Diogene 27 septembre 2017 à 17:40
Excellent Article, Bravo!!!

Robert· 27 septembre 2017 à 10:58
hier

avant-hier (ou presque*)

*5 juin 2017. Nous avions déjà le président actuel.

Tony A 26 septembre 2017 à 20:23
"des soupçons, pas de preuve"... mais un mobile, un faisceau d'indices... généralement cela suffit pour une condamnation devant un tribunal pénal (je parle pour un pékin, pas pour un banquier).

Le "conspirationnisme" n'a rien à voir là-dedans, mais dur de se défaire des tics de journaliste...

Gato 26 septembre 2017 à 17:04
Aïe. La France se fait clochardiser par les USA.
Et jusque-là, tout va bien...

Jiemo 26 septembre 2017 à 16:47
...et de ThyssenKrupp > Tata , quid ? Comme le dit une pub de banque "le monde bouge" !

DéLecteurdeVraiThé 26 septembre 2017 à 13:18
Que dit Daniel Schneidermann : "C'est reparti pour les hymnes au "champion européen""
et parlant de "champion européen" que dit Le Monde sur sa Une dessus une photo dont j'aurais bien aimé que le professeur Korkos nous rappelle à quels horizons années trente et plus tard Staliniens, elle nous ramène : "Emmanuel Macron présente ses « projets-clés » pour relancer l’Union européenne"

Il y a parfois des indécences journalistiques qui dépassent ce que la vertu ordinaire peut accepter

Youri Llygotme 26 septembre 2017 à 12:47
En cherchant C E C I sur le net

j'ai trouvé C E L A AUSSI et je me suis bien marré.

shigeyuki 26 septembre 2017 à 12:32
"Des soupçons, pas de preuves, et pas d'enquête officielle : ainsi, et pas autrement, naissent les légendes conspirationnistes."

Plutôt que de "légendes" conspirationnistes, je parlerai de manière moins ouvertement idéologique ou moins polémique d'"interprétation critique"
Ce qui fait "le soupçon", c'est toujours l'absence de preuves, de débat véritable et l'ambiance générale au mensonge, à la perversion, à la corruption.

Comme dans toute bonne paranoia, il n'y a pas en général de fumée sans feu...
De toute façon, comme le dit CASTORIADIS, avec le capitalisme, tout conspire et c'est ce qui fait encore sa force aujourd'hui...
Pour combien de temps?

Athanase Broutechoux 26 septembre 2017 à 12:14
Et bien, que ce soit avec les logiciels Safari ou Firefox, la chaîne parlementaire m'a interdit l'accès à cette émission :
"Accès refusé - Vous n'êtes pas autorisé(e) à accéder à cette page."

Il faut dire que sur Safari, j'ai ADBloc. Et sur Firefox UBlock Origin. En est-ce la cause ?
Ce qui serait inadmissible, de toute façon.

Ensuite, cette connerie présentée sur le site de LCP pour vérifier que je ne suis "pas un robot" m'a fait défiler des quantités d'images qui m'ont fait abandonner le courriel que je comptais adresser à la chaîne. Reste le courrier papier. Avec classement vertical à l'arrivée ?

Pour en revenir à l'objet de l'article, il y a certainement un certain nombres de brevets dans l'escarcelle d'Alstom : il ne faudra que quelques années aux étatzuniens pour les rapatrier chez eux. Comme pour l'entreprise française, rachetée par des américains, qui n'a mis que deux ans à récupérer les brevets qu'elle détenait sur les disques de freins (clients : Peugeot et Renault). Et après, ils ont tous été licenciés et l'usine a fermé.

Laura C-A 26 septembre 2017 à 11:23
Bonjour,

A Grenoble c'est un autre volet du rachat qui fait du bruit: lors du rachat par GE en 2015, ce-dernier a aussi mis la main sur le fleuron de l'énergie hydroélectrique, ex-Neyrpic. Aujourd'hui, après avoir fait tant de promesses, GE compte licencier 345 personnes sur les 800 que compte le site. Pourquoi ? Pour détruire la filière, pas assez rentable en comparaison avec le nucléaire, et pourtant cette technologie centenaire permet de fournir une électricité renouvelable, non polluante et non dangereuse. Comment ? En attribuant au site français les défauts de fabrication chinois, ce qui rend le site français déficitaire alors que sur le plan mondial, la filière est rentable.

Dans les médias:
https://www.placegrenet.fr/2017/09/14/general-electric-hydro-elus-demandent-a-letat-de-bloquer-plan-social/152074
https://www.francebleu.fr/infos/economie-social/general-electric-grenoble-l-intersyndicale-pas-satisfaite-de-la-premiere-reunion-avec-la-directionisere-1500671074
http://www.ledauphine.com/politique/2017/09/23/melenchon-a-place-les-ge-grenoblois-en-tete-de-cortege

Lyonnais 26 septembre 2017 à 11:10
Je crois que Dupont-Aignan, Myard et Quatrepoint affirment que la terre est ronde et tourne autour du soleil. Je vais donc mettre en doute cette affirmation et attendre confirmation de J.M. Aphatie, Léa Salamé, Patrick Cohen, Dominique Seux, Thomas Legrand donnent leur propre version...

Youri Llygotme 26 septembre 2017 à 10:48
"Y a-t-il eu concertation entre le Département de la Justice et General Electric ?"

Comment dit on "On va's gêner!" en Etats-unien?

DéLecteurdeVraiThé 26 septembre 2017 à 10:40
écoutant ce matin l'interview de France Inter, j'entends un gars dire de cette fusion Siemens Alsthom qu'elle avait été organisée par la Banque Rothschild et qu'alors Macron y était employé. Celui qui le dit est aussitôt coupé par l'intervieweuse.
Je découvre peu après que celui qui parlait était le fameux Super Dupont-Aignan
mais peu importe qui il fut, il disait quelque chose d'exact, et il fut coupé au moment où il le disait, bien qu'il le redit ensuite profitant d'un instant d'inattention de son interlocutrice qui je l'apprends n'était autre que Léa Salamé.

Je voudrais ajouter une chose : le fameux concurrent Chinois qui en l'espace de quelques années a réussi à nous concurrencer n'est il pas le même à qui on a confié la construction de nos TGV pour obtenir un marché juteux en Chine.

Rien de logique n'interdit la globalisation ni n'interdit à la Justice Américaine de poursuivre des délinquants industriels ou financiers si les règles sont réciproques, si la concurrence se fait sur des principes communs. Il serait temps peut-être de réagir aux abus et de les dénoncer sans qu'il soit pour autant obligé de laisser la parole à des nationalistes.

D'ailleurs Dupont-Aignan disait une chose sensée si j'ai bien compris et si on retire l'aspect nationaliste : un groupement d'entreprises réunissant deux concurrents Européens doit se transformer en Entreprise Européenne et non pas en une entreprise nationale ayant avalé une autre entreprise nationale

Bellatrix 26 septembre 2017 à 10:09
Les mauvais esprits pourraient penser à un troisième adjectif commençant par "C", le mot tabou que l'on ne peut prononcer que lorsqu'on parle de pays qui n'ont pas connu notre beau développement.

Cultive ton jardin 26 septembre 2017 à 10:03
Parce que nos journalistes sont des "fainéants".
Vous leur faites beaucoup d'honneur. Pour ma part, j'hésite plutôt entre couards et complices. Car ils savent, bien sûr, ou ils pourraient savoir. Mais voyez, en relisant l'histoire interminable de Denis Robert, à quelles emmerdes ils s'exposent. J'ajoute un troisième adjectif: prudents. Ou, comme on dit, courageux mais pas téméraires.

Bellatrix 26 septembre 2017 à 09:48
Et pourquoi faudra-t-il attendre des années pour connaître (éventuellement) la vérité sur des opérations de ce type ? Parce que nos journalistes sont des "fainéants".

Alors, puisqu'il faut ramener toutes les discussions à la FI, est-ce que Le Media à la gloire du lider maximo serait susceptible de jeter une lumière un peu différente sur un sujet comme celui-ci ?