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  • Ervé 14 mars 2016 à 19:22
    A propos de langue française au sujet de laquelle c'est le jour, aujourd'hui :
    Entendu à "Questions pour un champion" de la part de l'animateur Samuel Etienne : "les quat' zéléments..."
    Le type est journaliste.
    Lepers était chiant, prétentieux, mais avait au moins le mérite de la respecter.

  • kawouede 14 mars 2016 à 17:31
    En quoi l'explication du militaire à la radio serait-elle faite de langue de bois ?
    Cette vision géostratégique sommaire (mais on sait que l'intervention au Mali a en effet engendré une dispersion géographique du djihadisme) vaut-elle moins que le discours qui consiste à mettre en parallèle et en potentielle relation de causalité "violence sociale" des terrasses de café et massacre du 13 novembre ?

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 14 mars 2016 à 17:29
    Léfrançais veulent des réformes.

  • YG 14 mars 2016 à 14:19
    Concernant la critique sur l'explication de l'expert militaire, elle est pas forcément stupide ni langue-de-bois-esque. Il est parfaitement concevable qu'AQMI sous pression militaire au Sahel change son mode opératoire pour s'adapter au rapport de force et frapper où on ne l'attend pas avec une petite force difficilement repérable.

  • Pierre38330 14 mars 2016 à 12:25
    Mitterrand démasque l'assassin du futur

    Quand j'ai lu ce titre, j'ai cru qu'il s'agissait de tonton. Parce que ce fut lui, l'assassin du futur.

    Et merci pour cette perle : Il faudrait commencer à catégoriser la langue de bois. Par exemple, distinguer celle qui dit n'importe quoi, de celle qui ne dit rien.

    On s'y emploie, on s'y emploie.

  • M. Chat 14 mars 2016 à 12:03
    C'est joli, "ellisions", même si ça relève de l'acte manqué. Comme remarqué plus haut cela évite de dire "élisions",
    comme dans "nous élisions François Hollande". Plus jamais "élisions", non, élidons François Hollande...

  • Ervé 14 mars 2016 à 11:04
    Etonnante, cette montée de l'extrême-droite en Allemagne.
    Rien dans l'histoire de ce pays, ne laissait prévoir une telle évolution.
    De plus, à en croire la majorité des médias, la politique d'accueil des migrants d'Angela Merkel, recevait l'approbation d'une large part de l'opinion publique.

  • H M-G 14 mars 2016 à 10:51
    L'assassin du futur, c'est le gars qui dit : "je t'appelle quand j'arrive". Alors qu'il faudrait dire (le saviez-vous ?) "je t'appellerai quand j'arriverai".

    Si encore cette remarque était juste... mais elle ne l'est pas ! En français, le présent peut tout à fait avoir une valeur de "futur proche", notamment dans la langue orale, différente de la langue écrite. L'emploi et les valeurs des temps sont complexes et subtiles mais c'est ce qui fait la richesse de la langue que F. Mitterrand ne connait apparemment pas !

  • fifi 14 mars 2016 à 10:15
    J'ai bien aimé l'accusation, portée par les deux zozos, aux politiques fossoyeurs de la langue française. Mais la (fausse) ""meilleure journaliste" ne sait manifestement pas qu'on dit "il y a", et non pas "ya". Quant au pourfendeur des "assassins", il ne sait pas énoncer une négation complète; le "ne" doit lui écorcher la bouche.

    PS : j'espère n'avoir pas commis trop de fotes.

  • Cerise 14 mars 2016 à 10:05
    il n'a pas "amené" la lettre Daniel, il ne l'a pas prise par la main ; il a "apporté" la lettre... enfin... il me semble.

    Mais merci pour cette chronique que je vais partager avec grand plaisir !

  • emilie bouyer 14 mars 2016 à 10:02
    Dans 'Les châtiments", Victor Hugo parle de Napoléon III:
    "Il aime les paillettes, les grands mots, toutes les verroteries du pouvoir"
    Il pense que le châtiment tardif envoyé à l'oncle Napoléon numéro 1 ce n'est "ni Moscou, ni Waterloo, ni Sainte Hélène ", c'est son neveu.
    Frédéric Mitterrand n'a pas attendu ce jour pour être ridicule. Ses amitiés sarkoziennes l'avaient déjà catalogué. La comparaison est osée, pourtant il me semble qu'il représente une sorte de punition tardive pour son Tonton. Et ce matin, il s'est surpassé.

  • Ervé 14 mars 2016 à 09:55
    Dans son dernier paragraphe sur la langue française, Daniel a glissé volontairement une faute d'orthographe.
    Sauras-tu la déceler, ami @sinaute ?

  • Faab 14 mars 2016 à 09:50
    Approche à mon sens un peu légère de la réaction des militaires...
    Le fait est que les forces jihadistes peuvent espérer un support "naturel" sur la zone sahélienne, de l'Atlantique à la Mer Rouge, c'est un domaine historique pour des groupes islamisés et de tradition guerrière, et la maîtrise de la situation au Nord Mali est au moins un blocage sur la partie ouest pour éviter des descentes au Sud.

    Dans l'idéal, il faudrait peut-être s'appuyer sur les Touaregs pour le centre-ouest (cf cet article de 2011), parvenir à un accord pour assurer le développement local, une forme de reconnaissance transfrontalière, en échange d'une pacification de leur zone mais c'est pas gagné : comme avec les Kurdes, il n'est pas évident que les Etats concernés veuillent lâcher quoi que ce soit ; dans les capitales en Algérie, Libye, Mali, Niger, Burkina Faso, on peut considérer que les frontières tracées par la colonisation sont avantageuses.

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 14 mars 2016 à 09:46
    En 1515, les Suisses passeront un mauvais quart d'heure.

  • Nikko 14 mars 2016 à 09:45
    Je n'ai pas bien compris le premier paragraphe. On pourrait aussi financer directement les terroristes pour ne pas avoir de problème? Où accèder à leurs demandes?

  • JIEM 92 14 mars 2016 à 09:44
    Bonjour
    "Je n'ai pas voté pour Hollande au premier tour en 2012" voilà une phrase sans fautes !!!

  • Olivier 14 mars 2016 à 09:33
    "je t'appelle quand j'arrive". C'est sûr, je vais venir. Rassure-toi.

    "je t'appellerai quand j'arriverai". Alors lâche-moi la grappe. Et ce n'est même pas sûr que je vienne.

    Le présent est un doudou (valable aussi pour la question sous forme affirmative: "Tu passes nous voir à l'apéro ?" en lieu et place de "passeras-tu nous voir à l'apéro ?"

  • Strumfenberg ( Aloys von ) 14 mars 2016 à 09:27
    Il est temps de réfléchir sur qu'est-ce-qu'il faut faire pour répondre à la problématique.


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