Yanne 3 décembre 2012 à 22:47
Rira bien qui rira le dernier !
Ce ne sera pas lui !

Mais certainement pas nous non plus !

Avec un marrant et un psychorigide, on est encore mieux partis qu'avec Astérix et Calimero

Maud 3 décembre 2012 à 14:16
C'est sans doute bien d'élire un humoriste mais jusqu'à quand ? Peut être finira t il par rire jaune;

Lafargue 3 décembre 2012 à 13:19
Vous savez ce qui serait drôle ?

Qu'un préfet croise un bétonneur et que le bétonneur lui trouve du travail.

Ce sera peut être le thème du carnaval de la semaine.

Kerbraz 3 décembre 2012 à 13:16
Daniel,

Vous devenez une caricature de ce que vous avez longtemps dénoncé.

Vous en êtes à ce moment où tout fait sens, où le journaliste déjà convaincu n’informe plus mais déclame LA vérité et que tout est bon pour réaffirmer cette conviction.

Vous êtes convaincu que Mélenchon a la solution à nos problèmes alors qu’Hollande n'est qu'un socio-traitre qui se moque du devenir des plus modestes.

C’est votre droit, mais SVP ne saisissez pas comme Pernault ou l’Express la moindre image pour nous faire passer votre conviction comme de l’information.

ceci n'est pas un pseudo 3 décembre 2012 à 13:10
je suis déçu par herrteufel ce matin sur FI à propos del'ump. l'aurait pu dire : " quand y a un seul candidat ça va, quand il y en a plusieurs c'est un problème".

Bruanne 3 décembre 2012 à 13:10
Elle est terribe cette photo.
Il est complètement du côté du drapeau européen et on dirait qu'il se fout de la gueule du drapeau français.
Je sais bien que c'est pas fait expriès, mais c'est gros tout de même.

( pour la contrepèterie évoquée plus haut, je propose cette graphie :
"l'homme qui pète dans les temps, rit", plus conforme aux contraintes horaires pour éviter le croisement qui fâche.)

Kazoula 3 décembre 2012 à 12:49
Après les deux nouvelles pages de pub de samedi ("Vive la crise" plus Korkos*) pour "La crise et moi", le "Holland Bashing" et la FdGmania reprennent tous leurs droits sur le site, ce qui permet d'oublier les sujets qui fâchent aussi bien que le décryptage de l'actualité. Quelle actualité ? Tiens, au hasard : la couverture médiatique hexagonale de l'annonce par Nétanyahou de construire plusieurs milliers de logements supplémentaires en Cisjordanie (violant ainsi une fois de plus tous ses engagements). Le lendemain, Gilles Klein s'est borné à montrer quelques photos du cadavre de Ribhi Badawi, le "supplicié de Gaza".
Autre chose : Mélenchon, tout accaparé qu'il était par son rendez-vous avec Louis XVI (dont il ambitionne désormais de devenir le Premier ministre) et la promotion de sa dernière trouvaille ("l'éco-socialisme") a-t-il trouvé une petite minute pour déplorer le blocage des taxes dues par Israël à l'Autorité palestinienne ? Gaza n'est pas la Grèce, certes, mais tout de même...

(*) "Bon, c'est pas tout ça, vous avez commencé vos achats de Noël ? Non ? Vous n'avez pas d'idées ? Vous voulez faire plaisir sans vous ruiner ? Offrez donc La crise et moi d'Anne-Sophie Jacques, en vente par là !" (Alain Korkos, "Les rois mages et le petit soldat", sa chronique de samedi.)

Raph. 3 décembre 2012 à 11:36
Merci à notre ami Daniel. Son article, comme toujours, est excellent. Mais à ce propos ( l'homme qui rit dans les tempêtes ) : " Quelle mâle et triste gaieté...."

AZERT Y 3 décembre 2012 à 11:10
En même temps s’il pleurait serait-ce pire ?

Germain RITAL 3 décembre 2012 à 10:41
Foin de la politisation de l'art (dramatique): opposons-lui la poétisation de la politique. Cela pourrait être une suggestive façon de considérer le personnel politique aujourd'hui. Ainsi le titre de la chronique de Daniel Schneidermann non seulement nous invite-t-il à voir Hollande, "L'homme qui rit" (et s'amuse à faire rire), en président dramatiquement farceur, un Hugo revu par Molière, mais évoque-t-il aussi "dans les tempêtes" notre shakespearien Mélenchon national; à quoi s'ajoute en début de chronique la dantesque présentation du "bourreau de la Grèce" Mario Draghi.

Le mérite de cette considération esthétique de la vie politique est de nous permettre de nous déprendre de l'esprit de sérieux qui affecte toujours trop nos engagements dans l'un ou l'autre camp. Mais en disant cela, ne suis-je pas moi-même en train de démontrer pencher plutôt d'un certain dangereux côté? - Que le risque, du moins, n'en soit pas négligé...

Malagom 3 décembre 2012 à 10:37
Rira bien celui qui rit le dernier...
http://blogs.mediapart.fr/blog/christian-salmon/031212/florange-ou-la-devoration-du-politique

unread 3 décembre 2012 à 10:24
Sans être un inconditionnel de ce gouvernement, je trouve salutaire que la gravité, le front plissé et le deuil ne soient pas une obligation permanente.
En moins d'un an, cet exécutif montre déjà assez d'actes et de non actes pour qu'on puisse le critiquer sur autre chose que la forme. Autrement dit, d'après le récit que j'en lis ici, cette blague sur un sujet ma foi léger ne me semble pas particulièrement déplacée ; et même au contraire, si Ayrault et Valls pouvaient prendre exemple, se prendre un peu moins au sérieux, sans doute les diverses évacuations (Roms, NDDL pour les plus emblématiques) vireraient moins à la tragédie.

yzondi 3 décembre 2012 à 10:17
"Je m'empresse d'en rire plutôt que d'en pleurer".....Je voudrais en voir beaucoup de ces critiqueurs à sa place, ils feraient peut-être un peu moins les malins !

Mlemaudit 3 décembre 2012 à 10:09
" Les gros comme toi, ça m'a toujours fait rigoler, parce que quand ça dégringole, ça fait un de ces boucans !"

( Tuco in Le bon, la brute et le truand)

sleepless 3 décembre 2012 à 09:57
DS et les petits chapeaux mal placés : "fût", "fûssent".
On va finir par croire que c'est le contenant qui vous importe avant tout :)

(je n'ai pas mis le "eût", pasque sinon la blague ne fonctionne plus...)

Ervé 3 décembre 2012 à 09:55
Qu'il refasse un régime, et en attendant qu'il change de tailleur, putain !
A le voir ainsi engoncé dans sa veste froissée et déboutonnée, on en vient à regretter l'élégance et la prestance de son prédécesseur.

Jean-François LAUNAY 3 décembre 2012 à 09:49
Dans le même genre - et justement avec un des deux personnages évoqués dans cette chronique - pourquoi DS ne commenterait-il pas le sourire tout aussi malicieux de l'imprécateur Méluche à qui on demandait comment s'était passée l'entrevue avec un président qu'il venait de comparer pas très flateusement à un roi de France. "On en a ri tous les deux !" a-t-il répondu, pour une fois tout sourire !
Autrement dit, ces grandes invectives, ces anathèmes, ces rodomontades, etc. c'est "pour de rire", c'est de la guignolade pour amuser la galerie... On s'en doutait un peu !

Christian H. 3 décembre 2012 à 09:47
Le QCM c'est maintenant !
Attribuez la prise de position (choix 1 ou 2, voir ci-dessous) correspondant le mieux à celle constatée depuis que le changement a commencé

Prise de position 1 : dur avec les faibles
Prise de position 2 : faible avec les durs.

- Site de Notre-Dame des Landes :
- Marchés financiers :
- Militante basque expulsée :
- Mittal :

Fan de canard 3 décembre 2012 à 09:46
Si ça se trouve, il prend à témoin les photographes de la blague que lui a faite l'un de ses ministres, qui lui a dit "et si on faisait une politique de gauche" ?
On a pas fini de se marrer.

freudqo 3 décembre 2012 à 09:38
Et ça se trouve, c'est juste une blague innocente de président d'un pays qui n'est pas vraiment en guerre ?