bastounet 19 avril 2018 à 08:53

je crois qu'il y a une présidentialité reconnus dans la façon de poser des questions , d'appeler le président "président" , de se vétir en situation ( afin de dépersonnalisé le débat ) , etc......Qu'attendre d'un journaliste qui appelle le président "emmanuel macron" sinon qu'il ne parle pas a un président mais a un homme...? Réalité dont , d'ailleurs , macron se sert très vite dans sa communication en répondant a un ouvrier ( je ne sais plus si c'était un cheminot ) je le cite :"....vous avez votre vérité , j'ai la mienne..." Comprenez-vous...? ce n'est plus un président qui parle la , c'est un homme....Et macron use de tout ses personnages pour mettre en mouvement sa dialectique .Quand j'écoute macron , je sais que j'entend un banquier mais pour quoi lui en donnerais-je quitus...? Un peu de distance messieurs les journalistes , par contre n'ayez pas peur de demander des réponses chiffrées , précises . Macron se sert de votre "fausse contradiction / vrai familliarité" pour nous montrer ce que vous êtes....avec lui.....des collègues .

Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 18 avril 2018 à 21:52

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l'ôtre 17 avril 2018 à 21:34

Macron interpelé au parlement européen : à voir, ça vaut son pesant de cacahuète : 

(à partir de 1mn 48) :

https://www.youtube.com/watch?v=mVkbQNgVL2M 

Finbien 17 avril 2018 à 17:46

On retrouve un peu d'allant en lisant Daniel. Ça faisait quelques temps et je commençais à douter sérieusement de la pertinence de ASI. Bon billet, notamment en mettant en évidence l'importance de changer les habitudes et de créer un précédant. Ça sera plus faciles aux autres de suivre l'exemple de Plenel et Bourdin (bien qu'ils aient manqué de réplique par rapport aux réponses mensongères de Macron) et de ne plus servir la soupe à Macron.

Un plaisir que celui de voir tous ces chiens de garde offusqués du "ton irrespectueux".

Un petit sujet d'ASI serait bienvenu avec des exemples concrets des arguments avancés des journalistes mainstream pour critiquer... leurs "confrères".

Compte supprimé à la demande de l'utilisateur 16 avril 2018 à 19:45

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pierrounet 16 avril 2018 à 19:39

Macron l'emporte "à l'énergie", et largement.

Certes, c'est un Harry Potter de la politique ("Magie-Magie"), un illusioniste sans foi ni loi, mais il a bien montré que c'est bien lui qui tient le manche!

Nausicaa 16 avril 2018 à 19:18

Très bon billet.

Bruanne 16 avril 2018 à 19:14

Administrateurs : 4 déconnexions aujourd'hui. Ça déconne(cte) sévère !

Pierre38330 16 avril 2018 à 17:55

Je découvre tout juste ce qui s'est dit de la dernière prestation de notre prince-président.

Je découvre tout juste parce que longtemps avant de ne plus regarder la télé, je n'accordais aucune attention aux interventions de monsieurleprésidentdelarépubliqueuneetindivisible. *  

Je crois que le dernier fut le général en 1969.

Parce que si vous voulez savoir ce qu'un détenteur du pouvoir a à vous dire, il suffit de s'inquiéter de ce qu'il fait.

Il y a un langage des gestes qui est bien plus parlant que la parlure.

Et pour notre prince-président comme pour ceux qui l'ont précédé, les  lois, les décrets, les ordonnances, les décisions de son gouvernement en disent beaucoup plus et plus clairement que toute la logorrhée de son discours et des commentaires d'icelui.

Après, qu'il décide d'augmenter l'audimat de télé-machin ou canal-truc en allant faire la fierté de madame parce qu'il a bien parlé...

 (*) le correcteur orthographique vient de rougir. Attentat à la pudeur ?

Anthony 16 avril 2018 à 16:41

<MESSAGE POUR LES ADMINS> A chaque commentaire posté je suis déconnecté.

Ervé 16 avril 2018 à 15:01

Et Castaner qui déclare ce matin sur RTL à propos du voile : "On s’est posé la question, il y a quelques années, quand toutes les femmes catholiques portaient un voile ? Je ne crois pas. Il y a quelques années, quand en France, y compris nos mamans portaient un voile, portaient le voile catholique, on ne se posait pas la question".

Né en 1966, l'abruti fantasme une France des années 60 peuplée de mères cathos voilées, censée justifier aujourd'hui le port du voile islamique ! Affligeant...

DéLecteurdeVraiThé 16 avril 2018 à 14:24

McRon est à l'écoute

Décidément la France a toujours eu des sauveurs qui sont à l'écoute

Jehanne le fut à ses voix

McRon l'est à la voix du peuple sauf que les très riches gueulent plus fort

C'est pas sa faute à McRon s'il y en a qui ont la diction plus aisée que d'autres

et McRon promet même d'être à l'écoute des syndicats de la Sncf le jour où ils accepteront de mettre fin à la grève

Et bon sang qu'allait faire Edwy Plénel ? A quoi rime son dernier opuscule "Le devoir d'hospitalité"? A accepter celle de McRon ?

La bêtise a fait hier un pas de géant, un petit pas pour Plénel, un grand pas pour la Soft Dictature

Catala93 16 avril 2018 à 14:15

Retenons le seul point positif: aucun interviewer ne pourra désormais revenir aux questions complaisantes

kawouede 16 avril 2018 à 13:57

Sûr qu'on en a eu pour notre argent, et ça fait plaisir aussi de voir Mediapart sous le feu des projecteurs, même si Plenel semblait du coup avoir le trac.  Il a quand même bien répondu sur Cahuzac, et Pépy-Parly.

Il y a eu aussi la malsaine tirade de Macron sur "Qu'est-ce que je dis aux Français modestes à propos de l'immigration", comme si les premiers étaient victimes de la seconde, une vraie antienne du FN là. 

Là où Macron, il faut le lui reconnaître, a eu entièrement raison, c'est de dire que dans les régimes autoritaires, comme la Russie, un tel exercice ne peut pas avoir lieu.

grrrz 16 avril 2018 à 13:30

sur que c'était perdu d'avance d'aller se frotter sur son terrain au meilleur chargé de relations publiques que le Medef ai jamais eu. Plenel "Don Quixote" a eu beau ferrailler comme il pouvait, il était évidemment vain d'essayer de lutter contre l'énorme quantité d'air brassée par ce moulin à vent.

judith 16 avril 2018 à 13:01

Moi aussi j'ai vu, un président téflon, des journalistes appliqués à monter leur pugnacité mais pas très au point sur chacun des dossiers, en tout cas pas assez pour le faire taire (non pas qu'il ait raison sur le fond, ni qu'il soit vraiment convainquant). Je pensais que Médiapart n'avait pas grand chose à gagner, beaucoup à perdre à ce genre d'exercice. En fait c'est nous tous qui avons à perdre, parce que ce débat n'a pu que désespérer le monde. Et on a besoin d'espérance, pour lutter. Cet homme est dans sa bulle, tellement convaincu d'être dans le vrai, d'être supérieur, qu'il n'a rien à apprendre de personne, sans curiosité, nous servant sans vergogne élément de langage sur élément de lagage, qu'il faudrait un tremblement de terre pour le faire dévier de sa trajectoire. Est-ce que ça ne va pas démobiliser tout le monde? moi, ça m'a déprimée.

Bruanne 16 avril 2018 à 12:43

Est-ce que les administrateurs peuvent regarder pourquoi je reçois le matinaute par mail depuis quelques jours alors que je n'ai jamais activé cette fonction ? 

Merci. 

Bruanne 16 avril 2018 à 12:35

Plus ça va, plus, effectivement, pour moi, il y a un avant et un après Macron. 

À une époque, je regardais pu écoutais les émissions politiques. 

Ça m'a passé avec Sarkozy. Premier avant/ après.

Puis j'en lisais seulement les compte-rendus et commentaires, sans les avoir vues, sous Hollande. Deuxième avant/après.

Maintenant, ils ont beau changer les dispositifs, rien à faire : je m'en balance prodigieusement. 

Et ce n'est pas un motif de réjouissance, je trouve ça plutôt triste, mais la com', résolument, c'est super chiant. Et puis ça se voit tellement que l' " After" journalistique est intégré au plan com', quoi que disent les commentateurs. 

Hallucined Imposteur 16 avril 2018 à 12:06

"A log ride at a water park", "Un pedo en el viento", "Als verfstreken op een doek", ...

Finalement : comme un pet sur une toile cirée.

Recette inutile : 

Prenez un Macron président jeune

Secouez le plusieurs fois

Tordez le vigoureusement

Interrompez le

Dansez lui sur la tête

Faites lui ce que bon vous semble à maintes reprises

Vous obtiendrez fatidiquement, hélas, un Macron président jeune.

Que Bourdin bourdonne, que Plenel morgue plane, les commentateurs commenteront et le car à vannes (Bus-Macron) passera ... comme un pet sur une toile cirée.

Anthony 16 avril 2018 à 11:55

"Je vais venir dans votre salon " ?? ce type a vraiment dit ça ??? (c'est le type de commentaires qu'on peut lire sur midi libre). Décidement c'est clair qu'aucune communication ne sera jamais possible.