur des pays différents à des époques différentes et des ciblages différents, rien ne dépasse. Les nazis, les vichystes, n'étaient pas ceux qui écumaient en exigeant l'extermination des juifs. C'était ceux qui trouvaient les violences et ségrégations de la vie quotidienne un peu injustes mais un peu compréhensible. Les gens n'exigent pas la noyade des exilés dans la Méditerranée, seulement le non-débarquement de leur altérité, un peu différemment de ce qu'ils exigeraient pour "les leurs". Les gens n'applaudissent pas vraiment les assassinats de minorités par la police, mais c'est ce qui se passe avec "ces gens-là", et c'est normal que ça se passe plutôt avec "ces gens-là".
L'espèce humaine est scindée et hiérarchisée en sous-espèces, qui déterminent les degrés d'empathie et de responsabilité. C'est cet invariant que les dictatures homicides des années 30 ont su le mieux exploiter. Qu'elles ont poussé au bout de leurs logiques intrinsèques, au-delà de leurs pudeurs gênées usuelles. Mais aujourd'hui, on dénonce les réfugiés sans-papiers comme on dénonçait les juifs, pour les retirer de "notre" circulation sans se demander ce qu'il advient d'eux par la suite. La scission reste la même. Les populations "autres", "tolérées" en "notre" sein restent celles à surveiller, mâter, et limiter, en vertu de leurs caractéristiques propres.
Au fond de cela, les mêmes critères de pureté ethniques, les mêmes perceptions de "remplacement" par de "l'autre". Les mêmes discours, les mêmes valeurs, les mêmes rhétoriques. L'identité collective, ses archétypes, ses contre-exemples. Ce qui ne correspond pas à l'image prototypique du "nous" ne sera jamais véritablement à sa place, et devra se faire rappeler la sienne. Mais cette périphérie à désigner périphérie pour consolider l'image du centre existera toujours, la judéité démontrant que, sans marqueur de peau à stigmatiser, on en trouvera toujours à coudre.
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Pierre DEGOUL
Admettons que le terme de violences policières soient désobligeant, voire injurieux.
D'ou un Préfet se fait juge du caractère éventuellement injurieux d'un écrit ? Du Macronistan ?
D'autant que l'on parle d'une oeuvre à laquelle on adhère ou pas mais quid de la liberté de l'artiste qui devrait être totale ?
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Ohlala!
Nul besoin de compas ou d'équerre : les français aiment depuis toujours les dirigeants mâles, autoritaires ce qui les dispensent d' assumer les vraies difficultés que les libertés individuelles engendrent. Ils ont besoin de se sentir protégés et les dérapages policiers ne sont que des faits divers comme d'autres ; d'autant, si leurs victimes ne présentent pas les caractères physiques traditionnellement attribués aux français (blancs, chrétien).
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un_et_un_font_trois
Mais pourquoi donc le fait que les morts de violences policières sont quasi exclusivement des hommes n'est-il pas souligné ?
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Hallucined Imposteur
"Les parallèles se rejoignent à l'infini" Jacobus Vander Einstein (ou presque)
Ce fond fasciste, raciste et antisémite est bien ancré dans le pays de Voltaire (anachronisme conscient).
Les montées et descentes des courbes, tonitruantes ou discrètes, sont visibles au fil du temps.
Aujourd'hui, la parole des fâcheux facho s'est totalement libérée.
Libérée au bénéfice du Système qui nous régit uniquement.
Et demain, les chiens ou les loups ?
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Le Radoteur
Ce qui est navrant, suite aux "j'étouffe" de Cédric Chouviat, est que sur les quatre policiers aucun n'ait jugé qu'il était temps de relâcher l'étreinte.
Mais comme dit l'avocat de deux des policiers ils n'ont pas entendu les paroles de Cédric Chouviat alors qu'ils étaient plutôt près.
Je propose à la police de ne plus employer de sourds pour des tâches. d'interpellation.
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Thin Max
"ce "bicot" surgi de la guerre d'Algérie, ces "youpins" venus des Années 30"
Daniel, je sais que vous êtes régulièrement surpris/ému de l'emploi de ces termes, et c'est parfaitement compréhensible étant donné leur caractère nauséabond.
Cependant, ces termes, cela fait des années que je les entend dans la bouche des petits racelards qui n'ont jamais nécessairement pris la dimension des termes qu'ils emploient. Pour eux, c'est simplement un moyen de rabaisser, ils ont entendu ces termes dans la bouche de leurs parents, de leurs grand-parents, de leurs cousins. De la même manière que j'ai grandi avec des parents qui parlaient de "bougnoules" pour désigner ceux qu'ils considéraient comme des parasites.
J'ai refusé cet héritage en bloc. Mais force est de constater que le racisme est un virus, qui se répand avec des formes asymptomatiques, auprès de personnes que l'on tient en bonne estime et qui un jour, sans crier gare vont parler de "ces gens là", là où la famille traditionnelle française parle depuis des années de l'immigration comme d'un problème majeur d'une France qui accueille plus que raison.
L'inculture crasse et le déni de réflexion, c'est ce qui est à la base de cette haine qui grandit sournoisement.