Titin 4 septembre 2014 à 00:18
Ce n'est pas la première fois qu'on explore les salles de bain

Youri Llygotme 3 septembre 2014 à 18:16
J'ai beaucoup de sympathie pour Valérie Trierweiler. En effet nous avons, elle et moi, quelquechose de commun.
Tous les deux on s'est fait baiser par François Hollande.

Athanase Broutechoux 3 septembre 2014 à 17:12
J'avoue ne pas avoir tout compris... De combien de salles de bain disposait l'ex-couple Hollande/Trierwieller ? et (l'ex ?) couple Gaillet/Hollande (que ce soit à l'Elysée, dans leur(s) demeure(s) personnelle(s) ? Pour me limiter à ces cas-là.
Lesquelles photos ne présentent absolument aucun intérêt.
En outre, M. Hollande (compte tenu du nombre de SdB affichées) aurait-il d'autres amoureu(se)x inconnu(e)s ?

Par ailleurs, je n'ai remarqué qu'un bidet sur l'ensemble des photos.

Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 3 septembre 2014 à 14:46

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Pierre38330 3 septembre 2014 à 13:18
Nous vivons une époque formidable.

Hervé Masson 3 septembre 2014 à 12:58
Pffff. Vivement la matinale de Mermet, qu'on sorte de cette espece de patée infame et qu'on puisse faire fonctionner quelques neurones.

Al Ceste 3 septembre 2014 à 12:34
Petite info au passage : retour de Pierre Marcelle vendredi. Mais :

- Pas sûr que sa chronique passe la censure.

- Presque sûr que ce retour soit de courte durée.

claude315 3 septembre 2014 à 11:22
Daniel, ce n'est pas parceque vos confrères remuent les matières fécales de la présidence ,qu'il vous faut sentir obliger de nous en servir les émanations.

philv76 3 septembre 2014 à 11:18
Déception: ça n'est pas d'un goût très sûr, en tout cas....

Florence Arié 3 septembre 2014 à 10:48
OK vous parlez de ce dont parlent les journaux, médias, etc.
Mais quand-même, un petit mot, pas forcément un hommage, mais un petit quelque chose sur votre confrère décapité hier? Non?

Oblivion 3 septembre 2014 à 09:56
De mémoire, comment le clamait le philosophe (dont j’ai oublié le nom) :

«Ô ! comme ce lavabo est beau ! Hé ! comme ce bidet est laid !».

emilie bouyer 3 septembre 2014 à 09:41
200000 exemplaires!...De quoi faire plaisir à tous ceux qui ne lisent que ce genre de livres. Et ça marchera. Nous vivons une époque moderne.
Toutes les femmes violemment larguées essuieront une larme et on retrouvera le bouquin aux étalages des brocantes du dimanche.

charlie.lapared 3 septembre 2014 à 09:39
Mpfff, ces gens de cabinets n'ont vraiment aucune décence.

Yanne 3 septembre 2014 à 09:38
Certes, il vaut mieux s'assurer de la propreté des sanitaires de l'Elysée à travers le livre d'une femme bafouée, que de réfléchir à une politique globale, ce qui nous emmènerait loin, trop loin...

Il vaut mieux se préoccuper de savoir si une partie des 6 millions de chômeurs a renoncé ou n'a jamais voulu trouver un emploi.
S'il y a une inédéquation flagrante entre le nombre d'employeurs, administration de l'éducation nationale comprise qui cherchent désespérément des employés à employer dans des boulots, et le nombre de chômeurs, sans parler de gens inemployables car pas employés depuis longtemps, parce qu'ils ont perdu le fil de tout, alors il y a peut-être quelque chose à faire.
Mais ce n'est pas par ça qu'il faut commencer.
Remettons tout sur la table. Toute situation complexe peut être réduite et chaque problème résolu pas à pas.

Mais il faut oser les metre sur la table, avant de faire le grand nettoyage, dans une salle de bains digne de ce nom.

Pure utopie, le nez sur le sondage, les préjugés chevillés au corps qui gènent toute vsion objective, avec le discours de la droite comme point de mire, qui va oser envisager le grand lavage de nos institutions qui feront un monde plus juste et plus apte à avancer ?
Personne à l'horizon.

Malagom 3 septembre 2014 à 09:33
Toujours se méfier des adorateurs du bidet !!!

claude 3 septembre 2014 à 09:32
Que dire de cette présidence ! Plus grand chose...

Al Ceste 3 septembre 2014 à 09:31
En même temps (le temps des voyeurs), la salle de bain, c'est elle qui en parle la première.

Tout ce monde-là (lui, sa cour, elle, Match, etc) ne vaut pas cher.

Comme disait mon défunt père : j'en prendrais pas un pour taper sur l'autre.

M.Pat 3 septembre 2014 à 09:29
Il parait que Claude Serillon débarquait sans prévenir dans la salle de bain présidentielle. Je suis choqué.