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mouffette
La propagande continue :
http://rebellyon.info/De-la-fabrication-d-un-mythe-la.html
Extrait :
Quand Le Progrès reprend l’info dans son édition papier du jeudi 4 novembre, les dégâts ont subitement été multipliés par 100 et ils titrent « Plusieurs centaines de milliers d’euros de dégâts au campus de Bron ». S’apercevant de leur empressement un peu trop délirant, l’article a été modifié sur internet.
La version papier sera plus difficile à corriger. -
mouffette
Un homme victime d'un tir de flashball en pleine tête porte plainte.
http://donjipez.wordpress.com/2010/10/26/manifs-a-lyon-blesse-au-flash-ball-il-porte-plainte/
Paroles de lycéens, paroles de "casseurs":
http://rebellyon.info/IMG/mp3/lesfillesd_oa5e2.mp3 -
Antoine
Il me semble qu'il y a une coquille dans l'article de Daniel Schneidermann : "Les parlementaires du PC et du Front de Gauche demandent une commission d'enquête."
Il me semble que le PCF est inclus dans le Front de Gauche, qui regroupe également le Parti de Gauche.
Un détail, mais je sas qu'ici on aime bien couper les cheveux en 4 :-) -
alain-b
policiers infiltrés démasqués -
Jean-François LAUNAY
Sur le sujet des infiltrations policières, un récent "Vite dit" donne la parole à un commissaire retraité qui affirme : "Aucun syndicat de police dans lesquels la gauche est largement représentée ne laisserait passer des instructions de cette nature."
Faire passer Synergie et Alliance - ceux que la télé interviewe à tous les coups, toujours prêts à justifier toutes les bavures - comme des syndicats de gauche est assez hardi.
Faut-il rappeler qu'une partie des policiers a saboté l'action de Daniel Vaillant avant 2002 ? -
Mlemaudit
http://fr.news.yahoo.com/64/20101027/tfr-policiers-infiltrs-parmi-les-manifes-a2f96e4.html
ça y est, le prefet du Rhone a reconnu... -
nonolimit
Bonjour,
Je me suis posé une question http://www.lepost.fr/article/2010/10/25/2281100_manifestations-et-si-certains-policiers-etaient-hors-la-loi_1_0_1.html pour laquelle je n'arrive pas à avoir de réponse.
Se mettre des autocollants CGT sur le blouson d'accord mais mettre des cagoules (interdites par la loi pendant une manifestation) n'est-ce pas pousser l'infiltration un peu loin? Après tout, lancer mollement une ou deux pierres (des fois que les casseurs aient des doutes) doit bien faire partie de la couverture du policier.
On me signale qu'aucune photo de manifestants ayant essayé d'infiltrer les policiers n'a été révélée. -
mouffette
Désolée de pointer à nouveau mon vilain museau de mouffette "spammeuse", mais je tiens juste à partager le lien de cette vidéo, courte "interview" avec des vilains casseurs bloqués place Bellecour jeudi dernier :
http://www.dailymotion.com/video/xfbq7i_manifestation-lyon-place-bellecour_news
[bizarre : seul apparaît le site de dailymotion... je vous colle l'adresse avec des espaces que vous devrez effacer : http://www. dailymotion.com/video/xfbq7i_ manifestation-lyon-place-bellecour_news ]
Je tiens également à citer le commentaire, que j'avoue avoir écrit (honte à moi) :
Juste un commentaire pour signaler que cette interviewer, sous sa jolie petite voix, son ton apparemment naïf, sert la propagande et en est victime. Dans cette vidéo, elle cherche à manipuler et à faire culpabiliser ces pauvres jeunes. Ses questions sont puantes. La fille lui raconte des horreurs, se dit "avoir la haine", et l'interviewer n'a que ça à répondre, une question absurde après ce qu'elle a entendu : "mais la haine de quoi, la haine de qui ?". Honte aux journalistes ! Lavage de cerveau ! Voilà comment les journalistes travaillent !
J'avoue aussi ne pas pouvoir sortir cette journée, et plus généralement la semaine dernière, de ma petite tête de mouffette. J'en fais même des cauchemars. Je dois être atteinte d'hyper-sensibilité. Je suis donc une mouffette mauviette qui rêve.
Je me sauve. -
Winston Smith : misanthrope
Graves incidents en fin de matinée à la bourse du travail d'Alès:
3 personnes cagoulées non identifiées tournaient autour de la bourse du travail en mégane bleue alors que les camarades de la CGT était là. A la demande de renseignement de la part des syndicalistes, ils se sont enfuis, ont été rattrapés et pris en photos et vidéos. Ils ont alors riposté en agressant physiquement et verbalement le responsable de l'UL CGT avec un blocage du bras. Puis ils se sont enfuis après avoir mis leur gyrophare sur la mégane bleue. Le syndicaliste a une ITT de 2 jours, il est allé en sous préfecture pour être reçu dans l'après midi puis est allé porter plainte au commissariat accompagné d'une vingtaine de militants.
LA C.G.T ALES
Bourse du Travail
7 Place Georges Dupuy
30100 ALES
Tél : 04.66.30.04.57
Fax : 04.66.30.10.37
E-mailcgt.ales@wanadoo.fr -
Bruanne
Le militant d'extrême gauche extrêmement connu et extrêmement recherché est là depuis extrêmement longtemps.
Selon une source policière, il aurait causé des dégradations matérielles sur la porte de la Bastille avec sa fourche en 1789, et il aurait commis d'autres violences la même année aux tuileries puis à Versailles. Un vrai casseur !
En 1830, il était sur les barricades, au fond, derrière une femme aux seins nus. Aucune morale !
En 1848 il défonçait les pavés faubourg saint antoine et s'en prenait à la maréchaussée, quel exemple pour la jeunesse, franchement !
En 1870, les pavés étaient encore entre ses mains, et il est un des rares communards à avoir échappé à la mort et au bagne, ce qui lui a permis de revenir en 1936, où il a bien failli se faire serrer et n'a du sa survie qu'à sa bicyclette
Je ne vous raconte même pas pendant la deuxième guerre mondiale, sous prétexte de résistance il s'en est pris aux rails du TGV à Tarnac ou au pont de la rivière Kwaï, je ne sais plus, il est tellement partout !
Pendant la guerre d'Algérie, il s'est lui-même électro-dynamisé les empreintes génitales ( non encore fichées), juste pour faire le malin et prétendre ensuite qu'il y aurait eu de la torture.
En 68, il était prêt à violer les jeunes filles d'un pensionnat, ...
alors si la police met ENFIN la main sur lui, bein ça fera un sacré danger écarté pour le pays moi je dis ! -
Gavroche
Je voulais vous faire partager ceci, que je viens de lire sur le site de Médiapart, et que je copie-colle, puisque le site est réservé aux abonnés :
La société dans tous ses états
Garde à vue des six lycéens de Fontainebleau : un couple pris dans les violences policières
24 Octobre 2010 Par drapher
L'un des six lycéens mis en examen pour rébellion et agression contre les forces de l'ordre, le 12 octobre à Fontainebleau, a maintenu devant le juge pour enfants avoir repoussé une grenade lacrymogène pour protéger un bébé dans une poussette. Les parents du bébé, Emmanuel et Myléna, racontent ce qu'ils ont vu et vécu lors de la dispersion de la manifestation lycéenne. Ils confirment ce qu'a dit le lycéen et veulent témoigner devant la justice. Selon eux, sans ce jeune homme, leur bébé aurait dû être blessé ou peut-être pire : les forces de l'ordre ont tiré des grenades lacrymogènes et des flashballs sur la foule, au hasard.
P.H : Pour quelle raisons étiez-vous présents, votre compagne, votre bébé et vous-même au moment de la dispersion de la manifestation ?
Emmanuel : «On devait aller en centre ville, à la banque faire des papiers. On s’est retrouvé encerclé au bout de la rue, il y avait les CRS des deux côtés, on ne pouvait pas passer. Ca tirait pas encore, c’était tendu, il y avait des charges de CRS au moment où on est arrivé. Ils couraient contre la foule, au croisement de la rue, on a été obligé de partir, avec la petite. Il y avait des personnes âgées. Un groupe de CRS a fait tomber par terre une personne âgée.»
P.H : Quand les gaz lacrymogènes ont été lancés, qu’est-ce qu’il s’est passé ?
«On a été repoussé avec la foule quand ça chargeait. Après on avait des choses à faire, on avait rien à voir avec ça, on a continué, et là, ça a tiré directement dans la foule. La première fois c’est tombé à 2 mètres, deux mètres cinquante de nous. La deuxième grenade c’est un lycéen qui s’est mis devant (ndlr : le lycéen mis en examen), sinon c’est la poussette et notre fille qui la prenait. Quand j’ai vu le premier tir, on a reculé, je suis parti directement voir les CRS. J’avais des preuves que je venais pour aller à la banque, je leur ai montré et on m’a répondu «ferme ta gueule, dégage de là», mot pour mot. Je leur ai dit que ma fille était bloquée dans les gaz lacrymogène, ils m’ont dit de faire le tour. C’est pendant que je discutais avec eux qu’ils ont tiré une deuxième grenade. Quand je suis revenu vers ma compagne c’est là que j’ai vu une veste sur la poussette.»
Myléna : «Le jeune (ndlr : celui mis en examen) avait mis la veste sur la poussette pour protéger la petite des gaz, il s’est interposé, il a pris un flashball dans la jambe, et a relancé une grenade qui était à côté de la poussette, c’était soit lui soit la petite, il a préféré que ce soit lui.»
P.H Quand il a repoussé la grenade lacrymogène, il l’a fait comment ?
Myléna : «Il a fait un geste comme tout le monde l’aurait fait. Il a essayé de la dégager le plus loin possible de la petite.
Emmanuel : «S’il ne se mettait pas devant la poussette, c’est la poussette qui prenait le tir».
P.H : Les CRS étaient à quelle distance ?
Emmanuel : «Au début ils étaient collés, après ils étaient à quinze, vingt mètres.»
P.H : Les CRS pouvaient voir la poussette ?
Emmanuel : «Bien sûr, je leur ai dit, il y avait des lycéens qui leur ont dit «arrêtez, il y a un bébé qui passe». Quand on a voulu s’en aller, ils nous ont dit : «allez y, allez y, passez, passez, personne fait rien, on bloque», et au moment où on arrivait au milieu de la route, les CRS se sont remis à charger. Ils voyaient bien qu’il y avait une poussette. Et nous, c’est une coiffeuse qui nous a fait rentrer dans son magasin pour nous protéger.»
Myléna : «Les CRS se sont pris pour des cowboys. Les lycéens ils faisaient leur manifestation, ils étaient par terre, sur la route. C’est là que les CRS ont fait n’importe quoi. On a vu trois policiers qui passaient dans la foule et dès que quelqu’un les regardait à peine, ils leur mettaient des coups de bouclier, ils leur parlaient mal. Ils ont tapé un jeune devant tout le monde et il l’ont menotté.»
P.H : Est ce que vous témoignerez au tribunal pour le procès des lycéens mis en garde à vue ?
Emmanuel : «Moi , je viendrai. Si cette personne là n’était pas là ce jour là, ma fille elle se prenait une cartouche. Grâce à lui, on a réussi à empêcher le pire. Je suis obligé, je viendrai. Il a mis en quelque sorte sa vie en danger pour protéger ma fille. Il ne nous connaissait pas, on l’avait jamais vu. Il s’est mis en opposition, il s’est pris une flashball dans la jambe pour la protéger.»
P.H : Qu’est-ce que vous pouvez dire sur cette manifestation, pour conclure ?
Emmanuel : «Ils ont tiré sur la foule sans calculer, comme ça, il y avait un deuxième couple avec une poussette, elle est partie tout de suite aux urgences. Ce couple, ils se sont pris des projectiles que la police a jetés. Les jeunes se sont mis devant pour éviter qu’il ait un problème avec la petite, c’est les jeunes qui ont essayé d’aider, les forces de l’ordre, il n’y avait rien à faire. Les jeunes étaient solidaires, ils essayaient d’aider les gens par terre. Il y avait un jeune avec des marques au visage, qui saignait, entouré par un groupe de trente policiers et CRS autour de lui. Il y a une femme policier qui a braqué un lycéen avec son flashball qui venait voir pour son copain par terre, elle lui a dit «tu bouges pas ou je tire !» Ils sont restés au moins un quart d’heure à le taper. Les trois policiers qui circulaient dans la foule, ils regardaient les jeunes et les agressaient. Il y a un jeune qui ne faisait rien, adossé à un mur, un policier lui a mis un coup de bouclier dans la tête. A un moment les lycéens sont allés voir les policiers qui étaient devant la mairie et d’autres qui sortaient de la mairie, qui étaient derrière les portes de la mairie. Les policiers les ont insultés, leur ont dit "dégage, dégage". Ca tirait dans la foule, j’ai vu des personnes âgées qui pleuraient à cause des gaz. On se serait cru dans un film. On se sentait plus en sécurité avec les jeunes qu’avec les policiers. C'est grâce aux jeunes qu'on a pu rentrer chez nous.
Témoignage recueilli dimanche 24 octobre 2010 au domicile d’Emmanuel et Myléna, parents de la petite Océane, 12 mois.
la police "humaniste" de notre pays. -
Nino
Et voici le coup de pied de l'âne :
Le ministre de l'Intérieur dit dans Le Figaro qu'il s'agit de «rumeurs indignes qui circulent sur Internet et visent à salir l'honneur de la police».
Donc, si les JT n'en parlent pas, c'est que cela n'existe pas.
Et si les sites internets d'information en parlent, ce sont des rumeurs indignes.
CQFD :-( -
annek
ça c'est de l'info ! :
LA LOI DES CASSEURS. Il a voulu s’interposer. Faire un geste quand soudain la manifestation a débordé sous la pression des casseurs. Travaille-t-il dans cette banque? Est-il policier? Syndicaliste? Ou un simple citoyen qui n’en peut plus de la violence gratuite, qui empoisonne chaque fois davantage les cortèges ? Sous les yeux médusés des passants et des manifestants, le 16 octobre dernier près de la place de la Bastille à Paris, l’homme a fini par céder sous le nombre, tabassé à coups de barre de fer. Un peu partout en France, en marge des manifestations contre la réforme des retraites, de véritables scènes de pillages et de guérilla urbaine ont terni une nouvelle fois la forte mobilisation des lycéens. (Lucas Dolega/EPA/MAXPPP
et en plus ils ont des photos : http://www.lefigaro.fr/photos/2010/10/25/01013-20101025DIMWWW00568-24-heures-photo.php
Comme quoi, quand on veut vraiment être informés on trouve les bons témoins ! :) -
Ned
En dehors de tout témoignage personnel, je vous conseille de jeter un oeil sur cette photo reprise sur la page photo du Boston Globe "The Big Picture" sur les manifestations en France, c'est ici: http://www.boston.com/bigpicture/2010/10/france_on_strike.html (image 21)
Sous-titre: "Plainclothes police officers, right, try to detain a youth during a protest in Paris"
à savoir "Des policiers en civil (droite) essayent d'interpeler un jeune au cours d'une manifestation à Paris"
Plus que la police, c'est la photo qui interpelle: avec ces flics grimés en racailles (haha), mais trahis par leurs mitaines et leurs doudounes qui masqueraient bien des armures type CRS, et qui balancent du gaz au visage d'un dangereux anarchiste à béquille. Si preuve il doit y avoir de la provocation, celle ci est quand même énorme. Personnellement, je vois 2 autres Robocops en civil à l'arrière plan.
Un bel Arrêt sur Image. -
Tony A
Une représentant du syndicat Synergies-officiers (j'adore le "Synergies" ça fait très LOLF et RGPP...) a déclaré que le Ninja dont la vidéo a fait le tour du Ouebe était "un militant d'extrême-gauche extrêmement violent et extrêmement connu".
- Extrême-gauche, ça va de soi
- Extrêmement violent, aussi, même si M. Quatrebarbes a déclaré avoir reçu des coups qui ne faisaient pas mal. Et entre les paroles d'un policier et celles d'un manifestant 68tard attardé (excusez du pléonasme), y-a-pas foto !
- Extrêmement connu. Hé oui, bande de brèles ! Fini la clandestinité, nous sommes à l'ère de Facebook et de Twiter, et les militants d'extrême-gauche extrêmement violents Twittent extrêmement.
Ce policier extrêmement communicant, nous prend pour des extrêmement c... ! -
Bruanne
Bon, je suis complètement hors- sujet, mais je suis aussi complètement hors de moi.
Imaginez une famille de banlieusards en vacances. Papa et les enfants décident cet après-midi d'aller à Paris visiter la Cité de l'architecture & du patrimoine au Palais de Chaillot, pendant que je prépare mes cours pour novembre ( oui, je suis prof, donc privilégiée, payée à rien foutre, toujours en grève du coup je suis obligée de bosser pendant les vacances, cqfd, et Papa il est intermitttent du spectacle, encore un qui fout rien !)
Prévoyant, Papa a consulté le site, a téléphoné en fin de matinée, pour vérifier qu'il n'y a pas de souci. Et y'en a pas.
Puis pris Bus-RER-Métro.
Arrivés devant la porte, Papa a une surprise ! Il ne peut pas rentrer.
- Pourquoi ?
-Parce Monsieur Sarkozy va venir pour une inauguration.
- Et alors ?
- Non, sécurité, pas de visiteurs.
- Ah. Mais on n'est pas des terroristes, on veut juste voir une expo, ça tombe bien, votre métier c'est d'en montrer et là c'est un jour de vacances donc on n'est pas les seuls à en profiter pour faire des choses intéressantes.
- Oui, mais non.
- Et vous ne pouviez pas prévenir , sur le site, par téléphone ...?
- Non, on ne le savait pas nous-mêmes. On est désolés. Faut revenir un autre jour.
Papa était très très très énervé en me racontant ça par téléphone. Je le comprends.
J'avais déjà eu droit à une visite de Versailles, réservée, avec une classe, annulée pour cause de visite du même avec un dictateur d'un pays étranger, reçu en grande pompe, mais on ne m'avait pas prévenue, donc la classe avait pris le car puis on avait passé des heures dans les bouchons.
Et là je vois un Vite-dit selon lequel l'Elysée croyait qu'il était au Cap-Nègre alors qu'il était au Maroc, on sait plus trop, il fait des surprises comme ça. C'est très amusant.
Mais on ne doit pas avoir le même humour.
Alors, qu'il se fasse prêter tous les palaces et les yachts qu'il veut par des rois, des empereurs, des dicateurs, et qu'il y aille, loin, très loin, de l'autre côté de la mer, de l'Océan, dans l'espace même s'il veut, en orbite, mais qu'il arrête d'empêcher les enfants de se cultiver en se rendant à des expositions chez nous.
Merde à la fin !
Il me pique ma retraite, il me pourrit mon quotidien professionnel, il ruine l'hôpital où je suis soignée, il me fait honte et maintenant il pourrit même mes sorties et celles des gosses !
Remerde.
Bon, je sais que c'est complètement anecdotique, pas la moindre chance de mobiliser Aubry, Chérèque ou Thibault sur un truc comme ça vu que les retraites ils s'en tamponnent, mais je croyais bêtement que les privilèges étaient abolis. Je suis conne moi .
Merci de laisser les gros mots, c'est de la liberté d'expression ! -
joelle lanteri
la france a basculé dans un état policier ; les cambriolages chez les journalistes c'est la police sans aucun doute -
Yacobin
Je ne sais pas si un membre à déjà fait le rapprochement entre ce sketch et ces évènements mais ça mérite d'être mis ou remis. Juste pour dire que manifestement les infiltrations de policiers ça existaient. ;-)
"C'est vrai c'est ingrat la police parce que par exemple parce que je vois parce que les gens ils nous aime pas. C'est con parce que nous on est là pour les protéger. Eh bah remarquez les gens plus il y a de flics autours d'eux plus ils ont peurs. C'est flagrant c'est dans les manifs les gens ils ont peurs hein parce que nous on est là Bon. Eh on est obligé de taper Hein, on le fait pas pour le plaisir Hein, on est obligé Hein. Et en plus on est obligé de faire gaffe parce qu'il y a les fils des gradés, ils ont les cheveux long, on ne les reconnait pas et puis, il y a les appariteurs, c'est les mecs payé par la police en civil. Ils cassent des carreaux après on dit que c'est les étudiants tous ça alors on est obligé de faire vachement gaffe. Eh bah dit tu vois pas qu'on tape sur la gueule d'un flic Eh. Oh la vache, la crise Eh Et une fois c'est arrivé on a tape sur un flic.Oh la crise Eh ils ont dit que c'était une bavure t'aurais vu la gueule de la bavure Eh. Moi ça m'a passé l'envie de baver Ah je bave plus maintenant impeccable Non mais on est une bande de jeune on se fend la gueule."
Coluche Le flic 1975 -
Anthropia
A 6h30, à l'excellente tranche de 6h à 7h, on peut entendre au journal des résumés des affaires, quelques petites choses sur les manifs, etc., qui disent les choses, tout comme elles sont. Je n'ai pas l'habitude de cette tranche, mais c'est une vraie bouffée d'oxygène.
http://anthropia.blogg.org