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Faab
Faudrait mettre en place le vote négatif sur le forum parce que le post de Fortunaland mis en avant, c'est un peu la honte... -
Youri Llygotme
Au fil du temps et de l'infiltration du néo-libéralisme dans (la plupart) des cerveaux, notre société s'est droitisée, la pensée
s'est droitisée, en même temps que la quasi-totalité des médias; le Monde est un bel exemple.
Le dessinateur maison n'a pas échappé à la règle. -
orsonwelles
Ben Daniel, c'est quoi ce commentaire?
Premier degré? Ou second degré sur le troisième de gré de Plantu?
On s'y perd...
Franchement, il ne m'est pas venu une seule seconde à l'esprit que ce dessin reflétait les idées de Plantu (sur les réfugiés ou les ouvriers), mais bien au contraire ce qu'il imagine que pensent beaucoup de Français, et qu'il veut justement dénoncer...
Le mieux serait peut-être de demander à Plantu lui-même? -
samuel_
Ce texte de DS me semble bien illustrer comment l'agilité intellectuelle ou discursive, peut parfois paradoxalement nous installer dans des croyances fausses, au lieu de nous aider à mieux voir la vérité. Concernant le cout que l'immigration, ou l'accueil de refugies, peuvent avoir pour tels et tels habitants d'un pays, il y a des choses qu'on ne peut ignorer, qu'en faisant preuve de beaucoup d'aveuglement et de simplisme. Une intelligence moyenne peut assez facilement les comprendre. Il faut donc beaucoup d'agilité pour écrire un texte qui nie de telles choses, tout en réussissant à donner à son lecteur l'impression qu'il est aux antipodes de l'aveuglement et du simplisme.
Ce genre de paradoxe est indiqué par Rousseau dans le Contrat social (livre IV, chap. 1) : "Les hommes droits et simples sont difficiles à tromper à cause de leur simplicité : les leurres, les prétextes raffinés ne leur en imposent point, ils ne sont pas même assez fins pour être dupes. Quand on voit chez le plus heureux peuple du monde des troupes de paysans régler les affaires de l’État sous un chêne et se conduire toujours sagement, peut-on s’empêcher de mépriser les raffinements des autres nations, qui se rendent illustres et misérables avec tant d’art et de mystère ?" Si une opinion vraie lui deplait, celui qui est agile peut se dire qu'il est capable de la rendre fausse aux yeux des uns ou des autres, et il peut finir par confondre son pouvoir de faire cela, avec un pouvoir de décider que cette opinion vraie soit fausse, quand elle lui deplait.
Des couts de l'immigration ou de l'accueil de refugies, qui ne peuvent être ignorés qu'avec beaucoup d'aveuglement, sont : certains membres du pays prives d'emplois, si le pays est dans une situation de chomage de masse, et que des immigres ou refugies prennent un emploi ; une pression à la baisse sur les salaires, des salaries exposes à la concurrence des immigres ou refugies ; le cout financier, pour l'Etat, de l'accueil de refugies ; l'engagement humain d'accueil de refugies ou immigres, plus grand pour ceux qui les auront pour voisins, que pour ceux à côté de qui ils ne viendront pas habiter.
Il est bien sur possible, pour un pays, d'agir de maniere morale en tenant compte de ces couts, et sans doute autrement qu'en se fermant totalement au reste du monde, mais cela peut-être n'est pas evident pour tout le monde. Ces couts donnent au monde où nous vivons une complexité morale. Ils créent un conflit entre des choses auxquelles nous tenons : d'une part la generosité, qui voudrait de l'immigration et de l'accueil de refugies ; d'autre part la preservation de nous-memes, ou la solidarité avec nos concitoyens, qui voudraient que nous fassions attention à ce que l'immigration et l'accueil de refugies ne prennent pas n'importe quelle forme. Pour ceux qui ne voient pas quelle pourrait alors être cette forme, le conflit est insoluble ; si en plus ils tiennent à toutes ces choses mises en conflit, la vue de ce conflit leur devient insupportable ; ils ont alors besoin de simplifier le monde, en s'aveuglant sur ce conflit : leur aveuglement se fonde donc sur une attitude qu'on pourrait appeler du simplisme, parce que c'est un refus de la complexité morale du monde.
Il est pourtant possible d'avoir de l'immigration et de l'accueil de refugies : qui ne nuisent pas à notre préservation de nous memes, parce que leur cout serait raisonnable ; que nous pourrions accepter sans manquer de solidarité pour nos concitoyens, parce que leur cout serait equitablement reparti à tous les membres de notre pays ; qui en prime se feraient dans l'honnêteté et la responsabilité, parce qu'il y aurait une transparence sur leur cout et la maniere dont il se repartit. Mais c'est en ayant conscience des manieres par lesquelles, si on n'y prend pas garde, l'immigration et l'accueil des refugies pourraient ne pas satisfaire ces conditions souhaitables, qu'on peut garantir qu'elles les satisfassent. Il faut donc dire quels sont les defauts que ces choses risquent d'avoir, pour leur permettre de se réaliser sous une forme exempte de ces defauts, pleinement bonne. Autrement dit, et paradoxalement à nouveau, il faut parler un peu contre elles, si on veut parler le mieux à leur service. -
terralit
Sympa le dernier dessin de Jacques Faizant.... -
Robert·
Michel Combes qui a du quitter précipitamment sa famille d' Alcatel-Lucent ( oui, cette entreprise est une grande famille) avec seulement un pécule de 13,7 millions d'euros, après avoir parcouru près de 400km sur ses réserves, a finalement trouvé asile chez Altice qui l'accueille avec un Golden Hello de, dit-on, 100 millions de ces mêmes euros. -
Yanne
Mais l'humour, ce n'est pas parce que les musulmans n'ont aucun problème avec le dimanche, mais que c'est le vendredi le jour chômé pour eux ? Le turban, c'est pour montrer qu'ils sont du proche-orient, Bagdad, toussa toussa ! Le caricaturiste fait des clins d’œil et dessine les choses et les gens en clichés pour être sûr de bien se faire comprendre.
Je serais tentée de laisser à Plantu le bénéfice du doute, du fait qu'il a fondé, Cartooning for Peace, qui est quand même très pro-palestinien et internationaliste.
Personnellement, le cliché, "ils viennent nous prendre notre boulot", je n'aime pas trop.
Mais en même temps, la mise en concurrence, au moins à l'échelle planétaire, ce n'est pas faux.
Mais moi ce qui m'embête le plus, dans cet épisode de crise des migrants, c'est effectivement la filière qui va du proche-orient à l'Europe, pourquoi pas ailleurs ? C'est vrai que les USA et l'Australie, le Canada, et autres pays, vont en accepter.
Mais la charge va se trouver en Europe, ou la politique économique autour de l'euro a précipité les pays qui ont besoin d'une monnaie moins forte dans le rouge. Deux trois pays s'en sortent bien, mais je demande à voir si ça va durer.
Pourquoi ce flot vers nous ? Les pays émergents la Russie, par exemple, pourraient bien en recevoir, le Maghreb, les pays du Golfe....
C'est typique du truc bloqué : on ne peut pas ne pas recevoir les réfugiés, pour des raisons de simple humanité, mais ça va provoquer des tensions à tous les étages.
Si notre gouvernement était plus actif, plus volontariste, plus efficace, ce serait un minimum.
Mais là, l'impression générale, c'est vraiment qu'on s'enfonce, et qu'il faut en plus gérer des situations qui aggravent les choses.
Que la Suède et l'Allemagne gardent ces migrants : ils ont l'organisation, la place, tout ce qu'il faut.
Je vis dans une ville de la proche banlieue parisienne qui s'urbanise à marche forcée, (en 15 ans, elle est passée de 38 000 à 50 000 habitants) et pourtant la pression foncière devient impossible, les prix des locations et des appartements à l'achat flambent) il n'y a pas de place pour tout le monde. Les anciens pavillons se transforment en immeubles, et une ville aérée devient un gigantesque parallélépipède sur 8 étages. Savoir que des gens venant d'ailleurs vont venir, on a l'impression d'étouffer.
Cela n'a rien à voir avec les migrants eux-mêmes, ils ne sont en rien responsables, et il vaut mieux importer de la jeunesse déjà formée, on en a besoin. Et ce n'est pas 24 000 sur 60 millions qui vont faire une si grande différence, mais forcément, c'est compliqué à accepter qu'on se retrouve encore plus, alors qu'on a l'impression d'avance d'être en trop grand nombre. Comme si nous étions de trop.
Et je pense que pour les gens qui sont carrément mal logés ou pas logés, ou au chômage, ils doivent en avoir gros sur la patate. Cette impression qu'on ne s'occupe pas beaucoup d'eux, et que les médias se focalisent ainsi des gens qui n'ont rien à voir avec eux... C'est aussi que les autorités ont tardé à gérer....
Quelquefois, les bons sentiments des journalistes, ça me fait drôle, on se demande dans quel monde ils vivent... -
DéLecteurdeVraiThé
D'abord, il est étrange ce dessin car il met en parallèle deux choses qui n'ont rien à voir entre elles sinon dans l'esprit caricaturant (voir plus si affinité) du dessinateur : le Code du travail et le Migrant.
Un peu comme si on mettait en parallèle le Code de la route et les Paysans en révolte.
Le mec qui se fait remonter les bretelles et porte son bréviaire rouge auquel il veut donner une cure d'amaigrissement sous prétexte qu'en matière d'économie, l'obésité est néfaste, ce mec-là, je pense que c'est un de ces experts qui ont "déposé" sur le bureau de Macron ravi, une version expurgée de cet ouvrage.
Un ouvrage qui garantit encore autant que cela est possible des droits aux employés en matière d'emploi. Autant que cela est possible étant donné la raréfaction des prud'hommes qui rend ces droits virtuels bien souvent. Des droits basiques qui ont disparu de l'autre côté de La Manche, et réduisent des gens à attendre pour un salaire de misère un coup de téléphone qui les envoie aujourd'hui à Leicester, demain à Manchester, frais de déplacement pour leur pomme.
La joyeuse cohorte qui se presse devant l'officier d'immigration est à mille lieux des photos que l'on a vues. Mais bon, la caricature sait trouver dans nos préjugés suffisamment de fondements pour que nous comprenions de suite.
On est dans l'arrivée joyeuse de ces gens qui pour la plupart ont tout perdu chez eux et loin de ces yeux angoissés, loin de ces croche-pieds d'une reporter hongroise (put... d'humanité !).
A ce point, il faut rapprocher cette joyeuse ribambelle enturbannée (un peu comme le grand sultan des Lettres Persanes) de l'image détournée à coup de Photoshop par Ménard de Béziers où l'on voit le contraire : des gens d'une tristesse incroyable s'apprêtant à grimper dans un wagon triste comme le désespoir où Ménard à fait coller "Nach Béziers" (il n' a pas été jusque là, il s'est arrêté à "Vers Béziers" mais l'esprit y était, l'invasion, l'occupation).
Oui ce dessin met mal à l'aise car il signe deux arrêts :
- La France est envahie par la terreur des terrorisés qui se propage à Béziers et ailleurs jusqu'au siège de Le Monde
- La France renonce à défendre ses acquis sociaux et traite de casseurs ceux qui tiennent à les défendre.
Plantu s'a planté une nouvelle fois, ça fait beaucoup pour un seul dessinateur. -
caton
Aprés lecture attentive et ....épuisante des commentaires liés a la chronique critique du dessin de Plantu ....
Ce dessin de presse suscite bien des "émotions" alors qu'il ne mérite -aucune louange ,aucune critique-il n'est que le reflet de l'humeur d'un jour d'un "pisse copie " c'est a dire RIEN...d'autre qu'une image fugace...
Tous surpris par l'assassinat des "Charlie BOY " et la violence inouie du geste vengeur des "fous d'Allah",pour de piétres caricatures...allons vous sombrer dans cette même folie ?-
Décortiquer l'information,en souligner les dessous cachés et prfois sa perversité ?-OUI ,cent fois oui ! .faut-il encore que "l'information"en soit une,
Ce n'est jamais le cas d'une caricature ,quelque soit sa qualité graphique et l'interprétation que chacun peut en faire au premier ....ou trentiéme degré. -
JUSTIN COLBART
Excellente analyse, Daniel. Mais hélas, rien de nouveau sous le Plantu, qui pense avoir tout compris du monde et jamais appris à dessiner. -
Gilles Ciment
Il y a quelques jours, Urbs postait un "dessin pas pris" (par Sud Ouest, son journal) sur les réfugiés, très bien vu, drôle et anticipant les propos de café du commerce sur ces nouveaux arrivants.
Hier, Plantu publiait le dessin nauséabond dont il est question ici, qui tombe direct dans le panneau que pointait Urbs.
Pour comparer les deux dessins : cliquer ici.
Que Le Monde, en publiant une telle horreur, assume le rôle du beauf pilier de bistrot, c'est plutôt pathétique.
Vite, que le grand quotidien du soir mette Plantu en retraite et le remplace par, en alternance, Terreur Graphique et James ! -
Thomas
Merci pour ce billet.
Dans le numéro de la veille, le cahier économie ouvrait sur un article au titre tout en nuance : "travail dominical, la grogne syndicale ne chôme pas." Les syndicats, ces cousins des sangliers et des ours.
Dans le numéro contenant ce dessin répugnant, on apprend que c'est par "réflexe pavlovien" que la gauche du PS s'oppose à la réforme du droit du travail. La gauche du PS, ce cousin de l'animal de laboratoire.
Déjà c'était gratiné... Alors rajoutez une thématique migrants, et vous avez les ingrédients pour que Plantu pète un cable... -
Camarlette
Puisqu'on parle de dessinateurs, la planche réalisée par Zep pour dénoncer les ravages de la guerre vaut la peine d'être vue, revue et diffusée !
http://zepworld.blog.lemonde.fr/2015/09/08/mi-petit-mi-grand/
Camarlette -
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Lucas Taïeb
Qu'importe l'interprétation à en faire, ce dessin nous rappelle cet adage à ne jamais oublier, partagé par la première génération de Charlie Hebdo : LES DESSINS POLITIQUES SYMBOLISTES C'EST DE LA MERDE, C'EST NIAIS ET C'EST VAIN ! -
Florentino
Plantu s'est planté plus d'une fois mais ce dessin ne me semble pas être le plus sujet à polémique de son œuvre. Ce désormais dessinateur tout à fait consensuel, qui a oublié son mordant il y a bien longtemps, ne fait qu'illustrer les clichés dans lesquels vit une partie des acteurs du monde médiatique: égo-centré, il a simplifié les discours (abus de com) jusqu'à tout vider de son sens pour faire passer le message quotidien que même si ça va mal (pour la majorité des français), la vie c'est trop cool. Il faut avoir encore un peu d'esprit et quelques sujets de conversation, sinon ce petit monde confiné entre quelques quartiers préservés de Paris et environs n'aurait rien à se raconter aux dîners mondains, et éventuellement à publier le lendemain. -
Hélène KHODOSS
il est clair que l'ouvrier à la mine patibulaire s'en prend au personnage qui veut réformer le code du travail (comme le dessin tout seul n'était pas si clair, Plantu a ajouté une légende au dessus de la partie gauche du dessin). Mais cet ouvrier patibulaire-archaïque ne voit pas que pendant ce temps les étrangers souriants, mais néanmoins dangereux puisque enturbannés, arrivent pour lui prendre son travail, car eux acceptent des conditions qu'il refusent. L'ouvrier patibulaire-archaïque va donc être puni pour son absence de modernité. C'est le grand remplacement qui se prépare, et ce sera la faute des salariés archaïques et cramponnés à des acquis sociaux dépassés.
Bref effectivement, entre le MEDEF et le FN, mon cœur balance...
@ Fortunaland je comprends ce que vous dites, mais dans ce dessin l'ouvrier est manifestement un personnage antipathique et dépassé, je ne crois pas qu'on puisse l'interpréter comme vous le faites. Il n'y a au contraire aucune empathie pour les salariés inquiets. Plantu prend d'ailleurs sur Twitter une volée de bois vert (justifiée à mon avis). -
isaton
Oui, j’avais aussi tiqué sur ce dessin. -
FORTUNALAND
Analyse complètement fausse de ce dessin, Daniel :
"Puis on réalise que là non plus, la caricature de Plantu ne correspond pas à la réalité, telle que la narrent les medias du jour : dans cette narration-là, ce sont les ouvriers, les salariés, qui sont protégés par l'épais et archaïque code du travail, qu'il s'agit de moderniser, de dépoussiérer. En toute logique, si ses deux mains n'étaient pas occupées à malmener le binoclard, c'est l'ouvrier, qui devrait s'aggriper au code. Mais qu'un ouvrier, incarnation de la force brutale, puisse être attaché à des textes protecteurs, n'entre pas dans l'univers mental du dessinateur."
>> Le mec à lunettes a tout simplement piqué le CODE DU TRAVAIL pour le reécrire à sa façon : l' ouvrier veut se le ré-approprier car il a compris que la ré-écriture se ferai à ses dépends, forcément.
Ce dessin ne fait qu' exprimer le ressenti d' un bon nombre de français, précaires, chômeurs, fragiles, hommes et femmes qui cumulent déjà parfois deux boulots pour s'en sortir... ET N' Y ARRIVENT PAS.
En se mettant à la place de ces gens là, on arrive à comprendre leurs peurs, en effet.
Ils ont déjà du mal à survivre, alors si s' ajoutent encore des milliers de gens aux files d' individus en recherche de vrais emplois, comment feront ils face à cette concurrence ?
CE dessin ne dit rien d' autre que ces peurs. Et ne pas voir qu' elle sont quelquepart bien légitimes, c' est aussi manquer d' humanité.
Ce ne sont pas de futurs journalistes qui arrivent et franchissent les frontières. Ils ne prendront pas non plus les emplois nobles et très bien rémunérés. Ils seront néanmoins bientôt sur le marché du travail... et prendront quand même quelques emplois au fil de leurs intégrations...
Maintenant, Daniel, essayez de vous mettre à la place de ces français là... mais depuis votre place. Imaginez, Daniel, qu' une loi passe ce soir à l' Assemblée qui subventionne à grand frais TOUT NOUVEAU SITE D' INFORMATION EN LIGNE : imaginez que demain n' importe qui puisse ouvrir un "ARRET SUR IMAGE" et soit subventionné, disons cinq fois plus que la ressource de vos abonnements.
Vous feriez la gueule, Daniel, car vous croiriez et crieriez que cette concurrence n' est pas juste et que ces "autres sites" vont tuer le votre.
Ce dessin ne parle que du sentiment de concurrence déloyale que peuvent ressentir un bon nombre de français fragiles. Il n' est pas caricatural, il dit bien le réel, Daniel.
Et moi, chômeur de longue durée depuis un grave accident, il me touche aussi un peu... ce petit dessin. -
emilie bouyer
J'ai aperçu les propositions de l'ex concernant les migrants...Je sais, ce n'est pas le sujet...Et pourtant, on se prend à penser que le géniteur aurait été renvoyé dans sa Hongrie natale, ou dans un quelconque camp "de rétention" si les idées de son enfoiré de fils avaient été en vigueur à l'époque... Ce qui fait qu'on n'aurait pas eu à souffrir, cinq ans durant, de la figure détestable qui réapparaît quotidiennement depuis quelque temps pour nous refourguer cinq ans supplémentaires...