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  • manu@home 3 mai 2013 à 03:39
    Un article sur le site du parti de gauche éclaire (de façon partisane, mais ça éclaire tout de même) sur qui est Letta:
    http://www.lepartidegauche.fr/actualites/actualite/les-50-jours-qui-ont-change-italie-22544

  • gondalah 2 mai 2013 à 12:53
    Et Mélenchon? pas de pique aujourd'hui?

  • Vonric 2 mai 2013 à 12:03
    Disons que c'est toujours un sujet d'étonnement, habitués que nous sommes au sabir de nos présidents, quand ils tentent quelques mots en anglais devant les caméras (du type de l'immortel "You want me to go back to my plane", de Chirac à Jerusalem).

    C'est assez navrant cette habitude française de se flageller sur les langues. Les Français ne sont peut être pas bons globalement en langues étrangères, mais il se trouve que Chirac a fait des études aux Etats Unis et parle correctement anglais. Et sous la pression de la foule et des journalistes (cf la vidéo) c'est plutôt très bon, et même avec un bon accent. Donc je dirais plutôt bravo.
    Oui en effet il est plus facile de se moquer de Raffarin ou autre. Tiens, on ne parle pas de Villepin ou de Lagarde ? Dans tous les pays moi aussi je peux trouver des dirigeants politiques qui ne parlent pas bien les langues étrangères...

    Pour en revenir à Letta, c'est agréable et flatteur. Pratiquement, gageons que celui lui permet aussi d'apporter une plus grande convivialité dans ses rencontres (au moins avec le président français).

  • Msettimio 2 mai 2013 à 11:38
    Chacun se fout de ce qui se passe chez le voisin, les autres nous le rendent bien.

    Le jour de la libération des otages du Mali, j'ai parcouru les premières pages de la presse Italienne, allemande, espagnole, britannique.
    Il n'en parlaient pas.

    Le jour où il y aura les Etats Unis d'Europe à la sauce lisboète (celle du traité), je ne me sentirai plus en sécurité.
    Qui se préoccupera de moi ?

    J'ai lu un entretien de Michel Serres sur repubblica.it : il appelait à le disparition des Nations (ces pelées ces galeuses d'où nous est venu tout le mal au siècle dernier)

  • Robert· 2 mai 2013 à 11:06
    "You want me to go back to my plane", de Chirac à Jerusalem).
    Comme le disent plusieurs posts ci-dessus, Jacques Chirac était loin d'être nul en anglais.
    Et puis, faites nous une démonstration du vôtre, qu'on puisse juger.

  • JIEM 92 2 mai 2013 à 10:35
    Bonjour
    Avec cette chronique, Daniel se raccroche un peu aux branches… mortes.

  • Julien 2 mai 2013 à 10:29
    autre point notable, Letta est le neveu d'un très proche de... Berlusconi.
    on ne choisit pas sa famille, mais...

  • jede 2 mai 2013 à 10:13
    Qu'est-ce que c'est que cet acharnement sur Monsieur Pujadas ? Du PUJADISME ?
    POUJADISME ! PUJADISME Même combat !

    Désolé.

  • Totorugo 2 mai 2013 à 10:12

    Bref, tiens, les Italiens savent produire des dirigeants qui ne soient ni des clowns, ni des obsédés sexuels, ni des anciens de Goldman Sachs obsédés de rigueur.


    Ils produisent surtout ce qui se produit hélas de partout: une girouette qui dit des choses qu'on n'entend pas et auxquelles on ne comprend rien parce que, pures enveloppes, elles n'ont aucune consistance. "Je suis pour les États-Unis d'Europe". Très bien. Moi, je suis pour les États-Unis de la Méditerranée, les États-Unis d'Afrique, les États-Unis du Monde, enfin de ce que vous voulez. Il est impossible de savoir ce que cette phrase veut dire. Et il faut condamner fermement ce type de loghorrée dont on meurt, et dire que nous voulons (nous avons le droit de) savoir ce que nous proposent ceux qui exercent un pouvoir. Que vont-ils entreprendre, avec quelles mesures, selon quelle orientation politique, etc. Les États-Unis d'Europe, ce ni réjouissant ni attristant, c'est creux, c'est vide, c'est rien aussi longtemps qu'on ne nous dit pas si le but d'un tel projet serait de faire baisser le coût du travail ou de protéger les salariés, et des tas d'autres menus détails de ce genre...

  • Cultive ton jardin 2 mai 2013 à 10:10
    Et il y a Berlu dans l'improbable coalition qui le "soutient" (comme la corde soutient le pendu?)

  • rscarcpac 2 mai 2013 à 10:04
    Letta annonce la poursuite de l'austérité selon toute probabilité.

    Il est pas ancien de goldman sachs mais il est de la trilatérale et de l'Aspen institute, il est soutenu par la droite et le centre "gauche" après, encore une fois, une sorte de demi coup d'état contre la souveraineté populaire orchestré par le président Napolitano.
    Bref DS devrait y voir un Monti bis avec la même politique de soumission à la troïka et le même résultat calamiteux pour la population au lieu de tomber dans les pièges médiatiques qui veulent absolument nous présenter ce Letta comme le messie.

  • miroul 2 mai 2013 à 10:02
    Très dépité par ce papier....

    Si il y a une chose qui définit Letta et qui devrait déclencher tous les systèmes d'alarme d'un site d'analyse c'est : "je souhaite les états-unis d'Europe" !
    Qu'il soit "diplomate et souriant"... c'est totalement accessoire.

    Un chef de gouvernement nous déclare que son propre pays et les 26 autres voisins ne devraient pas avoir plus d'indépendance politique / juridique / budgétaire / sociale / de défense, que, disons, la Floride... Mais l'information importante c'est qu'il est diplomate et souriant ! Au secours.

  • Cultive ton jardin 2 mai 2013 à 09:48
    [quote=DS]Qu'il souhaite "les Etats-Unis d'Europe", rien de moins. Et il s'en donne apparemment les moyens politiques: l'union, il la pratique apparemment aussi à l'échelle européenne, hollandiste à Paris avec "François", merkelien à Berlin, diplomate et souriant partout, appelant chacun à cesser les chamailleries.

    C'est pas un peu court pour juger de la qualité de cet homme politique? Le genre "Je suis oiseau, voyez mes ailes, je suis souris, vivent les rats" ne me semble pas de très bon(ne?) augure. Il vient pas de sortir tout neuf d'un oeuf? On n'a que ça, des paroles verbales, à se mettre sous la dent pour prévoir l'avenir?

  • emilie bouyer 2 mai 2013 à 09:36
    Il y a eu aussi la raffarinade célèbre:"Win...the yes...needs the no win again the no "ou,comment être drôle quand on ne l'est pas.
    C'est dommage,il y en avait un qui parlait bien l'anglais,mais il s'est pris les pieds dans la moquette.

  • JC2 2 mai 2013 à 09:26
    Je n'ai pas souvenir de la sortie de Chirac 'You want me to go back to my plane' comme un moment de honte nationale. En revanche le Yes need the no, ça c'était piquant. Pour le plaisir, c'est ici...

  • Ptilou 2 mai 2013 à 09:24
    Eh oui, comme disait Lionel Jospin : "Letta ne peut pas tout !"


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