kiki22 15 octobre 2015 à 13:26
Bof encore de l'enfumage qui sera débattu sans résultats dans une obscure commission d'ici quelques mois...

sandy 14 octobre 2015 à 18:51
Quel titre racoleur, j'ai cru qu'il s'agissait d'interdire la concentration de la propriété des médias ou qqchose du genre, et en fait il s'agit comme d'habitudes de mesurettes d'affichage.

Daniel 14 octobre 2015 à 11:14
Il paraît qu'il fait dans son froc, Bolloré.

Faab 14 octobre 2015 à 11:08
Ca me fait me poser une question : si ce ne sont pas les propriétaires qui déterminent les orientations de leurs médias, comment se constituent-elles ? La neutralité ne concerne que la télé ? Que se passerait-il si des rédactions de Canal+ assumaient au premier degré de défendre "le discours de vérité" du Front National ou au contraire de se transformer en militants du NPA ?
Et ça se passe comment dans la presse ? Si la rédaction du Figaro devenait communiste, les actionnaires seraient en droit de les récuser, les virer ?

Bruanne 14 octobre 2015 à 10:20
Mouais...faut voir. L'annonce à le mérite d'exister, mais est frileuse. Et ce gouvernement cette même semaine prend le parti de la chemise et non celui des futurs chômeurs.
Largement de quoi faire la fine bouche.

JIEM 92 14 octobre 2015 à 10:19
Bonjour
Quelle révolution !!! en tout cas la chemise de nos grands capitaines (qu'ils disent) médiatiques n'a rien à craindre.

Pif 14 octobre 2015 à 09:49
Oulalah! Des comités d'éthique! Une clause! Un droit de regard du CSA! C'est le Grand Soir!

Si, faisons la fine bouche, pas si fine que ça d'aillleurs pour refuser le passage à la couleuvre.

Que les rédactions aient le contrôle du journal, c'est possible. Refuser les aides aux médias privés et créer de la place pour des médias associatifs c'est possible. Lutter contre la concentration entre les mains de multimillionaires, c'est possible. Nationaliser, c'est possible. Plein de choses sont possibles, en fait.

Mais pas quand le seul horizon c'est "un droit de regard du CSA". On obtient généralement moins que ce qu'on vise, et là on vise bien bas.

Malagom 14 octobre 2015 à 09:45
Quel dommage que monsieur Bolloré n'ait pas pensé à censurer le décorateur du Paloma...