Yohooo 18 avril 2011 à 00:47
J'ai fait 2 frises du temps sur l'histoire récente de l'Islande :
http://yohooo.org/islande

Adrien 26 février 2009 à 15:08
"C'est bien moins croustillant que le combat de titans Aphatie-Guillon", DS.
Il n'est pas trop tard, Daniel, pour reconnaître certains de ses torts.
Chronique impeccable, super rassurante.

Balthaz 25 février 2009 à 14:44
que les décideurs économiques fassent tout leur possible pour nous jeter quelques miettes en les appelant " salaire, pouvoir d´achat", c´est une chose. Ils sont dans leur rôle.
que les politiques deviennent leurs complices en détruisant le peu de services publics qui nous permettent d´atténuer les souffrances inhérentes aux aléas de l´existence.

qu´attendre de politiques qui croient (encore..) que l´inégalité est le principal moteur de l´économie et qu´elle est nécessaire au fonctionnement de la société ?

Fandasi pour clavier 25 février 2009 à 13:15
Très interessante enquête sur le site de France Inter sur Kouchner et les affaires africaines . Nombreux témoignages audio.

ENQUETE SUR LES AFFAIRES AFRICAINES DE KOUCHNER A FRANCE-INTER

fer 25 février 2009 à 12:56
Je signale aussi ce blog très informatif centré sur des indicateurs de la crise (à la fois écologique et économique) peu évoqués ailleurs.
http://aerobarfilms.over-blog.com/article-28315870.html

Patrice Guyot 25 février 2009 à 12:42
Mais nous sommes en faillite !

Il y a 35 ans que notre État dépense 20% de plus que ce qu'il gagne, alors même qu'il nous inflige les impôts, taxes et charges (les 3% du PIB qui passeront à 6% cette année avec les amendes correspondantes en provenance de Bruxelles, c'est juste pour cacher la merde au chat !)

Nous sommes parvenus à nous créer une dette que nos descendants ne pourront jamais rembourser, et accessoirement à vivre et à assurer notre confort à leurs crochets, ce qui dénote une grandeur d'âme qui laisse pantois…

D'autant que, comme ils ne pourront ni ne voudront payer (pourquoi vivraient-ils en dessous de leurs moyens quand nous vivons au-dessus des nôtres ?) L'histoire se finira par une bonne guerre, comme toujours lorsque l'argent fait défaut…

Cela permet d'éliminer pas mal de créancier et de se partager tranquillement les biens des cadavres.

Le monde n'a jamais su fonctionner autrement, et nous ne devons les 64 ans de paix que nous venons de vivre en Europe de l'Ouest qu'à la sainte trouille de l'arme nucléaire et – accessoirement – au fait qu'aujourd'hui encore les Allemands n'ont pas le droit de développer une arme atomique !

Il paraît que Barak Obama a l'intention de tenter d'éliminer les armes nucléaires, ce qui semble raisonnable tant ces armes sont des trucs de dingues, l'ennui c'est que nos 12 soldats et nos 300 généraux ne vont pas nous protéger tellement (Sarkozy est très inquiet), et que cela permettra le retour des bonnes vieilles guerres, à la massue, à l'épée, au lance pierre, ou au canon conventionnel. Viva la muerte !

Il nous reste à tendre notre sébile aux Chinois, ils sont riches (parce qu'ils sont prudents, économe et qu'ils savent que le monde appartient toujours à celui qui a de l'argent)… Il serait naturel que nous puissions bénéficier d'une aide, en tant que pays sous-développé !

***

Watson 25 février 2009 à 11:40
Je propose un petit coup de loupe sur l'architecture vernaculaire à laquelle renvoie l'image choisie par M.Schneidermann. Cette architecture traditionnelle a son mot à dire dans les problématiques liées au développement durable et pas uniquement dans celles concernant le tourisme et la préservation du patrimoine.
http://www.crit.archi.fr/produits%20innovants/FICHES/Fiche1/presentation.html

did84 25 février 2009 à 10:26
plus dure sera la chute pour l'islande ou la lettonie mais très drole la chute de l'article...

Anthropia 25 février 2009 à 10:01
Un peu cliché peut-être, l'islande des gratte-ciel, c'est celle-là qu'on veut voir.
Est-ce que Bjork chante toujours ?


http://anthropia.blogg.org

Anthropia 25 février 2009 à 09:52
euh, elle est d'accord, dit Sarko, elle ne s'est pas opposée à la nomination du seul et unique nominé depuis le début, pour le groupe de banques, oui vous savez, Pérol,

mais les membres de la commission précisent qu'en fait ils ne se sont pas réunis,

c'est sûr qu'il vaut mieux ne pas se réunir pour ne pas avoir à s'opposer.




http://anthropia.blogg.org

JREM 25 février 2009 à 09:47
Tiens ici aussi on parle d'évaluation.
Mais ce n'est pas l'évaluation qui est en cause: elle est indispensable.
Comme est indispensable l'encadrement strict des règles d'évaluation.
Si vous avez de la fièvre ne cassez pas le thermomètre...assurez vous qu'il est
bien étalonné!

Balthaz 25 février 2009 à 09:38
...le bien nommé, surtout le "poor"

l´Espagne aussi a été mal notée par cette bande d´escrocs incapables d´émettre un avis différent que celui émis par leurs calculettes. ainsi des millions de personnes verront leurs vies affectées par l´action de types perchés quelque part, dans un bureau loin, loin , loin bien loin de la vie réelle...
Démocratie, vous avez dit démocratie ? une nouvelle guerre d´indépendance identique à celles qui ont vu les américains se séparer des commerçants européens devient nécessaire.

"indépendance des banques centrales" : voilà bien un des plus gros mensonges de notre époque ; commençons par le commencement et reprenons- en le contrôle

Ervé 25 février 2009 à 09:34
Trouvé sur ubuntu.fr, ce texte visionnaire de 2007, émanant de notre Ministère des Affaires Etrangères ;

Pays le plus pauvre d’Europe il y a encore 70 ans, l’Islande se trouve aujourd’hui, parmi les pays les plus riches du monde (6ème des pays de l’OCDE), avec une croissance de 2,6 % pour 2006 (7,5% en 2005), un taux de chômage de 2,8 % et un budget de l’Etat excédentaire. Pour y parvenir, l’Islande a opéré une transition économique, passant d’un système d’Etat-Providence à une économie libérale : large programme de privatisations en cours depuis 1991, contractualisation des fonctionnaires, promotion de l’esprit d’entreprise, développement international des sociétés islandaises.

Toutefois, étroitement dépendante de la pêche (plus de 50% de ses exportations en 2006), l’Islande a entrepris de diversifier son économie (aluminium, biotechnologies, informatique...), en s’appuyant notamment sur le tourisme qui est promis à un bel avenir (300 000 touristes par an). Cet effort est d’autant plus nécessaire que la micro-économie insulaire est à la merci de variations brusques du fait de sa très petite taille et reste exposée aux chocs extérieurs déstabilisateurs : tensions inflationnistes, déséquilibre de la balance commerciale (en raison d’importants investissements et travaux d’infrastructure), dette extérieure élevée (plus de 150% du PIB).

Les agences de notation ont ainsi fait craindre, en mars 2006, une crise financière et un atterrissage brutal de l’économie islandaise, qui se sont traduits par une détérioration du taux de change de la couronne et la décision de la Banque centrale de relever fortement ses taux d’intérêt. Mais de nombreux facteurs de rééquilibrage sont aujourd’hui à l’œuvre (réduction du déficit commercial, ralentissement de l’inflation), la réaction des autorités économiques et monétaires islandaises ayant été rapide et adaptée à la situation. L’économie islandaise semble faire preuve d’une flexibilité et d’une réactivité suffisante pour supporter les chocs actuels et s’adapter à son nouvel environnement.

JREM 25 février 2009 à 09:31
"De telles choses seraient inimaginables en France."
Merci pour cet éclat de rire matinal!