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Fandasi pour clavier
Daniel ,vous être notre revel a tort. Merci -
Lulu70
Le Petit Robert met un accent, lui. Le cher Alain Rey se serait-il planté ? -
Lisuzan
Meuh non, Daniel S. conjugue avec charme, pertinence et impertinence – si, si :-)
Irrésistible illustration :-) -
poisson
Comment peut-on supposer que Daniel Schneidermann a choisi cette photo pour déservir l'image de Nicolas Sarkozy et Jean-François Copé, alors que tous les deux y affichent exactement le même sourire que Daniel Schneidermann juste au dessus?
Pour moi, sauf à le mettre de dos?, n'importe quelle photo de NS me fait le même effet. Je suppose que c'est entièrement ma faute, ça vient de moi c'est certain... Mais que faire? -
BP
Les 4 commentaires sous son billet ne sont pas vraiment en la faveur de Revel. Le lien que DS appelait de ses vœux est même mis.
Au delà de la question, compliquée, des ménages de journalistes, il est surtout question de l'honnêteté intellectuelle de Revel, qui considère que déclarer que Rossignol est "membre du fan-club" de Copé, un "Copé's-boy" et encore un "bébé Copé" est équivalent à informer que "cette collaboration au club de Copé avait suscité une violente réaction de Nicolas Sakozy". Impressionnant tout de même dans un métier où le choix et le poids de chaque mot est important.
PS : Toujours un peu aléatoire, ce forum où les messages ne s'accrochent pas forcément là où on s'y attendrait :p -
Ervé
Le choix des clichés accompagnant des articles de journaux ou de sites, est généralement très révélateur du degré d'estime éprouvé par leurs responsables vis à vis des personnes concernées.
Les photos de Sarkozy dans Libé, et bien que ce journal soit très loin d'être un modèle d'impertinence, se rapprochent assez souvent de celle, terrifiante, publiée ici.
Je me souviens également d'une photo de Ségolène Royal sur le blog de Sylvain Attal peu avant les présidentielles, qui en disait long sur les options du journaliste : la bombasse qui déchire le Poitou-Charentes y était présentée en gros plan peu avantageux, les joues rougies comme si elle sortait d'une étuve ou d'une beuverie.
Tiens, je prends les paris : Le jour où DS consacrera un neuf-quinze à François Bayrou en l'illustrant de son portrait, je suis certain que celui dont feu André Labarrère disait "on ne sait jamais, avec lui, s'il a une tête de veau ou de pâtre grec", aura plutôt des airs de Georges Moustaki jeune. -
Vikor1807
Beaucoup de bruit pour rien je trouve... Inventer un mot (!) pour une histoire aussi insignifiante, c'est disproportionné. Et puis Revel a-t-il vraiment tort? Rossignol avait bien animé les soirées en question. Bref, la revélation (sans accent) ne s'est pas révélée (avec) fausse. Tout ce qu'on peut reprocher à Revel, c'est de ne pas donner un droit de réponse au Rossignol.
DS est un petit peu dur. Que faut-il penser de la règle énoncée par Revel? Est-ce courant? Est-ce grave? -
Cerise
C'est marrant, le premier commentaire qui m'est venu concernait cette photo (ils ont franchement l'air de deux crétins satisfaits...) et je me suis dit que ça ne valait pas la peine de martyriser mon clavier pour le relever.. Finalement, je m'aperçois que la majorité des @sinautes a réagi comme moi...
A quoi ça sert que Daniel se décarcasse !
Bonne journée à tous. -
M L HAMOUDA
L'Américain Ted Stangler a tenu a plusieurs reprises des propos encourageants pour la réflexion sur le lien entre "nos" journalistes et "nos" hommes politiques. Je suis désolée de ne pas savoir où trouver l'intégralité de ses propos, je n'ai pu piocher que :
" aux états unis, le journaliste fait sa réputation en dévoilant des scandales, alors qu'en France vos journalistes sont amis avec les hommes politiques"
puis
"Mr Barbier passe sans doute plus de temps sur les plateaux TV que dans son journal". -
J-net
Au-delà de l'attaque perso, je suis frappée par le fatras amalgamé qu'on trouve dans la note de Revel (on va faire exploser son nombre de pages vues, à notre corps défendant !) Il confond "ménages", engagement personnel et déontolgie journalistique:
"il est dans le journalisme une règle d’airain : tout possesseur d’une carte de presse digne de ce nom ne peut collaborer publiquement, de près ou de loin, à un mouvement politique, cercle, cénacle, club ou que sais-je, encore." écrit-il.
Il me semble que faire des ménages -il y en a des compromettants, d'autres moins et tout dépend qui les fait- et être adhérent d'un parti politique ou participer à une manifestation (pour les sans papiers, exemple au hasard), cela n'a rien à voir.
Mais bon, je ne suis pas rédac chef à l'Express... -
Matthieu Pierangelo
Je ne sais pas d'où vient la photo qui accompagne cet article, mais elle pique les yeux aussi bien qu'une giclée de tabasco...