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  • freT 8 septembre 2020 à 09:28

    J'allais noter que si les medias télévisuels cessait de caster les femmes sur leur physique peut-être y aurait-il un peu moins de ce genre d'humour gras.... Mais vu que cette dame est une ancienne cycliste, et donc un professionnelle a priori non recrutée de par sa plastique, je remballe mes propos (tout en les publiant ici ; cherchez l'erreur).

  • frabesse-102833 frabesse 8 septembre 2020 à 08:39

    Erreur factuelle, il me semble que ce n'est pas sa première année en tant que commentatrice du Tour.

    Non ?

  • Jacques Briaud 7 septembre 2020 à 21:07

    Etonnant, toutes ces personnes  qui prennent tout au premier degré. Une caricature c'est fait pour choquer et forcer le trait. Donc ce dessin ne me choque pas, il me fait même rire, c'est dire si j'ai mauvais esprit. Pourquoi ? Parce qu'il est bien évident que c'est du second degré. Aujourd'hui, on en arrive à tout devoir expliquer. Quel dégringolade intellectuelle !


  • Oblivion 7 septembre 2020 à 18:56

    Science-fiction même pas envisageable dans les têtes des sexistes, Julian s’adressant à sa compagne :

    Chérie, pour préserver ta carrière de consultante, je quitte la course cycliste.

  • Winston Zweig 7 septembre 2020 à 18:12

    Journalisme de supporter, est-ce que ce n'est pas le cas en politique également ?

    Mais expression intéressante !

  • Sebastien Lemar 7 septembre 2020 à 16:09

    « l’actuel porteur du maillot jaune » n’est pas Julian Alaphilippe, mais Primoz Roglic, coureur slovène.

    Ça ne change pas grand chose au dessin de l’huma, dont je me balec, mais par contre ça rend un peu vains l’analyse et les commentaires enfiévrés afférents à cette chronique.

    D’autant plus que la publication de « Flic » de Valentin Gendrot diversement appréciée des médias, meritait peut-être que le matinaute  avisé s’y intéressât un peu plus qu’aux états d’âme de Marion Rousse, et de la question de savoir si le dessin de l’huma est pro ou anti. féministe.

    Parce qu’en matière de journalisme, avec l’ami Gendrot, entre infiltration, complicité, dénonciation, et rapport aux médias, y’a du boulot d’analyse à produire, non?

    Enfin, j’dis ça...

  • pierrounet 7 septembre 2020 à 15:22

    Pardon, mais...ne vaudrait-il pas mieux  manifester, avant qu'il ne soit trop tard,  un soutien à Julian Assange?

  • tosh 7 septembre 2020 à 15:17

    ily a conflit evident qui est simple a eviter , ne pas lui faire commenter la performance de son conjoint.

    Je ne pense pas qu'elle doive se mettre en retrait comme le fond les journaliste politique , ce que je trouve honnêtement un peu excessif, il n'y a visiblement  pas besoin d’être en couple pour cirer les pompes des politiques..... on en voit tous les jours les pires exemples.


    Apres elle partage les mêmes travers que les autres journalistes sportifs a savoir complaisance voir connivance totale avec les coureurs et déni face au dopage. difficile d'en faire le reproche aux journalistes quand leur employabilité dépend entièrement de leur capacité a vendre du reve au téléspectateur.... 


    honte l'huma pour cette caricature et honte aux commentateurs ci dessous qui essayent a demi mot de la justifier. 


    Sinon DS essayez de n'ouvrir twitter qu'apres avoir ecrit votre chronique matinale voir un matin sur 2 si vraiment c'est trop dur  !



  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 7 septembre 2020 à 15:07

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • Frédéri POCHARD 7 septembre 2020 à 15:03

    Oui, la caricature a manqué son coup parce que le dessinateur a voulu aller trop loin. Il aurait suffit de metre les deux protagonistes dans un lit. Lui lisant le journal, elle en train de rédiger des notes sur un bloc et lui disant "je prépare mon speech sur toi dans l'émission de demain, tu penses que je devrais parler desquelles de tes qualités, mon amour ?". Et hop, le tout était joué sans avoir besoin d'affubler la femme d'un attirail de "lap dancer" (si ce n'est donc de prostituée).

  • Paddy 7 septembre 2020 à 14:53

    Sévère distribution de mandales du côté gauche, pour cette pauvre Marion Rousse. La comparer aux taiseux du dopage, vous y allez un peu fort (A ses côtés, d'ailleurs, officie un ancien dopé notoire). "Comme si ce couple n'était que l'illustration d'une endogamie admise entre les commentateurs sportifs et les champions dont ils parlent, endogamie qui, dans le passé, a par exemple conduit à une pudique occultation par les premiers de la pratique du dopage par les seconds." Sans doute. Mais dans son cas, au moins, c'est de notoriété publique, et même si on le dit en catimini, vite fait et on passe à autre chose, on le dit. On est beaucoup plus discret sur certains copinages bien plus engageants. 

    Par contre, oui, il y aurait beaucoup à dire sur le journalisme sportif en général, "un journalisme de supporters", en effet (Et encore, nous, ce n'est rien à côté de nos voisins latins).

    De là à publier des caricatures aussi grossières... On aurait attendu de l'Huma un tout autre angle d'attaque sur le sujet. Ce dessin donne malheureusement bien des arguments aux partisans de ce journalisme de connivence qu'il prétend dénoncer.

  • Un épidémiologiste 7 septembre 2020 à 14:53

    Il y a à mon sens confusion dans l'article entre le rôle de consultant.e et celui de journaliste. Les consultant.e.s sont souvent des anciens sportifs (parfois actif, cf Steve Chainel sur Eurosport, coureur en cyclo-cross), mais également entraîneurs, DTN parfois en poste (cf Thomas Voeckler, sélectionneur de l'équipe de France masculine). Ils apportent une analyse, notamment technique, indispensable aux journalistes/commentateurs (d'un niveau très hétérogène...). Parler de collusion entre consultant.e.s et sportifs n'a donc pas trop de sens, car ils appartiennent à la même sphère.


    Marion Rousse a quant à elle un beau CV (championne de France sur route). Elle officie comme consultante depuis des années, sur plusieurs chaines, en commentant courses hommes et femmes (en ayant été en couple avec Tony Gallopin, cycliste moins connu du grand public), de manière pro (ça c'est mon opinion). 

    Et elle n'a certainement pas à s'excuser pour son physique avantageux, comme limite suggéré plus bas (un poil insultant, non ?). 

  • Martine BARRAU 7 septembre 2020 à 14:00

    Un coup de fatigue?RIen de plus motivant ce week-end?

  • ÉJ 7 septembre 2020 à 13:53

    Et moi qui pensais (espérais) en m'abonnant à @SI que ce lieu serait moins victime des opinions binaires et non contrastées des réseaux sociaux. 


    Je suis sidéré par certains arguments émis dans les commentaires de cet article.


    D'ici à ce que soit exigé la mise en ligne de l'état civil complet de tous les collaborateurs d'@SI des fois qu'une brebis galeuse folâtrerait avec une puissance médiatique !

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 7 septembre 2020 à 12:22

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • Charles 7 septembre 2020 à 12:19

    C'est bien plus complexe que ce que vous en dites. Et vous n'abordez pas le fond du problème


    Cette journaliste est très jolie. Sa beauté est un des critères (outre le fait qu'elle soit une femme, important, les quotas) qui font qu'on lui a confié son poste (probablement aussi important que le fait qu'elle soit une ancienne cycliste).


    Du coup, on a un mixe entremêlé de compétence, de quotas, d'utilisation du physique, etc. qui rend impossible le fait de dire que la caricature est sexiste ou pas. Selon moi (mais vous avez le droit de ne pas être d'accord), la plastique est primordiale dans cette embauche. Et donc on est dans... l'anti-féminisme, non ? L'utilisation de l'image de la femme pour faire passer la pilule d'une femme qui commente une compétition d'hommes (s'il y a réellement une réticence de ce point de vue chez les téléspectateurs, ce qui n'est pas évident) est sexiste.


    Il y a tout cela mélangé, et la journaliste (comme beaucoup de journalistes femmes) participe à cautionner l'utilisation de son image... attitude que je trouve anti-féministe.


    Et du coup, elle demande du respect, qu'on ne la considère pas comme un objet ou comme la petite amie de, voire une prostituée. Mais bon, elle vend bien son image, là, non ?


    Le fond du problème, c'est que les rédactions utilisent la plastique des femmes (et en rajoutent avec des tenues sexy - la preuve, on ne demande jamais aux journalistes hommes d'avoir des décolletés profonds et des shorts courts, à part BHL) et que les femmes se laissent faire. Bref, on est en plein dans l'anti-féminisme au moment même où l 'on prétend qu'on le combat (puisqu'on embauche des femmes).


    Bon, il se peut que je m'égare, mais je pense qu'on peut se mettre d'accord sur la différence de traitement homme/femme sur cette question du physique chez les journalistes (en général - il y a toujours des exceptions, évidemment). Et cette différence de traitement me semble anti-féministe. Cautionner la chose en tant que femme femme qui utilise sa plastique dans un travail qui ne l'implique nullement a priori idem.

  • Catala93 7 septembre 2020 à 12:17

    L'objectif de France Television est clair: diversifier son audience avec un jolie consultante que l'on voit peu à l'antenne et dont on n'entend que sa voix la plupart du temps. En l'occurrence , Marion Rousse connait bien le cyclisme professionnel et les passionnés de vélo sont assez avertis pour ne peut pas être orientés par ses commentaires sur la course d'Alaphilippe. Ils font la part des choses. Un passionné de vélo est prêt à avaler bien d'autres couleuvres, notamment sur le dopage des coureurs. Parfaitement informé qu'aucun exploit ne se fait à l'eau claire, il pardonne aux coureurs qui lui assurent un spectacle, des écarts à l'éthique. Autre entorse à la loi , l'achat et la vente de victoires entre concurrents est fréquente (Van Steenbergen, Gimondi, Moser, Vinokourov, Virenque, etc.)

    Le cyclisme est, comme bien d'autres activités sportives à risques (chutes, abandons, problèmes de santé, etc.) une histoire de bruit et de fureur qui a de lointains rapports à la morale sportive.  Il en va de même pour la politique, la culture, les affaires, la finance., la carriérisme professionnel, etc. La liste est sans fin. Telle est notre condition humaine.

  • TDC13 7 septembre 2020 à 12:09

    le dessin de l'Humanité est effectivement déplacé quant à sa représentation de la femme.

    Par contre, la moindre des choses serait que M. Rousse s'abstienne de commentaires sur son compagnon ou alors qu'ils restent dans le cadre strictement sportif

  • Reno 7 septembre 2020 à 12:02

    La présentation gentillette de C à vous "les jolis mots..." et l'expression enfantine de cette consultante font irrésistiblement penser au personnage de "Corinne 11 ans" sur l'ancien CDV d'Édouard Baer :-)

    https://youtu.be/7cIZRkCAQRY

  • ÉJ 7 septembre 2020 à 11:46

    Je n'ai qu'une chose à dire (à écrire, même) : Marion et Julian forment un bien joli tandem.  :)


    Rappelons que Marion Rousse est d'abord une cycliste avec une carrière enviable puis une consultante professionnelle et compétente. Probablement ce que sera Julian après sa propre carrière, comme Thomas Voeckler, par exemple.


    Le parallèle avec les collusions entre journalistes encartés et politiciens en poste est totalement hors de propos.


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