bysonne 30 mai 2012 à 19:58
Ferrari et autres Pujadas et compagnie, je m'en fiche complètement. Je déserte un peu tous lémédias en ce moment, y compris @si, il me semble cependant beaucoup, même trop voir et entendre Copé ? Déjà la campagne de 2017 ? Copé largement aussi insupportable que le petit qu'on vient de virer.

C'est sans importance, mais il me semble que Valls portent des talons assez hauts, nan ? Lui aussi fait complexe de sa taille, décidément l'intérieur ne réussit pas aux ministres.

Winston Smith : misanthrope 30 mai 2012 à 14:50
Dniel, une petite suggestion:

pour moi l'info du jour, c'est ça :
http://www.romandie.com/news/n/_Rio20__un_rapport_du_Senat_prone_l_adoption_d_un_nouveau_modele_de_developpement73300520121200.asp

Rio+20 : un rapport du Sénat prône l'adoption d'un nouveau modèle
de développement



PARIS - Un rapport sénatorial souligne la faillite du modèle de
production et de consommation sur lequel les sociétés ont fondé leur
développement, et prône, à l'occasion du sommet Rio+20, l'adoption d'un
nouveau modèle pour un véritable changement de civilisation.

Ce rapport d'information, intitulé Rio+20, l'émergence d'un nouveau
monde, est le premier de la nouvelle Commission du développement durable
mise en place par le Sénat, où la gauche est majoritaire. Il a été
conduit par la sénatrice socialiste Laurence Rossignol.

A la prise de conscience réalisée au Sommet de la Terre il y a 20 ans,
doit succéder l'action, estime le texte d'une centaine de pages, publié
à trois semaines de Rio+20 (20-22 juin).

Or, selon le rapport, les pays émergents soupçonnent l'unanimisme
environnemental de n'être en réalité qu'un prétexte pour freiner leur
développement économique. Ils refusent que l'économie verte se substitue
au modèle de développement actuel en escamotant les questions sociales
et économiques, dans une sorte de protectionnisme vert.

Tout l'enjeu de cette conférence sera finalement pour les pays
industrialisés de réussir à lever les réticences, les inquiétudes
légitimes des pays émergents sur la notion d'économie verte qui n'est
pas un luxe, mais une opportunité et qui constitue le nouveau modèle de
développement, souligne le texte.

Devant la presse, Mme Rossignol a insisté sur le fait qu'il n'y a pas de
perspectives environnementales avec les fondamentaux du libéralisme, pas
d'écologie sans régulation et intervention de l'Etat par l'argent public.

Pour la sénatrice, Rio sera l'opportunité pour la France d'un discours
fondateur du co-développement du 21ème siècle (...), dans la transition
énergétique. Elle a prôné une pause dans la compétition économique
internationale et indiqué qu'elle attendait plus à Rio des pays
émergents que des Etats-Unis ou du Canada.

Le rapport propose 16 recommandations, afin de conforter la position
française et européenne dans les négociations. Il suggère notamment la
transformation du PNUE (Programme des Nations-Unies pour
l'environnement) en une agence spécialisée de l'Onu unique, des
investissement agricoles qui ne mettent pas en péril la sécurité
alimentaire locale, l'adoption d'une feuille de route pour la
préservation et la gestion durables des océans, la reconnaissance d'un
droit à l'eau universel et à l'accès à l'assainissement.


(©AFP / 30 mai 2012 11h58)

Julot Iglésias 30 mai 2012 à 11:52
Mitterrand avait transformé la République en monarchie. Il essayait d'intimider par sa morgue.
Sarkozy se représentait comme un chef mafieux qui tentait de régner en inspirant la crainte.
Hollande ? Il faut espérer qu'il sait ce qu'il fait. Pour le moment, on n'a pas l'impression qu'il a trouvé quel personnage crédible interpréter.
La cinquième république peut-elle exister sans une super star en tête d'affiche? Un président normal pourra-t-il inspirer longtemps du respect?

Winston Smith : misanthrope 30 mai 2012 à 11:41
"se soumettre aux questions normales d'un présentateur normal, qui très normalement s'est abstenu de lui poser les questions qui pourraient fâcher (condamnations de Ayrault et Montebourg, polémique Taubira, etc). Tout va pour le mieux à Normaland."

je me suis arrêté là de lire votre chronique Daniel, et c'est la première fois que ça m'arrive depuis l'ouverture de ce site
les questions que vous citez en exemple ne sont pas des questions qui fachent.
Ce sont des questions annexes qui n'ont été que trop rabachées et dont le tour a été effectué à plusieurs reprises, dans tous les sens, et dans toutes les positions

les questions de Pujadas étaient bien plus intéressantes que ces questions plus que secondaires.

On a l'impression que pour vous la politique étrangère, le retrait d'Afghanistant sont des détails sans importance mais que Montebourg ait été condamné à 1 euros symbolique pour avoir traité des patrons d'escrocs, ça par contre c'est super important.

Nul vraiment....

Dogu 30 mai 2012 à 11:20
A propos de Laurence Ferrari, je voulais juste rappeller un fantastique message laisse sur le repondeur de Mermet par l'habituel "Claude" entre les deux tours de la presidentielle.

C'est ici, au tout debut :

http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=2450

Malagate 30 mai 2012 à 11:01
que Hollande soit passé sur France2.
Ca m'a toujours paru déplacé un président qui va parler aux français sur une chaîne de télévion privée. Métaphore intéressante en tout cas.

AirOne 30 mai 2012 à 10:55
Le petit Namias est aussi bête et servile que son père, ça lui a d'ailleurs sûrement valu de diriger le service politique de France 2. TF1 j'ai arrêté y a 15 ans... Quant à Pujadas je suis tombé sur son jité par hasard, il lançait un sujet, sourire aux lèvres et jubilation non dissimulée, sur Tsipras : "l'extrême-gauche va peut-être gouverner en Grèce, le pays va t'il être éjecté de la zone Euro par ses partenaires ?". Une piqûre de rappel pour me souvenir que ces gens ne sont pas là pour informer mais pour faire le show et maintenir un système en place un système qui les nourrit grassement.
J'ai coupé le son et je suis retourné à mon mojito et mes olives...

Yanne 30 mai 2012 à 10:48
Aïe ! Assange peut être extradé !

Tout cela s'annonce très mal !

charlie.lapared 30 mai 2012 à 10:36
Quand on voit la facilité avec laquelle "ils" sont passés d'un président à l'autre -pourtant on ne peut plus différents- on repense à cette maxime de Krishnamurti qui dit : "ce n'est pas un signe de bonne santé mentale d'être adapté à une société malade".

Je pense que les gros media sont en très mauvaise santé, et c'est une des nombreuses raisons qui font que je ne les regarde pratiquement pas (sauf peut-être de temps à autre France 3)... le zapping me suffit, ainsi que mes erreurs de zapette (lorsque je ne la retrouve pas).

Cultive ton jardin 30 mai 2012 à 10:32
[quote=Mlemaudit]Le ministre le plus populaire: Valls, la moins populaire: Taubira... c'est prouvé, les Français sont des cons.

Ya encore des gens qui regardent les sondages, qui croient les sondages, qui glosent sur les sondages? On dirait. Je propose un sondage inédit: "Les français sont-ils des cons masochistes?" Je parie sur une réponse largement positive.

Atom 30 mai 2012 à 10:25
Les condamnations Ayrault ou Montebourg sont ridicules, surtout celle de Montebourg, s'il suffisait d'un comdamnation aussi petite pour faire démissionner un ministre je ne pense pas que la démocratie déja mal en point en sortirait grandie.
J'aimerais la dessus une déclaration claire de F Hollande, quantifiant la gravité de la peine, ou bien l'irrévocabilité de la peine, Je suis compétement favorable pour qu'un homme politique ayant été condamnés pour des faits graves soit interdit de participation (abus de biens publics etc ...). sur le cas Ayrault même chose, on ne peut pas être dans le civil pour qu'un comdamné soit réintégré a la société et pas pour un homme politique ..

Et quand ça sera fait au niveau gouvernemental, l'inclure dans la constitution, de même que les déclarations de conflits d'intêrêts

En revanche ça reste un symbole mais je suis choqué par la décision de Hollandede garder la lanterne : http://www.liberation.fr/politiques/2012/05/29/hollande-garde-la-lanterne-tout-un-symbole_822210.

Je suis aussi géné par le "mini" coup de pouce au smic, montrant pour qui roule ce gouvernement, et quand j'entends j'autre Laurence dire qu'un coup de pouce au smic freinerait voire empecherait l'emploi. J'ai juste envie de la comdamner a bosser pour un smic (sans coup de pouce) dns une usine de saucisse (ça lui irait bien) pour lui faire comprendre ce qu'est le Travail ...
et finir par dire sa priorité a "l'emploi, l'emploi l'emploi", justifiant encore ce mensonge du plein emploi, qui peut encore y croire quand on a 10% de chomage officiel (pour combien officieux ?) combien en espagne combien en gréce ?
les grecs (avec Siriza) commencent a penser a un revenu minimum d'existence, a un nouvel ordre social...

Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 30 mai 2012 à 10:08

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Ervé 30 mai 2012 à 10:04
Laurence Ferrari "campant dans les deux camps" !?
Je crois au contraire que la fille de l'ex-maire UDF d'Aix-les-Bains, n'a jamais renié le sien.
D'ailleurs, présenter le jité de TF1, c'est avant tout relayer les idées de droite.
Et elle réussissait parfois à le faire discrètement.

Yanne 30 mai 2012 à 10:02
C'est assez particulier, cette atmosphère.
Cette impression d'être au bord du gouffre. En apesanteur, un pied sur la falaise et un autre dans le vide, nous retenons tous notre souffle.

Et imperceptiblement, on commence à en voir tomber certains, les Ferrari, les Squarcini,.... Et ça fait à chaque fois un bruit sourd.

Et ce ne sont que des signes avant-coureurs, des premiers "ploufs" qui vont en précéder d'autres, plus massifs.

Jusqu'au moment où, nous le savons tous, on va tous être emportés par un gigantesque maelstrom.

On voit déjà les Grecs au fond du gouffre. Ils nous lancent de grands signes pour nous dire de venir les sauver, mais nous savons que notre propre survie ne tient qu'à un fil, et nous nous raccrochons comme nous pouvons. Les Espagnols et les Italiens sont en menace aussi de tomber, mais beaucoup plus près que nous du fond, et ils sont en train de lâcher prise, ils glissent imperceptiblement mais sûrement, il n'y a plus que leurs ongles pour assurer le contact, avec l'illusion que ça va retenir..

Oui ! Nous savons tous que nous allons plonger, d'une façon ou d'une autre, mais nous savons aussi que nous ne pouvons pas l'empêcher...
Trop de mauvaises décisions, trop d'aveuglement, trop d'égoïsme.

Mlemaudit 30 mai 2012 à 09:56
Le ministre le plus populaire: Valls, la moins populaire: Taubira... c'est prouvé, les Français sont des cons.

Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 30 mai 2012 à 09:53

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Malagom 30 mai 2012 à 09:36
A 70 K€ par mois, moi aussi je voudrais de la transparitude et de la nullitude !!!

Al Ceste 30 mai 2012 à 09:36
Encore une catastrophe de l'ex-programmateur télé qui a occupé l'Elysée cinq ans de trop. Car cette dame eut deux raisons principales à sa nomination : avoir fait partie de la cour privée du petit, devoir remplacer celui qui avait rendu vénèr le "petit garçon". Le parrain de l'ex-dauphin Louis doit se mordre les couilles d'avoir perdu autant de fric pour faire plaisir au père.

Quand même, réussir à tomber derrière le pâle Pujadas, aussi obséquieux avec le nouveau pouvoir que l'ancien, il fallait le faire !

Valéry 30 mai 2012 à 09:35
[quote=DS]Ayant personnellement déserté depuis un certain temps le 20 Heures de TF1, je suis bien en peine de dire ce qui clochait dans ce journal. ...
autant Ferrari n'offrait paradoxalement aucune prise, ni à l'adhésion, ni au rejet. Non pas qu'elle fût plus mauvaise qu'une autre: se souvenir par exemple qu'elle fut, pendant la campagne, la seule à interroger Sarkozy sur les accusations de financement par Kadhafi. Sans doute, davantage que les autres, souffrait-elle de se couler dans le moule, de se plier au cahier des charges consistant à ne surtout fâcher personne. Mais, muselée par la raison d'état, elle n'offrit jamais cette souffrance en spectacle. Désarmant les colères et décourageant les solidarités, campant entre les deux camps, elle était devenue transparente.

Un : aveu de désertion (devant l'ennemi ?). Quand on fait profession porter un œil critique sur les médias, on a le devoir de les regarder, pour que la critique soit justifiée...
Deux : Suite du Un (logique) Comment décrire le travail de Mme Ferrari après avoir reconnu qu'on ne la regarde pas ??? (la transparence n'étant pas une excuse)...
;-) (en forme de pan sur le bec)

Bénard 30 mai 2012 à 09:31
On a connu D.S. plus inspiré. Le premier paragraphe est particulièrement discutable… D'ailleurs depuis quelque temps, M. Daniel paraît moins (im)pertinent !