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evemarie
juste que les bobos depuis ISlapette font l'exprience de la realité, où ils n'ont aucun pouvoir, a part celui de leur niveau de vie, ou du mepris des femmes pauvres (voilées) des prolo, et des beaufs pas Charlie. Avant vous aviez le plaisir extreme de mepriser les beaufs, de vous sentir faire partis du monde 'qui compte' grace; a votre humour cynique, du monde qui oeuvre pour 'la société', et puis vous presentez qu'en faite vous n'avez été, a l'instar d'Islapette, que des gestionaire de la fin des droits des peuples a la redistribution de leur propre labeur. Et comme ce labeur n'est pas le votre , c'etait drôle ces gens qui pleurent leur emplois debile perdu .. Vous voyez enfin que si vous vous battez pour etre millionnaire c'est super, mais si c'est pour que l'egalité, la protection de l'etat sois en oeuvre pour les plus demuis, un article ou un artiste n'ont jamais suffit, malgré vos croyances de males blanc. La deprime de ce monsieur vient de sa croyance en sa force , en la force du journalisme, qui ne prospere qu'avec le bon vouloir des oligarques.
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Ke-sais-je
Gaudin ( 79 ans ) a dit : " le pouvoir , c'est l'impuissance " ( ah ! non ! Merde, c'est pas lui, c'est De Gaulle )
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Cultive ton jardin
"Au total, une excellente enquête, très complète, mais dont je dois bien constater qu'elle m'indigne moins que le futile portrait de son auteur désespéré."
Une explication possible: l'article de 2016 est un "bon article", mais c'est celui d'un collègue, d'un concurrent (d'un rival?). Alors que celui de 2018 vous renvoie personnellement à votre impuissance de journaliste. L'article d'un confrère dont vous partagez le malheur.
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vinze
Pas trop tôt ! Je commençais à penser qu'@si ne traitait que les sujets parisiens, melenchonniens ou gilets jauniens, ceci expliquant peut être cela.
Un provincaux marseillais marsactusien.
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Thomas
Bonjour et merci pour la chronique.
La réponse est un peu dans votre question : il faut les deux, tout simplement.
En tout cas cela me semble rejouer des réflexions que j'ai lu récemment dans un livre sur la presse étrangere à Berlin en 1933... L'enquête factuelle précise, exigeante, opiniâtre mais parfois inutile, ou l'éditorial plus facile à écrire "confortablement", mais dont les mots portent parfois bien plus ?
Et au final peut-être : ne rien lâcher quand on veut dire quelque chose qu'on croit juste, tenter de le dire de toutes les manières, les combiner, les tester, jusqu'à ce que ça prenne. Non ?
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DéLecteurdeVraiThé
Dans l'article rongé par l'indignation mais qui se perd dans les méandres de la dilution des responsabilités, il y a toutefois la volonté d'appeler au changement en informant
Dans l'article constatant l'impuissance, il y a l'aigreur du statu-quo et sous-jacente la volonté du lynchage politique qui au final ne changera guère l'état des lieux même s'il désigne une des responsabilités
Alors bien sûr, on reste ébahi en regardant la façade de l'ancien immeuble de la Rue d'Aubagne sur Street View ou Google Maps qu'aucun arrêté de péril n'ait été proclamé :
une lézarde traversant en oblique tous les étages, passant à travers le vide des fenêtres indiquant que le cadre avait pris avec le temps un rôle structurel et l'enduit pelé sur une bande d'un mètre de par et d'autre de cette fissure géante
L'indignation a l'avantage de mobiliser
GPMarcel dit
"Le problème c'est l'urbanisme, la paupérisation, l'infect mépris des décideurs vis à vis des gens de classe sociale inférieure (je fais exprès de pousser le bouchon loin...) "
Eh bien je trouve, qu'il n'a pas poussé le bouchon assez loin, il suffit de se détourner des artères principales ou d'aller dans certains bourgs perdus
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nobody
de la même façon que macron est en train de liquider les Français pour "moderniser" la France, Gaudin s'échine à liquider les pauvres pour faire de Marseille une capitale de milliardaires. Tous les moyens sont bon quand le pouvoir et le fric deviennent les seuls critères.
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Nath
Cher Daniel, monsieur Schneidermann, votre Matinaute du jour pose le doigt au bon endroit: notre sensibilité (aïe aîe, ça pique!). Et, en vous en remettant à vos lecteurs, vous nous associez à votre questionnement: quels tropismes inclinent nos sensibilités dans un sens ou dans un autre ? Pour ceux qui, comme vous, savent (par formation et pas expérience métier) lire entre les lignes des articles jusqu'à décrypter les ressors de nos inclinaisons orientées, très très orientées, je ne me fais pas de souci. En revanche, je m'inquiète avec vous de ne pas savoir ce que produisent, dans l'inconscient collectif, les tropismes éditoriaux planqués entre les lignes d'un bel article (les portraits de Libé sont toujours agréables à lire, mais que nous apprennent-ils réellement de l'humain qui en est le sujet ? Perso, je reste souvent "boh?").
Je n'ai pas, à cette heure, de réponse toute faite à votre question. D'ailleurs, perso, je sens en moi qu'il suffit à votre question d'avoir été posée. Parce que ça pique!
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Blue Shark Power
Il me semble qu'une comparaison est permise entre l'alerte donnée sur d'un danger imminent de type écroulement d'un immeuble et celui d'une extinction d'une partie de l'humanité face au recul de la diversité biologique. Nos dirigeants connaissent tous les causes et les effets des situations à risque et se complaisent dans une forme d'inertie qui est plus commode que l'action. Sans parler des situations où l'inertie répond à une logique économique qui est profitable à certain comme dans le cas du pont génois. Oui la responsabilité du Maire de Marseille peut être engagée!
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Hallucined Imposteur
Dans ce "flux tendu" d'infos, est-il possible d'accepter d’oeuvrer pour le "long terme" ?
Et de mettre de côté la catastrophe annoncée et ses victimes ?
De dénoncer un système puis de se voir rire au nez par l'homme à la tête dudit système ?
Non.
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Monsieur Panda
L'un n'aurait pas de poids sans l'autre, ça ne serait que du cynisme en mode "à quoi ça sert" sans le premier article. Les deux se complète. Pourquoi les mettre en concurrence ?
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GPMarcel
Et oui, quelle idée de journalisme de faire un portrait de celui qui...Pour ne pas parler de vedettariat, je vais créer le néologisme "vedettisme".
Est-il tellement important de labelliser le journaliste "indépendant" (j'aime), d'en faire un lanceur d'alerte non entendu, méprisé peut-être?
Le problème c'est l'urbanisme, la paupérisation, l'infect mépris des décideurs vis à vis des gens de classe sociale inférieure (je fais exprès de pousser le bouchon loin...)
N'y avait-il pas intérêt à ce que les immeubles s'effondrent plutôt que d'être restaurés?
Qu'est-ce que les journaux parisiens et autres médias nationaux avaient à foutre des problème de logements marseillais?
......
Il est trop tard pour faire le portrait de Pierre Fournier qui dans les années 70 dénonçait notre monde à la con qui tranquillou allait dans le mur. "La gueule ouverte" et "Charlie Hebdo" (le vrai) lui permettaient de dire.
Dans ces années la "France" (Môsssieur) n'avait pas de pétrole mais des idées.
Et tout le monde était content.
Maintenant le monde comme les immeubles s'écroulent.
"Dis Coco, tu peux me faire une belle interview de l'hurluberlu, chevelu et barbu de la "Gueule Ouverte qui disait que...Trop tard il est mort en gueulant, mais il est mort. .
"
Médias Pierre Fournier Naissance
Saint-Jean-de-Maurienne (Savoie)Décès (à 35 ans)
Le Perreux-sur-Marne (Val-de-Marne)Nationalité française Profession journaliste, dessinateur Presse écrite Hara-Kiri
Charlie Hebdo
La Gueule ouvertemodifier Pierre Fournier, né le à Saint-Jean-de-Maurienne, mort le au Perreux-sur-Marne, est un journaliste et dessinateur pamphlétaire français.
Rédacteur et dessinateur à Hara-Kiri puis Charlie Hebdo, il est l'un des premiers anti-nucléaires, prônant une écologieradicale et libertaire. En 1972, il crée son propre journal, La Gueule ouverte, « le journal qui annonce la fin du monde ».
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totoro45
Beaucoup d'informations à assimiler pour mesurer l'état de la situation à Marseille, mais sans ces informations, on passe à côté du sujet .
Ce dossier de Marsactu est très bien fait et donne des éléments pour comprendre .
40 000 logements privés où vivent 100 000 personnes, sont "potentiellement indignes" (Rapport Nicol cité par Marsactu)
Une déclaration d'utilité publique pour la rénovation immobilière de ce quartier de Noailles a été prise en 2001 .
cette DUP a fait l'objet d'un contentieux
Quelqu'un pourrait-il nous expliquer simplement pourquoi cette DUP a été constée et où en est-on actuellement de ce côté ?
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Jacques Quiniou
Oui, une des questions politiques parmi les plus urgentes est bien celle des affects (l'autre est celle de l'échelle géographique pertinente pour les mettre en jeu). Et nous débattons et nous nous débattons dans une jungle d'egos qui ne trouvent comme paravent à leur enflure que leurs tentatives (nécessaires, bien sûr) pour penser juste et avoir raison. Mais il ne sert à rien d'avoir raison, quand ce n'est pas au bon endroit et au bon moment.
Jacques Quiniou
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Martine BARRAU
Où voyez-vous un commentaire complaisant?
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Julie Le Mest
Commentaire semi de parti-pris (je ne fais pas partie de Marsactu mais j'y suis allée en stage... et surtout je suis lectrice)
Les enquêtes ne changent pas le monde en un jour mais elles outillent ceux qui veulent le faire. Les enquêtes au long cours de Marsactu (et d'autres bien sûr) sont un des éclairages qui permettent vraiment à ceux qui le veulent de mieux comprendre tout ce qui se joue à Marseille et dans sa région.
Aucun doute sur le fait que ces enquêtes ont aussi fortement aidé citoyens et journalistes à faire émerger les vrai enjeux rapidement après le drame de la rue d'Aubagne.
Et, comme Arrêt sur Images, Marsactu est un média entièrement indépendant qui dépend de ses abonnés pour sa survie. Vous l'avez compris, lecteurs d'ASI des Bouches-du-Rhône, ceci est un fort appel du pied.
(Lisez les articles en accès libre et jugez sur pièce)
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Nadine GEVRET
"Au total, une excellente enquête, très complète, mais dont je dois bien constater qu'elle m'indigne moins que le futile portrait de son auteur désespéré."
DS pige encore pour Libé. Donc ces commentaires complaisants, bien loin de l'analyse critique des médias qui sont au programme du site.