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Aurore Guitard
Je viens de voir le docu-film " A la une du New York Times". Une équipe de tournage a passé un an au NY Times (2010), voici la bande annonce un peu tapageuse mais bon http://www.youtube.com/watch?v=Ua5I7C1m8tM .
La problématique que présente ce film me semble tout à fait adapatée à notre presse écrite nationale (Libération inclu comme ça on voit le lien avec la chronique de M. Schneidermann) : la fin du financement par la publicité, où se situent les journalistes actuels entre enquête de fond ou "donner ce que les gens réclament", le rôle des patrons de groupes médiatiques, la fin du papier pour le passage au numérique, la perception des lecteurs sur les abonnements payants à la presse numérique ... Même si tous ces sujets mériteraient chacun un décryptage bien plus long qu'1h30 pour la totalité.
Je me demandais si ASI avait traité dans un article de ce film ou si quelqu'un l'avait vu et voulait partager son avis. -
JREM
Surprise !
En fait c'est pas sur Fabius qu'enquêtait Mediapart ! -
consensus 39
Attaquer Libération , c'est lamentable. Libération comme le Figaro sont des organes de référence, à leur tête on y trouve des journalistes talentueux comme NicolasDemorand et l'excellent Guillaume Roquette.
Leurs avis sont souvent pertinents, que l'on soit de gauche ou de droite, on ne peut que louer ces deux organes de presse qui nous permettent d'avoir une vision pertinente et objective du monde qui nous entoure sans céder à la démagogie ni au diktat des modes en tout genre.
Je rajouterai que les pages culture de Libé se bonifient d'année en année et que les programmes télé sont magnifiquement agencées.
Evidemment, les asinautes influencés par les bolcheviks de Fakir, siné hebdo ou du monde diplomatique sont nombreux ici à dénigrer Libération de manière indigne, ce sont sans doute les mêmes qui disent beaucoup de mal du dernier album de Didier Barbelivien !!! -
fassi
Il y a 3 ans je m'amusais à tenir sur facebook une petite chronique à "la manière de Fénéon", voilà ce que j'en disais le 26/01/20Il à propos de la prise en main de la direction par Demorand : " Indépendance mise à mal. Libération est passé de Sartre à Rothschild : La mouche Demorand se pose sur le journal. La faute à la finance."
...!!!
greuuuuu! -
Yanne
Encore un coup de billard à plusieurs bandes, mais qui n'en atteint aucun.
Nos grands journalistes, stratèges comme je suis top-model, persuadés qu'ils vont sauver le monde menacé par tous les extrémismes et surtout par le peuple qui est capable de tout, comme ils le savent depuis la nuit des temps., ne sont jamais à court d'idées pour dire n'importe quoi....
Ils ne parviennent même pas à faire la différence entre la communication et l'information, c'est pourtant la base de leur job. Par contre, pour se faire enfumer pour enfumer leurs récepteurs, ils sont les champions. Ils s'enfoncent, s'enfoncent, dans une sorte de spirale infernale, où ils plongent la tête la première avec une délectation masochiste.
Leur épitaphe est déjà toute tracée :
"Ci-gît le journalisme qui pensait que son boulot n'était pas l'information. " -
emilie bouyer
Demorand va quitter Libé. Il ne supporte plus les jeux de mots... -
AirOne
La Société civile des personnels de Libération déplore une faute : "cet épisode dommageable à l’image de Libération, qui engage la responsabilité de Nicolas Demorand, illustre une nouvelle fois la mauvaise gouvernance du journal. Il confirme l’urgence de l’élection d’un directeur de la rédaction de plein droit, en vertu des statuts de l’entreprise, réclamée depuis le 19 mars par 94% de l’équipe. A nouveau, la SCPL l’exige dans les plus brefs délais".
Il faut agir ! Demorand, démission ! Que [s]Laurent Joffrin[/s] revienne ! Ah non pardon.... Que [s]Serge July[/s] revienne ! Non plus.... Bon, Pierre Marcelle, Président ! -
dddemontreuil
Et si on assistait à la fin de la presse papier ? Ces vieux dinosaures qui ne font que relayer les dépêches afp, prisonniers de grand groupes industriels qui les maintiennent sous perfusion. Les petits marquis de la presse traditionnelle en sont réduis à cachetonner sur les plateaux télé pour exister encore un peu et nous servir jusqu'au bout leur immonde soupe néo libérale. Mais franchement, qui lit encore, pour s'informer, Libé,le monde ou l'obs ? -
joelle lanteri
Votre article est excellent et dit bien l'ambiance dans la presse qui court apres l'évènementiel à en bafouer la déontologie .mais les lecteurs ne sont pas dupes; Nous sommes devenus intelligents à force de vous lire et cela personne ne peut l'oblitérer. -
Strumfenberg ( Aloys von )
Extraits de ses œuvres choisies: " La société n'existe pas, seuls existent les individus". Ou bien: " La révolution française n'a servi à rien. Le travail était déjà fait par la Magna Charta et l' Habeas Corpus". c'est pas du Demorand, c'est du thatcher. -
Msettimio
Demorand est un petit con : Maintenant j’en suis sûr .
Je le sentais depuis la fameuse une sur le programme de Hollande une vrai une de Pravda.
Nous en somme aujourd’hui à «il y aurait des noms ».
Souvenez vous de la lettre de Collard du temps de l’affaire Baudis. -
Hurluberlu
Dans l'excellente chanson, Margaret on the Guillotine, le chanteur Morrisey posait une excellente question: "When will you die?" (écoutable ici). Nous avons maintenant la réponse: c'est today.
En guise d'oraison funèbre de la meurtrière de Bobby Sands, je reproduis ici les paroles:
The kind people
Have a wonderful dream
Margaret On The Guillotine
Cause people like you
Make me feel so tired
When will you die ?
When will you die ?
When will you die ?
When will you die ?
When will you die ?
And people like you
Make me feel so old inside
Please die
And kind people
Do not shelter this dream
Make it real
Make the dream real
Make the dream real
Make it real
Make the dream real -
René ROBERT
Le personnage de dessin animé Buzz l’Eclair est convaincu qu’il n’est pas un jouet mais qu’il lutte pour la survie de l’humanité. Actuellement, les informations circulent à travers le monde à la vitesse de l’éclair, avec un souci de la mise en scène plus que de la mise en perspective. Dès lors, les informations, surtout celles qui sont diffusées en continu, se confondent très vite avec la communication, l’émotion ou la rumeur. L’emballement du système médiatique est certes un signe de sa fragilité et de ses tendances suicidaires puisqu'il y perd en crédibilité. Il n'en n'est pas moins alarmant. Abrutis par le rythme et la masse des informations qui se déversent sur eux, les hommes pourraient subir bientôt une crise d’identité comparable à celle de Buzz l'Eclair, au risque de devenir de simples jouets. -
Talasrum
à force de recopier les communiqués de presse officiels & les dépêches AFP ou Reuters, libé n'a plus de journalistes dignes de ce nom... Navrant ! Mais pas si loin de la réalité... Heureusement (ou non ?) subsistent dans ce journal les éternels chroniqueurs... Pierre Marcelle & consors... mon blog -
Lea Andersteen
Une seule réponse: Abonnez-vous à Mediapart.
Il y a des offres @SI + Mediapart. -
caius lapsus
médiapart piégé! c'est plutot libé qui est ridiculisé ,au point de prendre des rumeurs pour de l'info. Pendant le dernier quinquennat ils n'ont rien dit ,sur les affaires,pour pas faire de la peine à Sarko et aujourd'hui ils la jouent chevalier blanc . C'est pathétique. Les bobos en ont pour leur argent.. -
joss_beaumont
Dans le documentaire : Les nouveaux chiens de garde, j'avoue avoir beaucoup apprécié le ton violent et bien haineux de l'animal Demorand, parfaitement révélé par la pugnacité des journalistes du documentaire, venu le titiller là où ça fait mal.
Quand à donner un avis sur Libé, j'ai autre chose à faire que perdre mon temps.
Donc, courage à Mediapart !
Le système risque bien de continuer à vous tomber dessus.
Et ne dit-on pas qu'il n'y a rien de plus dangereux qu'une bête effrayée et acculée dans un coin ?
C'est en tous cas l'image que j'en ai du gouvernement, du parti socialiste, et de l'ambiance médiatique générale de collusion avec un pouvoir politique qui semble n'en être qu'au début de sa lente déconstruction, par le truchement des faits et de la justice qui fait son travail avec un courage que l'on doit souligner.
Depuis l'arriviste et cynique Adolphe Thiers, la bourgeoisie méprise le peuple de façon institutionnelle.
Qu'elle soit d'obédience socio-libérale peudo-gauchisante ou conservatrice-libérale, elle n'apprécie guère le poil à gratter qu'on vient lui glisser dans le dos.
En observant l'actu récente, je garde quelque espoir que notre société soit encore pourvue de ses défenses immunitaires salvatrices pour isoler les cellules cancérigènes.
Cellules dont on pourrait imaginer avec charité chrétienne, que les dysfonctionnements soient une résultante "naturelle" de la construction de notre république, de l'économie de marché et de l'absence de règles sérieuses pour protéger les intérêts souverains du peuple.
Quand il y a un trou, il peut y avoir une fuite.
Doit-on reprocher le phénomène à l'eau qui s'y engouffre ou au manque d'étanchéité de la construction ?
Je pense qu'il est grand temps de changer pas mal de choses, en commençant peut-être par porter un regard lucide au niveau national et international, par le biais d'une question très simple :
Qui fait quoi et dans l'intérêt de qui ?
Je vous conseille l'excellent ouvrage La Révolution européenne, de Francis Delaisi (écrivain, économiste et journaliste français) mort en 1947, si wikipédia ne dit pas trop de connerie.
Une étude précise et détaillée de l'organigramme géopolitique et économique de l'entre-deux-guerres, qui colle une espèce de baffe de réalité, tant les faits correspondent scrupuleusement à notre époque.
De là à dire que les forces en présence du siècle dernier sont toujours les mêmes qui agissent aujourd'hui, avec les mêmes méthodes, il n'y a qu'un pas.
Je précise toutefois qu'il faut une certaine ouverture d'esprit, sans tabou, pour lire et comprendre cet ouvrage.
Comme si on venait à nous révéler que dans Star Wars, le clan des méchants n'est peut-être pas celui qu'on croit.
Vaste sujet dont il faudrait pouvoir parler sans malaise et sans haine.
Car en attendant, le traité du grand marché atlantique avec les USA avance à grand pas.
On entend presque le son de ses bottes.
La troïka bienfaitrice pérennise ses investissements idéologiques contre les peuples (au profit de qui?), sur l'autel de l'intégration universelle d'un monde qui ne contiendrait qu'une seule nation (dirigée par qui?)
Si le XXe siècle nous apprend peut-être une chose, c'est bien que le politique ne doit jamais baisser les bras devant les intérêts privés.
La cause de tous est sans doute le garde-fou des émancipations éhontées de certains, comme une espèce vivante qui permet la spécificité locale tout en gardant le contrôle dans l'intérêt unique de son existence...
Le seul doute serait que la gangrène soit tellement installée que l'espèce choisisse elle-même son auto-destruction, en vertue d'un juste équilibre naturel, et du fait que tout ce qui n'évolue pas en symbiose est voué à se conformer à une destruction puis une renaissance.
Bon Dieu... on est loin du sujet là :) -
fcha
Demorand et le journalisme de rumeurs:
http://www.dailymotion.com/video/x5op8q_demorand-contre-les-rumeurs-best-of_news?start=118#.UWKfDTeTKCU
Ce type est un parfait exemple du principe de Peter. -
RG du Medef
Ah si il n'y avait que cela,
En ce moment, les gens après avoir tout dépenser leurs agents dans la pompe à essence, les voilà fort dépourvue pour payer le premier tiers prévisionnel!
Le problème en + de Cahusac, c'est que l'on a l'impression que le gouvernement nous prend pour des moutons.
Je n'ai jamais vue autant la paupérisation se développer. Alors en sortant des affaires prétendre que cela fait le jeu des populistes ! Je crois que c’est leurs jeux à la con qui le fait. -
Gabe_
Arx tarpeia Capitoli proxima.