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  • Bruanne 12 février 2018 à 01:00

    Je comprends pas très bien.


    Donc, là, ce qu'on commente, c'est du DS de vendredi matin sur ASI.


    Et le même DS, 24 heures après, écrit dans Libé sur le même sujet :


    http://www.liberation.fr/debats/2018/02/11/dans-les-slips-du-gouvernement_1628968


    Où on peut lire ceci : 

    "Journaliste, on se retrouve en train de poser de détestables questions de policier, ou de président d’assises. Vous étiez où ? Habillée comment ?"


    ...j'y crois pas ! " Habillée comment ?", Daniel vous la poseriez vraiment cette question, vous ? C'est une question opportune, ça ? 

    Quand vous écrivez votre article et que vous cherchez des exemples de questions à poser celle-là vous vient à l'esprit et vous la retenez ? 



    L'article de Libération se termine ainsi :

    "Mais peut-être faut-il simplement qu’une histoire soit totalement racontée, ou tue."


    Daniel, vous avez écrit ça....alors que vous, 24 heures avant, vous avez mis un lien pas classe du tout en fin de chronique, genre " moi je trouve qu'il faut pas donner l'identité de la plaignante, mais ceux qui la veulent peuvent cliquer là"...


    Je ne comprends pas bien, là....

  • sylvie 11 février 2018 à 13:10

    Bon, ne partage pas votre point de vue ni la démarche de l’Ebdo...

  • Germain RITAL 11 février 2018 à 11:29

     Ni Hulot ni "Marie" ne semblant décidé à se confier (la co-auteure de l'enquête de Ebdo, Anne Jouan, a même assuré sur TMC qu'elle n'en savait pas elle-même davantage qu'une "action sous contrainte"), il est probable qu'on n'en saura pas davantage. Faisons donc le deuil de notre curiosité des "détails crus", comme dit Jouan.


    Avant: faussement de se demander, mais en réalité d'exiger des "détails crus" pour se prononcer, il aurait été bon que le matinaute arrête son attention sur la signification de sa citation de l'expression: une "action sous contrainte". Car la notion pourrait bien suffire, si elle s'appliquait  à l'affaire en question, à la caractériser comme un cas d'agression. En effet, est appelée "contrainte", ainsi que Spinoza le spécifie, "la chose qui est déterminée par une autre à exister et à produire un effet selon une raison définie et déterminée". Ce qui est  l'exact opposé de ce que Spinoza avait ainsi préalablement défini: "Est dite libre la chose qui existe d'après la seule nécessité de sa nature et est déterminée par soi-seule à agir".


    Sans doute personne n'est-il obligé de se ranger à ce qui de prime abord  apparaît comme un  "avis particulier" - mais du moins faudrait-il en réfuter la raison pour l'écarter.


    Je ne saurais maintenant conclure sans compléter mon commentaire en ajoutant que dans le cas de l'espèce la double clarification de Spinoza s'applique tout autant: positivement à la plaignante que négativement à la défense.



  • M.Pat 9 février 2018 à 18:01

    Je vois que l'article sur Hulot est co signé par Laurent Valdiguié. A t il été transféré à l'ebdo ou bien taper sur Hulot ne correspondait pas à la ligne pour le moins macroniste du JDD chez qui il est (ou était ? ) salarié ?

  • jean-françois copé-décalé 9 février 2018 à 16:44

    L'écologiste Hulot partira-t-il en cavale en hélico ou avec l'un de ses 4x4 ?

  • folavril-170143 folavril 9 février 2018 à 16:27

    Voir Hulot prendre les devants de façon assez maladroite et entendre les journalistes répéter en choeur à quel point ce "séducteur", le pauvre, a l'air aujourd'hui hébété et détruit, et sa pauvre famille et patati et patata, incite à la plus grande méfiance tant on se souviendra que c'est exactement ce même vocabulaire qui nous a été servi en boucle en 2011 pour DSK. 


    Oon a quand même une belle brochette dans ce gouvernement. Le changement, c'est maintenant ! 

  • Arsinée 9 février 2018 à 15:48

    L'affaire devient gênante pour Hulot. En s'élevant contre la médiatisation de sa plainte et en refusant toute instrumentalisation politique, Pascale Mitterand réaffirme, en quelque sorte,  la sincérité de sa plainte et la douleur qui l'y a conduite. La plainte n'a pas été déposée contre le personnage Hulot devenu aujourd'hui ministre mais , discrètement, contre un certain Monsieur Nicolas Hulot. Le barrage politique ( cf Buzyn ) qu'on lui oppose aujourd'hui en devient obscène.

  • Sebastien Lemar 9 février 2018 à 15:23

    Voyez-vous cher GP, sur le nouvel ASI (sans @), ses nouvelles fonctionnalités, son nouveau design et son nouveau forum, votre com' est bien sybillin pour ne pas dire abscons, voire,comme on disait en  2.0, off topic.

    Alors... que diable voulez-vous dire avec vos pouladan et canarabretel?

  • GPMarcel 9 février 2018 à 14:50

    Merde, je viens de me faire mordre.

    Les poules ont des dents et mon canard s'est enfui avec mes bretelles....


  • Diogene 9 février 2018 à 14:08

    Mais est-ce qu'on saura si M. Hulot utilisait le gel-douche Hushuaïa comme lubrifiant?

  • Jenny 9 février 2018 à 12:39

    La volonté d'anonymat est absolument respectable et tout à fait compréhensible. Et il n'est pas nécessaire de connaître les détails d'une agression sexuelle, à notre niveau. Savoir que les faits ont été traumatisants est suffisant.

  • DéLecteurdeVraiThé 9 février 2018 à 12:37

    Bon pour Hulot c'est trop tôt


    Mais ce qui m'a mis en colère ce matin c'est l'interview sur France Info de Agnès Buzyn, ministre des Solidarités et de la santé


    D'abord parce que s'intituler "ministre des Solidarités et de la santé" et se contrefoutre de la solidarité et prendre en exemple le système de santé Allemand tout en disant ne pas savoir comment il fonctionne vraiment, c'est se foutre des Français, sans parler de ceux qui ont élu McRon, et là c'est se foutre d'eux au carré


    Alors bien sûr une grande partie de cet interview a été consacré à Hulot où la ministre a même glissé le mot de complot mais ce qui m'a exacerbé au plus haut point c'est la manière d'esquiver les questions réelles avec l'aval de ceux qui l'interviewaient. Cet interview est en soi l'illustration de l'inutilité du genre. C'est un exemple que l'on devrait donner dans les écoles car on y voit comment botter en touche et le vide sidéral du sens des mots employés.


    Quant à Hulot complot ou pas complot c'est trop tôt

  • Sebastien Lemar 9 février 2018 à 12:12

    De fait si " il s'est passé quelque chose dans une maison de Nicolas Hulot, entre le 9 et le 11 juin 1997. Quelque chose mais quoi?" Et qu'en plus, "lecture faite des six pages de Ebdo, on n'en sait pas beaucoup plus", alors il est urgent de  fermer sa big mouth.

    Et faire plutôt un édito sur l'assourdissant silence de la presse, tous modes confondus, à propos du Yemen (à ce titre conseiller de voir ou revoir le reportage de Khadija al-Salami dans Envoyé Spécial hier plutôt que mettre un lien tout moisi sur Le Parisien).

  • Sebastien Lemar 9 février 2018 à 11:55

    > Ervé

    C'est plutôt une manière directe de le faire! 

    DS a une conception du "droit à la discrétion", digne de Voici ou de Public, qui force l'irrespect. 

    Une suggestion pour une prochaine chronique: Julie, la fille cachée de Claude François, révélation ou fake?...

     

  • KE-SAIS-je 9 février 2018 à 11:31

    Le " cru " , toujours le " cru ".

    C'est vrai que souvent le cru se gâte ! 

  • isaton 9 février 2018 à 10:37

    Il y a comme une récurrence au niveau des ministres écolos, les déstabiliser un max, voire les détruire, et, aujourd’hui sur le marché, les accusations pour violence sexuelle sont au top (ce qui est un bien), va donc pour elles, l’important étant de dégager l’écolo des affaires, non ? 

  • Mathieu 9 février 2018 à 10:02

    Quel magnifique dernier paragraphe. Pas du tout malsain...

  • totoro45 9 février 2018 à 09:47

     En 1989, François Mitterrand invite Hulot à l'Elysée, sur les recommandations de Jacques Attali.  Mitterrand reste « insensible aux charmes » de son hôte.

     Le maire de Paris, Jacques Chirac, s'empresse de lui ouvrir la porte de son bureau. « C’est le début d'une amitié durable entre les deux hommes ».


    Chirac président décore Hulot de la légion d’honneur en 1996 .


    Après la dissolution ratée de l’Assemblée Nationale , la gauche revient pouvoir : Jospin est nommé 1er ministre le 2 juin 1997  

    du 9 au 11 Juin 1997  Sipa  envoie sa reporter , petite-fille de Mitterrand,  chez Hulot  ( ancien reporter de Sipa)   : avec quel objectif ? Pour quelle mission ?

    Hulot sort un livre « à mes risques et plaisirs » en 1998 .

    2002, Chirac propose un  ministère à Hulot  qui refuse

  • Ervé 9 février 2018 à 09:42

    Ne pas livrer l'identité de "Marie" tout en renvoyant à l'article du Parisien qui la révèle, est tout de même une manière indirecte de le faire. Non ?

    Perso, j'ai cliqué sur le lien.

  • Anthony 9 février 2018 à 09:38

    sans citer le nom de la femme mise en cause


    ?? je crains que cette tournure de phrase soit totalement inadéquate en la matière !!


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