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  • Coin-coin l'Araignée 2·0 9 décembre 2017 à 23:40
    « L’accord de proximité est bien vivant et est appliqué inconsciemment quand l’adjectif épithète est placé avant le nom : ainsi nous disons naturellement, de nombreuses filles et garçons », souligne la linguiste Anne Abeillé, professeuse au sein du laboratoire de linguistique formelle et coordinatrice avec Danièle Godard de la Grande grammaire du français. https://recherche.univ-paris-diderot.fr/actualites/lecriture-inclusive-na-pas-fini-de-faire-couler-de-lencre

  • act 25 novembre 2017 à 15:08
    Toute ces histoires à propos du masculin et du féminin dans la langue française sont des vraies conneries pour amuser les gogos et les bobos pendant qu'on réduit leur cerveau et qu'on leur fait les poches .

  • ceci n'est pas un pseudo 25 novembre 2017 à 09:53
    <<-->>

  • Coin-coin l'Araignée 2·0 23 novembre 2017 à 00:49
    Le Monde correct28 mars 2017 : Nous n’avons reçu aucune plainte pour ce titre : « Russie : l’opposant Alexeï Navalny et des centaines de personnes arrêtées lors d’une manifestation ». L’accord proche n’a pas l’air de déranger lecteurs et lectrices…
    Sandra Benedetti : Parce qu'il est logique. Les personnes sont + nombreuses et sont en dernier. Mais ça reste une rude bataille ds les rédacs.
    Frédéric Marchal : Accord de proximité : [OK de la main] [pouce levé]
    S. B. : Eh oui. Mais ce n'est pas accepté dans toutes les rédacs quand un mot féminin vient après un masculin.
    L. M. c. : Et si vous essayez en douce ? [détective privé]
    S. B. : Déjà fait. Marche pas. [Visage avec un chapeau de cowboy]
    L. M. c. : Les arguments finiront par l'emporter.

  • Coin-coin l'Araignée 2·0 22 novembre 2017 à 23:39
    [quote= Titiou Lecoq, SlateFR, 29 septembre 2017.]
    J['ai] très peu utilisé [le point médian] pour l’instant, mais je me dis qu’il y a matière à s’amuser, à triturer un peu la langue française. Par exemple, le point médian pour des insultes, j’adore, « [...] », « [...] » – ce qui ouvre la possibilité à la création du mot « [...] », qui lui-même pourrait engendrer « [...] ».

  • Ervé 10 novembre 2017 à 13:49
    Une enseignante poste ceci sur Twitter, et commente :
    Quand je corrige ça en troisième, vous m'excuserez tous, mais #EcritureInclusive #AccordDeProximité et autre #PointMédian, j'en ai rien à foutre ! Qu'on revienne à l'essentiel ! Bordel ! #GrosseColère #Fatigue.

  • Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 8 novembre 2017 à 17:11

    Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  • killerz47 8 novembre 2017 à 16:57
    Juste pour la forme : si demain, des enseignants décidaient d'enseigner la théorie de la création ou de diaboliser l'avortement, les encenserait-on ? Si on dispose d'un programme commun, ce n'est peut-être pas pour rien. Donc bravo à cette initiative (ou plutôt, à cette déclaration), mais attention aux chimères qu'elle pourrait engendrer ...

  • jean-françois veyleau 8 novembre 2017 à 16:34
    Et pourquoi pas une troisième forme d'accord avec un tréma? Cela évite d'avoir à choisir et signifie bien la présence des deux genres.

  • panda 7 novembre 2017 à 19:59
    Au collège, je découvrais la notion de neutre en Anglais, Latin et Allemand. Quelle admirable conception du langage (et donc de la pensée...).
    Depuis, je me ris de nous voir, francophones, nous débattre dans la boue romantique de notre langue maladroitement sexuée.
    Pauvres de nous.

  • DéLecteurdeVraiThé 7 novembre 2017 à 18:59
    Je reposte car je suis étonné par le nombre des commentateurs qui se révoltent contre les libertés demandées pour la langue

    Ces 314 profs et proffes prennent des risques car ils ont en face d'eux quelque chose d'insurmontable : le conservatisme le figisme la cohorte des bien-pensants qui bien qu'ils fassent leurs 10 fautes sous la correction du correcteur Windows (ne parlons pas des centaines sous celle de Pivot) sont attachés viscéralement à ce mode d'asservissement qu'est la complexité de la langue française qui fait que des gens comme moi dont ce n'est pas la langue maternelle devraient mériter une reconnaissance éternelle pour être arrivés tant bien que mal à faire leurs 20 fautes

    Plutôt que de vouloir défendre cette langue en la gardant dans le chloroforme, faîtes la vivre, triturez-la à la suite de Vian, Perrec et autres car elle n'en sera que plus belle et plus facile pour ceux qui l'apprennent de l'extérieur, soit parce qu'ils sont étrangers, soit parce qu'ils n'ont pas l'environnement favorable. Et tout d'abord, retirez lui les couilles à cette langue qui met trop l'accent sur le masculin

  • evemarie 7 novembre 2017 à 18:50
    et meme ELLES et ILS (changer le sens des mots aussi devraient être fait), souvent seraient super, ras le bol d être derrière, c'est pas parce que depuis 10 jours le féminisme a le droit de s'exprimer qu'on doit continuer a le maintenir, il faudra des décennies de ELLE devant IL pour nous rendre un peu d'honneur, de remerciement pour la création, l'éducation et la vie de l'humanité , plus tout notre boulot non ou mal payé, la violence physique , la jalousie insupportable et mortel des mâles, leur frustration violente, et la course toute la journée, sans jamais aller au cafe boire un coup au bar...

  • Carnéade le Fataliste 7 novembre 2017 à 18:22
    Le plus amusant demeurant d'aller associer l'affaire Weinstein, cet harceleur anglophone, à ce combat.

  • Diogene 7 novembre 2017 à 17:37
    Je me tamponne pas mal de cette règle. Et je trouve les raisons avancées par les signataires plutôt nulles, sauf celle de "au choix" qui a le mérite d'être honnête et d'éviter que des pédants passent deux heures à se poser la question.
    Une véritable innovation aurait été la mise en place d'un genre neutre.

  • Arkeen 7 novembre 2017 à 16:09
    On rappellera à toute fin utile que les notions de masculin et de féminin n'ont pas été pensé comme tels à la base, mais qu'ils dérivent de règles différentes, notamment d'animé et d'inanimé, qui n'avaient alors pas grand-chose à voir avec le sexisme ou le machisme.

    Le Youtubeur Linguisticae en a récemment parlé : https://www.youtube.com/watch?v=Aq2XboD-q_U (le sujet de base étant le débat autour de l'écriture inclusive)

  • Oblivion 7 novembre 2017 à 14:02
    Slate.fr choisit l’accord de proximité :
    Dans le sillage des 314 signataires de l'appel à ne plus enseigner que «le masculin l'emporte sur le féminin»,
    la rédaction va revenir à une règle plus juste issue du latin et appliquée en leurs temps par Corneille et Ronsard.

  • Faab 7 novembre 2017 à 13:46
    Ca peut marcher si ce n'est pas suivi, qu'il n'y a que 314 profs qui font ça ?
    Ca risque de perturber les élèves si ce qu'on leur dit une année n'est plus valable celle d'après.

  • ceci n'est pas un pseudo 7 novembre 2017 à 13:43
    Avec un esprit bien tordu et jouant avec les mots, et pratiquant l'espagnol, je me suis demandé si on ne devrait pas faire comme les hispanophones : préférer la forme active à la forme passive : ce qui concerne les filles et les garçons, au lieu des filles et des garçons concernés. La beauté des filles et des garçons plutôt que"...ils sont beaux".
    Langue espagnole dans laquelle on peut vraiment le dire, le masculin prime sur le féminin. Il n'y a pas d'homophonie comme en français ( concerné, concernées, concernés, etc..) : los niños y las niñas estan interesados. Mais ce genre de phrase est anachronique. On dira plutôt " muestran interés".

    vive la forme active, renonçons à la passivité !

  • nobody 7 novembre 2017 à 13:23
    prochaine étape incontournable : [LES DROITS HUMAINS

  • GPMarcel 7 novembre 2017 à 13:17
    Et hop!
    La drosophilie a toujours lieu sur tous les champs de course.
    Elle est même admise avec des obstacles.
    Le PMU (le Parler Maternel Utilisable) prends les paris.
    Quant aux gains l'approche de Noël va nous conforter dans l'idée que ce ne peut être que miraculeux.

    Et si Dieu était femme et noire. Diantre!
    Voilà qui changerait.

    Maman, j'ai faim, j'ai les crocs.
    On ne dit pas crocs, mais dents.
    Mais maman, je n'en ai plus.
    Suis-je bête, c'est vrai!


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