Bruanne 6 juillet 2016 à 22:21
Hier, j'ai pas eu l'occasion de me connecter à @si, c'est donc mercredi soir que je découvre la chronique de mardi matin.
Et j'aurais bien regretté de ne pas la lire !

D'abord parce que le sujet est sérieux.
Aussi parce que le ton est sincère, et que j'apprécie beaucoup que DS laisse tomber la posture critique ( ne pas se méprendre, ce n'est pas péjoratif " posture critique", simplement je ne sais pas décrire son positionnement habituel) et qu'il écrive en direct de son ressenti.

J'adorerais qu' une fois par semaine, au lieu de la "posture" indiquée plus haut il nous oriente simplement vers un truc vu, lu, entendu et qui vaut le détour d'après lui.
Qu'il nous parle du plaisir d'être dans un train qui arrive à l'heure.
Parfois, d'ailleurs, louanger le bon boulot est une manière très efficace de critiquer le mauvais : en plus de signaler en creux ce qui manque à certains, ça rappelle que ça existe, donc c'est pas une utopie, donc ceux qui ne le font pas sont bien dans un choix de ne pas faire correctement.

Bref, merci.

admin 6 juillet 2016 à 13:38
Une taxe exceptionnelle (et reconduite, bien sûr) sur les profits des profiteurs, les banques, les actionnaires, les rentiers, les héritiers, 1 ligne de code dans le logiciel des chambres de compensation pour financer l'accueil de leurs victimes.
Simple et efficace.
Beaucoup plus que de demander aux précaires de se pousser un peu pour faire de la place aux miséreux...

Nino 5 juillet 2016 à 18:05
Sommes-nous à bord de l'Aquarius, ou à bord du Transperceneige ?...

DéLecteurdeVraiThé 5 juillet 2016 à 17:34
On ne se bouscule pas au portillon pour écrire quelque chose sur cette belle chronique qui nous appelle à donner ce que nous avons en superflu (un appel que je répète ici)

Il est certain qu'il est plus facile de vilipender ce Valls qui tire du 49-3 plus vite que son ombre et finit d'abattre la démocratie française déjà moribonde tandis que Cambadélis joue les outragés et tente de se convaincre

Ici avec cette tragédie, on hésite, on n'ose pas et avec les mots, on y va comme sur un champ de mines ("gey iber verter vi iber a minenfeld" Abraham Sutzkever)

Al Ceste 5 juillet 2016 à 10:34
Aucun Africain ne quitterait son pays pour venir dans le froid la pluie et les insultes (et dans des conditions épouvantables) si l'Afrique n'était pas livrée aux guerres civiles et aux prédateurs en tous genres, néo-colonialistes à la Bolloré ou made in China* activement soutenus par leurs dirigeants pillards et amis-de-la-France qui le leur rend bien.

(Hier, il faut question de Rocard, dont on sait maintenant les accointances avec Eyadema et cie. De Mitterrand, qui commit une de ses rares boulettes en nommant l'honnête Jean-Pierre Cot à la Coopération. Les satrapes africains firent vite comprendre à Mimi quelle faute de goût c'était. Cot démissionna, fut remplacé par le très honnête (très) et coûteux Christian Nucci – une sorte de Cahuzac avant l'heure – et Mitterrand jr, alias Monsieur Papamadit fit vivre à la Françafrique ses plus belles heures)

*
http://misentrop2.canalblog.com/archives/2016/05/27/33871376.html

Ervé 5 juillet 2016 à 10:32
Et pendant ce temps-là, au grand concours annuel des mangeurs de hot dogs, organisé tous les 4 juillet à Coney Island, Joey "Jaws" Chestnut de San Jose (Cal), a établi un nouveau record, en ingurgitant 70 de ces pain-saucisse-moutarde en 10 minutes !

ALICE De CIAN 5 juillet 2016 à 10:26
bravo pour cette chronique et merci tout simplement.

vous avez oublié qu'à France Inter ce matin M. Cohen a préféré réécouter pour la Nième fois le grand penseur Daniel Cohn Bendit qui visiblement traîne plus dans les couloirs de la station que thomas Legrand.... selon Alex Wizo... l'humoriste écoutable qui valait bien les leçons de Monsieur Dany chroniqueur à Europe 1!

isaton 5 juillet 2016 à 09:50
Bravo !