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philv76
AGNÈS PAS NIÉ...RONDE À CHIER!
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Bruanne
Je découvre ce soir le collectif « Bas les masques ».
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Blougou à sens giratoire inversé
Pierre Emmanuel Barré jour #46 en parle en d'autres termes sur Youtube.
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claude Mournetas
J'ai connu des gens qui disaientt autrefois : "...con comme un panier sans anse" !!
Dans la famille pannier ... il ne doit y avoir personne qui se prénomme Hans
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abracadabra
Un peu hors sujet mais on assiste à un cas d'école des techniques de manipulation de la Macronie : il y a un an est annoncée la reconstruction en 5 ans (E. Macron le mardi 16 avril : "Alors oui nous rebâtirons la cathédrale Notre-Dame plus belle encore et je veux que ce soit ACHEVE d’ici cinq années, nous le pouvons." https://www.youtube.com/watch?v=63wvbkTtVD0)
1 an plus tard, on répète que le délai sera tenu, et on précise (Général Jean-Louis Georgelin, ça vous rappelle quelque chose ?) "Cette date n'est pas celle de la fin des travaux, mais celle à laquelle la cathédrale devrait être rendue au culte catholique".... https://www.europe1.fr/societe/reprise-du-chantier-de-notre-dame-nous-ferons-tout-pour-respecter-les-delais-3964642
Et AUCUNE relance/question du journaliste. C'est passé crème......
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Nielda
Lorsque je décide de partager certains articles sur Facebook - comme celui-ci - je n'ai pas d'image qui s'affiche lors du partage. Seulement le titre. Et cela réduit beaucoup la visibilité.
Une explication de quelqu'un qui s'y connait en informatique ?!
(Cela ne concerne pas que des articles de ASI.) -
Ervé
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Maud
Cette députée avait déjà acquis une certaine notoriété en tant que présidente de la commission d'enquête de l'assemblée nationale sur l'affaire Benalla. Naufrage total ! Comme quoi on oublie vite mais elle reste fidèle à elle-même.
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bernardpalissy
"se servir en masques en fonction de leur budget"... j'ai honte pour eux.
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permanent waves
On semble découvrir aujourd'hui que les pharmaciens (iennes) sont avant tout des commerçants ! dans le domaine médical certes ( ce qui leur confère une certaine grandeur ) mais faire du commerce ( et donc du profit ) c'est leur métier.
S'ils peuvent en faire sur des masques en les vendant 20€ plutôt que 5€, ils ne vont pas se gêner !
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Kao
Le dévouement des couturières, professionnelles ou pas, qui fournissent depuis le début des masques, des blouses en quantité industrielle est admirable, et je pense que ce pays tient encore debout, malgré l'incurie de notre gouvernement, parce qu'une grande partie de la population a fait preuve d'une solidarité extrême.
Mais je pense que le bénévolat ne devrait pas autant pallier aux défaillances de l'Etat. Dans une société qui se respecte, l'Etat aurait payé des couturières et effectué des distributions de masques gratuits.
Je partage un post Facebook qui résume bien à mon sens le problème de ces couturières bénévoles.
Bonjour Facebook !
Bon... faut qu'on cause.
Ca fait des semaines que je bouillonne et depuis quelques jours je n'en peux plus, alors que le covid fait couler tant d'encre et de salive, y'a un sujet que je trouve extrêmement grave, et dont PERSONNE ne parle nulle part.
L'état il a rétabli l'esclavagisme pour les couturières, ou bien...?
Sans blague. Je gravite dans le milieu de l'artisanat et des petits créateurs, alors autour de moi il y a pas mal de couturières, toutes des femmes, qui sont indépendantes, souvent sous le statut de la micro entreprise. Toute l'année elles fabriquent des petites collections de vêtement, de bijoux, ou proposent leurs services et d'habitude elles s'en sortent même si pour beaucoup le quotidien est assez précaire.
Quand la fermeture des commerces non indispensables a été décrétée, puis le confinement généralisé, elles ont perdu toute source de revenus, elles n'ont pas le droit au chômage évidemment puisqu'elles sont indépendantes et si certaines ont touché un peu d'aide c'est uniquement parce qu'elles ont fait un mauvais début de mois de Mars (il fallait avoir fait moins de 50% de son chiffre d'affaire de Mars l'année dernière pour espérer toucher le complément, or quand on est créateur le chiffre d'affaire dépend de trucs totalement aléatoires, comme la date des salons, donc d'une année à l'autre c'est difficilement comparable)... Bref. Elles étaient dans la merde pour la plupart, comme beaucoup d'indépendants ceci-dit.Sauf que j'en connais pas une seule qui a arrêté de bosser.
Très rapidement au début de l'épidémie, la question des masques a pris beaucoup de place dans le débat publique. Il n'y en a pas assez et malgré les essais de nos dirigeants pour noyer le poisson et essayer de faire venir des stocks d'un peu partout, c'était clairement pas suffisant.
Alors partout en France les couturières se sont mobilisées ! Au début du confinement j'ai vu un nombre incroyable d'appels à bénévoles lancés dans toutes les directions. Et la mobilisation a été carrément au rendez-vous, les couturières se sont assises derrières leur machine pendant des heures, mis leur famille de côté pendant ce temps là, elles ont pioché dans leurs tissus, dans leurs élastiques, dans leurs fils, elles ont utilisé leur électricité et elles ont produit des masques pour les soignants qui en avaient bien besoin. BEAUCOUP de masques. Vraiment BEAUCOUP. J'ai vu défiler régulièrement leur avancée sur les réseaux sociaux, « je couds mon X00ème masque ! », souvent des chiffres avec deux zéros. Va savoir à combien elles en sont aujourd'hui...A vingt heures tout le monde applaudit les soignants, puis on s'est rendu compte que tous les petits travailleurs, la caissière, l'éboueur, le personnel d'entretien... lui aussi risquait sa vie pour nous et méritait aussi un peu d'attention. On en a parlé aussi, trop souvent pas autant qu'ils le méritent, mais on en parle.
Les couturières ont fait des masques pour les soignants en priorité, puis pour beaucoup ensuite elles en ont fait pour toutes ces petites mains. Elles n'ont pas arrêté. Mais elles font leur boulot, celui qui leur permet de vivre au quotidien.Sauf que se sont les seules personnes autour de moi à exercer leur boulot sans être payées.
Ca m'a sauté aux yeux il y a une grosse semaine, quand une amie couturière a posté une video sur son compte instagram, elle faisait cette semaine là du bénévolat à l'hopital de Lille. L'hopital a aménagé toute une partie d'un batiment pour accueillir les couturières qui leur sont indispensables. Mon amie racontaient qu'elles étaient environ 40 couturières à venir quotidiennement pour coudre bénévolement, car après les masques, se sont les surblouses dont les soignants manquent. L’hôpital en a besoin de 6000 par jour.
Et là ça m'a frappé. 6000 surblouses par jour ! C'est énorme, on est sur une quantité presque (non, pas "presque") industrielle ! Ces couturières qui cousent pendant des heures, pour un service publique, sans être payées... mais y'a un sérieux truc qui cloche en fait !
Alors ok, maintenant on leur fournit le tissu, mais le fil, les aiguilles c'est souvent pour leur pomme et l'usure de leurs couteuses machines (qui prennent cher!) aussi, le temps de travail compte pour du beurre aussi. Et alors que la plupart ont déjà donné pour plusieurs centaines d'euros de matière première, tout cela ressemble a un sacré merdier ! A quel moment on fait bosser des gens gratuitement pour un service public ? Surtout quand le service réclamé est indispensable pour la santé de tous ! Je veux dire s'il y a bien un sujet sur lequel il ne faut pas faire d'économie en ce moment c'est bien là !Quand le bénévolat devient un système d'état on peut dire qu'on a touché le fond, non ? Parce qu'elles sont supers sympas les couturières, mais à quel moment leur empathie pour les personnes qui risquent leur vie, on décide qu'elle a une limite ? Je pensais bêtement que le « tout travail mérite salaire » était acquis de longue date maintenant, et qu'on aurait pas à revenir dessus. Bah si visiblement.
Alors ok, dans la précipitation, dans l'urgence, que tout cela se soit mis en place comme ça, injustement, c'est dégueulasse, mais bon, je peux comprendre. Mais là, un mois après, est ce qu'on peut pas ouvrir les yeux ?
Visiblement on peut pas.
Après avoir eu cette prise de conscience devant cette vidéo cette fois-là, j'ai rongé mon frein pendant plusieurs jours. J'aurai pas du, mais je savais pas trop comment amener le sujet, l'idée c'est évidemment pas de faire culpabiliser les couturières, car soyons clair, c'est beau l'élan de générosité qu'elles ont eu, et on devrait pas regretter un truc pareil. Puis j'ai eu ma mère, pas couturière du tout, au téléphone, elle vit en Picardie, et sa ville a lancé un grand appel au bénévolat pour coudre 30.000 masques pour en donner à tous les habitants. Ma mère y a répondu, on lui a donné un kit pour réaliser 50 masques (sans le fil dedans d'ailleurs). Alors j'imagine bien que certaines personnes (les couturières en fait probablement) vont en faire plus, mais si tu divises 30.000 par 50 ça fait 600 personnes qui vont passer plusieurs heures à bosser pour une mission d'intéret général sans être payées. Enfin à l'échelle d'une petite ville de Picardie quoi. On peut se questionner aussi sur la dangerosité de laisser autant de benevoles potentiellement porteur du virus sans le savoir, fabriquer des masques, mais c'est un autre débat. Le soucis c'est que le soir même je discutais avec l'amie couturière dont je parlais plus haut et elle m'apprenait que l'appel ne se limite pas à cette petite ville. En fait elles s'y mettent toutes. A Lille c'est un appel pour plusieurs centaines de milliers de masques cousus bénévolement qui est lancé.
Et les couturières commencent à être vénères.
Tu m'étonnes. Parce que Lille qui a quand même le budget d'une grande ville, dans un ancien bassin textile où les couturières ne manquent pas, qui fait un appel au bénévolat, franchement, c'est du foutage de gueule non ? Lille peut pas faire un appel d'offre ? A quel moment on se dit que peut-être toutes ces femmes (parce que c'est quasi toujours des femmes, hein) elles méritent un SALAIRE pour ce qu'elles font ? Pour la mission primordiale qu'on leur demande ? Je veux dire, c'est leur boulot ! Une heure à coudre des masques c'est pas une heure de perdue comme dans les autres boulots ? Une heure qu'elles ne passent pas sur leurs futures collections, dont elles vont avoir cruellement besoin pour pas se retrouver sans un sous à la sortie du confinement, une heure à ne pas s'occuper de leur famille, une heure qu'elles passent à coudre des masques ça a moins de valeur qu'une heure à faire une autre profession ? Et puis franchement je suis pas couturière mais le rectangle plissé là, j'ai avis que les enchaîner pendant dans heures ça doit pas être le boulot de couturière le plus stimulant qu'elles ont fait. Franchement je dois reconnaître que ça me donne pas du tout envie, à moi.
Tu sais ce qu'elles ont eu les couturières comme récompense pour ce boulot ? Des médailles virtuelles. Super.Pour info, la ville de Roubaix, pourtant pas la ville la plus riche du coin, a trouvé le moyen de rémunérer les couturières, elle, comme quoi, on peut.
Petite précision que je rajoute alors que mon post commence a être partagé massivement, je ne dis pas que le bénévolat c'est mal, parce que clairement, c'est bien, mais on est passé de couturières qui se donnent pour des individus : un masque pour le voisin pharmacien, un maque pour la soeur caissière, un masque pour le copain infirmier, et pour ce cousin sage-femme, etc... À des institutions et des entreprises qui considèrent que ça devrait être gratuit aussi pour elles. Oui pour proposer du bénévolat quand on est le bénévole, non pour réclamer des bénévoles quand on est pas une association a but non lucratif et qu'on a les moyen d'embaucher ou de payer un produit. Non pour le bénévolat quand on "passe commande" de plusieurs centaines ou milliers d'articles. Surtout quand l'argent c'est celui de l'état à une époque où les vannes sont ouvertes massivement pour tout le reste. J'imagine que lorsqu'on fait fabriquer de nouveaux respirateurs, on trouve ça normal de libérer le budget pour.
Et c'est pas fini.
Depuis quelques jours je vois passer leur posts, et le ton change, elles en ont ras le bol. Je les comprends. La plupart continuent à trouver normal de travailler bénévolement pour les soignants, mais certaines ont commencé, quand elles ont réussi à canaliser un peu le manque de masques, à en proposer pour les particuliers, car il y a évidemment aussi une grande demande. Elles ont alors proposé de vendre leurs masques...
Petit aparté que je rajoute ici, vous êtes nombreuses à dire "okay pour continuer à faire des masques pour les soignants, mais on va pas travailler gratuitement pour les particuliers et les entreprises". Mais il y a un soucis. "Les soignants" c'est une catégorie PROFESSIONNELLE, "les soignants" ce sont des gens qui sont payés (enfin y'aurait surement à dire là aussi) par un employeur et cet employeur c'est à lui normalement de payer pour les protections qui sont liées à la dite profession. En réalité ça devrait être beaucoup moins logique de les aider bénévolement que de le faire pour des particuliers, pour des individus (dans lesquels il y aussi des soignants, vous voyez la nuance ?). Réfléchir si on veut faire du bénévolat au cas par cas (oui quand c'est un aide soignant qui demande pour son equipe, ou cette famille que je ne connais pas mais qui n'a clairement pas les moyens de s'offrir des masques...) Mais clairement dire non quand la demande vient d'une structure, de l'employeur d'un corps professionnel tout entier, quand on demande pas "un" masque, ou deux ou douze, mais des centaines, des milliers...
Mais bref. Les couturières en sont venues à mettre un prix sur leurs masques et à le proposer à ceux qui sont en demande. Et là le drame !
Elles se font insulter de toutes parts par des abrutis qui leur reprochent de se faire de l'argent sur le dos de la crise ! PARDON ?!? Surtout que beaucoup d'entre elles, ne se payent même pas sur le prix proposé, tout juste se remboursent leur matière première et les charges, celles comme l’électricité, ou celles qu'elles auront à payer à l'état à partir du moment où elles vendent leur produit. Mais quand bien même elles se feraient un peu payer leur travail, où est le soucis ?!? Est ce que les mêmes abrutis s'attendent à ce que le boulanger leur file leur baguette gratuitement aussi parce que c'est la crise ? Je dis plus haut au couturières de voir au cas par cas si ça vaut le coup en son âme et conscience de faire du bénévolat, mais clairement une partie de la population se croit l'exception a qui tout est dû.On est sur l'exemple même des petites travailleuses indépendantes, le genre de personnes qui vous rendent fiers quand vous leur achetez quelque chose, parce que vous faites marcher le monde dans le bon sens, parce que lorsque vous leur donnez un peu d'argent vous êtes certain d'aider une famille à vivre plutôt que d'enrichir des gros actionnaires. Et ce sont sur ces personnes là, qui se démènent depuis des semaines, sur lesquelles des abrutis choisissent de frapper. Bravo.
Dans l'indifférence générale.
Alors je suis certainement pas la mieux placée pour parler de tout ça, pour vous parler de leur quotidien, mais je vois que les posts qu'elles commencent à partager ne font pas vraiment de bruit, que les commentaires sont occupés majoritairement par elles mais que ça ne se propage pas beaucoup plus loin. Alors moi qui ne suis pas concernée, je voulais juste en parler, juste essayer aussi de dire « moi non plus je ne trouve pas ça normal ». Et si je peux ouvrir les yeux de quelques personnes qui n'ont pas de couturières dans leur entourage au passage, et qui arrivent à aller au bout des romans que j'écris, tant mieux. Parce que ce problème est je crois vraiment plus grave qu'il n'y paraît. Parce qu'on se pose tous les questions sur l'après confinement, parce qu'on a tous peur que pour sauver l'économie qui s'est cassée la gueule pendant deux mois, on perde des acquis sociaux acquis depuis des siècles. Oui, vous pouvez avoir peur, visiblement on attend pas le déconfinement pour ça. Le bénévolat en système ce n'est pas juste. Ce n'est pas bien. Arrêtons le massacre.
EDIT : depuis que j'ai écrit mon message, la ville de Lille a commencé à payer des couturières professionnelles. On m'a parlé d'un tarif de 1.20€ par masque. N'étant pas couturière je ne sais pas le temps que cela demande et je ne sais pas calculer si ce prix couvre un smic horaire, une fois enlevé le prix de l'usure de la machine professionnelles, des aiguilles et du fil, de l'électricité et surtout les charges dues à l'état sur leur chiffre d'affaire...?
https://www.facebook.com/valentine.daquai/posts/10157576996924032
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clomani
Cette jeune Agnès est vraiment insolemment bourge et terriblement conne ! Aussi conne que son maître...
En effet, hier en apprenant qu'ils allaient être vendus hier, j'ai approuvé cette phrase aperçue sur twitter : "vendre des masques en période de COVID 19, c'est vendre des bouées à des naufragés en train de se noyer"...
J'ignorais que le prix serait "selon la qualité"... Je pense à la copine Gilet Jaune qui en a cousu des tripotées, avec du tissu jaune à l'extérieur, ou selon nos choix, en wax... qu'elle a donnés. D'autre part, j'en ai commandé ( 6€ le masque) des "normés AFNOR" à une entreprise de fabrique de bas/collants etc. des environs de Castres, qui redonne une partie des gains à la recherche médicale... et a pour l'instant redistribué + de 120 mille Euros justement à la recherche. Je vais leur faire de la pub tiens... www.missegle.com . C'est moins généreux que toutes les cousettes volontaires et bénévoles qui se sont mis sur leur machines à coudre... mais ils ont eu l'idée il y a un mois...
Est-ce qu'on peut en commander avec des imprimés rigolos genre Macron qui dévisse de sa place de 1er de cordée ? Ou avec la barbe bicolore d'Edouard Philippe ? Pour les manifs d'après déconfinement... Tous déguisés en Edouard ou en poudré qui tombe ? Ou alors avec un profil de keuf raciste... qu'on vendrait aux gens des quartiers...
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Ke-sais-je
On nous rappelle que la petite Agnès est H.E.C et Enarque.
ça confirme l'improbable innocence de " l'Agnès " de l'Ecole des Femmes ...
On l'a qualifiée de Secrétaire d'Etat à la Spéculation ; un autre de " trader de banlieue " ( de banlieue bourgeoise ).
Quand j'étais petit, on me disait que n'importe qui pouvait devenir ministre ( ou Secrétaire d'Etat). Je commence à le croire.
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Konovalov
Même en adoptant sa logique ça ne tient pas: le coût de revient final doit être intégré dans la recherche d'innovation, y compris quand il s'agit de santé publique dans la répercussion de la prise en charge. Ils persistent avec leur logiciel foireux...
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Prométhée
Pannier-Runacher a réussi, en deux interventions, le prodige de devenir (à mes yeux, en tous cas) LE visage de l'horreur macroniste.
Ah non, faut pas exagérer, la "leader" incontestée reste la Punicaud quand même ! Impossible de la "challenger" celle-là... ;-)
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DéLecteurdeVraiThé
Un article en Javanais pour tout expliquer de la grande mascarade
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andreegaly3-130841 andreegaly3
Les dessous des premiers de cordée hors sol, mais ça on l'a compris depuis longtemps !
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Konovalov
Les premiers de cordée...
Accrochez-vous au pinceau, j'enlève l'échelle.
Au dernières nouvelles, il semblerait que même le pinceau n'existe plus!
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Konovalov
J'enrage...
Si les masques de fortune sont efficaces, pourquoi un confinement si long?
Si les masques de fortune ne le sont pas, pourquoi un confinement si court?
Attendre deux mois des masques conformes pour finalement utiliser ce qu'on avait sous la main dès le début...
J'oubliais: entre temps, au prix d'un effort surhumain, les équipes soignantes sont parvenues à hausser les capacités de prise en charge au niveau où elles auraient du se situer dès le départ.